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Global Land Outlook : Rapport thématique Afrique de l’Ouest. Neutralité en matière de dégradation des terres : Bénéfices pour la sécurité humaine
Le présent rapport thématique du GLO sur l’Afrique de l’Ouest et le Sahel a été élaboré par le Centre régional AGRHYMET dans le cadre d’un Mémorandum d’accord signé en 2019 entre le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) et la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD). Ce travail a été accompli avec l’appui généreux de TetraTech, USAID et SERVIR Afrique de l’Ouest. Analysant les enjeux, contraintes et atouts de 7 pays sahéliens (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Sénégal et Tchad), ce rapport thématique régional met en lumière les acquis et opportunités existants pour favoriser le développement durable et inclusif de toute la région. Ainsi, faisant face à la dégradation des terres, de bonnes pratiques de Gestion Durable des Terres (GDT) ont été développées.
10 ans de prévention des crises alimentaires
Dix ans d'experience d'une action menée en reseau 1985-1995
32e Réunion annuelle relevé des conclusions Abuja RPCA (Nigéria )12-14 Décembre 2016
Accueillie par la République fédérale du Nigéria et sous le haut patronage des Commissions de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), la 32e réunion annuelle du RPCA a rassemblé quelque 250 représentants de gouvernements sahéliens et ouest-africains, d’organisations intergouvernementales, de producteurs agricoles, de la société civile et du secteur privé et de partenaires techniques et financiers.
35th CILSS Day September 12, 2020
"The COVID-19 pandemic effects on food and nutrition security in the sahel and west Africa and CILSS adaptation efforts for information production"
Acquis du CILSS dans la capitalisation et le partage de bonnes pratiques et expériences de gestion durable des terres/ changement climatique, sécurité alimentaire et nutritionnelle, et maîtrise de l’eau
Dans le principe, la gestion des risques et chocs fait appel à de bonnes pratiques et innovations dont la mise en œuvre permet de réduire, sinon de supprimer, leurs impacts négatifs. De sa création en 1973 à nos jours, le CILSS et ses institutions spécialisées (AGRHYMET CCR-AOS et INSAH) ont développé une panoplie d’outils de coopération et de collaboration destinés à créer un environnement scientifique et institutionnel favorable pour contribuer à la création et à la mise au point d’outils et technologies au profit des États membres. Ces actions ont permis de capitaliser une large gamme d’expériences acquises dans divers domaines tels que (i) la lutte contre l’insécurité alimentaire, (ii) le renforcement des capacités de résilience des populations vulnérables, (iii) la gestion des ressources naturelles, de lutte contre la sécheresse et la désertification et (iv) l’analyse de l’impact du changement et de la variabilité climatiques dans les pays du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest, (v) la capitalisation des expériences acquises de la recherche agronomique et (vi) la mise en œuvre de la réglementation commune en matière de gestion et utilisation des pesticides. Cette expérience est aujourd’hui partagée avec les autres OIG de la région, notamment la CEDEAO, l’UEMOA, l’ALG et le G5-Sahel dont le CILSS est « le bras technique ».
Acquis du CILSS dans le domaine de la formation
Le CRA a débuté ses activités de formation professionnelle en 1975 pour former des cadres directement utilisables par les Etats afin de pallier l’insuffisance de compétences pour comprendre, analyser et trouver des solutions au phénomène de la sécheresse et de la désertification. Durant ses cinquante années d’existence, le CILSS à travers le Centre Régional AGRHYMET a engrangé de nombreux acquis dans le domaine de la formation. Cependant, cette institution fait aussi face de nos jours à un certain nombre de défis pour la pérennisation de cette formation.
Acquis du CILSS dans le domaine de la gestion des nuisibles majeurs des cultures et de l’homologation des pesticides au Sahel et en Afrique de l’Ouest
La première initiative du CILSS a été le projet « Recherche et Développement de la Lutte Intégrée contre les ennemis des principales cultures vivrières dans les pays du Sahel » communément dénommé Projet lutte intégrée (PLI) que les pays membres ont approuvé lors du Conseil des Ministres tenu à Ouagadougou en avril 1977, adoptant ainsi de fait une politique de lutte intégrée pour le secteur de l’agriculture.
Acquis du CILSS dans le domaine de la recherche et de l’innovation
Dans leurs activités de recherche, les experts du CILSS sont impliqués dans plusieurs initiatives régionales et internationales dans lesquelles leurs contributions ont permis d’accroître la visibilité de l’institution et de la positionner aujourd’hui au cœur de plusieurs initiatives internationales sur la
sécurité alimentaire et les changements climatiques.
Les résultats de ces travaux ont été valorisés sous forme d’articles dans les revues scientifiques, de thèses de doctorat et de masters, de chapitres dans des ouvrages, de présentations à des conférences internationales ou de conférences débats.
Acquis du CILSS dans le domaine de la sécurité alimentaire et nutritionnelle
Dès sa création en 1973, le CILSS s’est investi auprès de ses États membres dans la recherche d’une sécurité alimentaire et nutritionnelle durable conformément à son mandat. En 50 ans d’existence, le CILSS a couvert tous les domaines de la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (SAN), incluant des prospections à long terme et faisant aujourd’hui de l’institution une référence mondiale dans le domaine. Ses réflexions et analyses couvrent tous les domaines de la SAN et de l’Agriculture et servent à la fois les milieux de décisions aux plans mondial, continental, régional et national, mais aussi les centres de formation (universités, écoles), et surtout de nouveaux clients comme les Organisations Non Gouvernementales (ONG), les Organisations de la Société Civile (OSC) et les Organisations Paysannes (OP)
Affiche 35e Journée du CILSS
35ème Journée du CILSS : 12 Septembre 2020 Les effets de la Pandémie à COVID-19 sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l'Ouest et les efforts d'adaptation du CILSS pour la production de l'information.
Agrhymet newsleter - Janvier 2011
L’Afrique subit de plein fouet les effets du changement climatique caractérisés par une variabilité accrue des précipitations et une recrudescence de fortes pluies et des inondations dont les dégâts sur les systèmes naturels et humains sont considérables. Pour faire face à cette situation, la plupart des pays africains ont élaboré des plans d’action nationaux d’adaptation (PANA) et autres projets d’adaptation et d’atténuation. Le CILSS à travers le Centre Régional AGRHYMET s’investit depuis plusieurs années sur cette problématique mondiale. L’une des insuffisances des initiatives, c’est qu’elles ne s’appuient pas sur des approches de planification, de suivi et évaluation des capacités d’adaptation des communautés au changement climatique. Pour pallier à cette lacune, le programme ACCA du CRDI/DFID a financé un projet intitulé « An experimental approach to capacity and toolkit development for monitoring and evaluation within climate change adaptation initiatives ». C’est dans ce cadre que e Centre Régional AGRHYMET en collaboration avec le CRDI et l’OSS et l’UNECA a organisé en novembre 2010 un atelier sur le thème : « Outils de planification, de suivi évaluation des capacités d’adaptation au changement climatique ». L’autre initiative du Centre AGRHYMET a consisté en l’organisation d’un atelier sur le marché carbone avec l’appui de la Banque Africaine de Développement (BAD). Cet atelier a été organisé à la veille de la COP16 à CANCUN au Mexique, en vue de renforcer les capacités des négociateurs et des points focaux changements climatiques pour mieux appréhender les opportunités émergeantes liées aux marchés du carbone. En effet, le continent africain qui est très vulnérable aux effets du changement climatique, contribue très faiblement aux émissions de gaz à effet de serre, une des causes du réchauffement climatique. Il devra donc saisir les nouvelles opportunités liées au marché du carbone notamment le fort potentiel d’atténuation des gaz à effet de serre dans les secteurs tels que l’agriculture, la foresterie et l’énergie domestique. Le présent bulletin donne les détails de ces ateliers. Il relate aussi la cérémonie de remise d’un don de matériel informatique au CRA par le Groupe de Coopération des Nouvelles Technologies de l’Université de CORDOUE et la participation du Centre à la 2ème édition de la fête de la Science au Niger organisée par l’Ambassade de France. Une partie de ce numéro est également consacrée aux faits marquants du CILSS notamment la 45ème Session du Conseil des Ministres dont le communiqué final présente, entre autres sujets, les nouvelles conventions pour assurer le financement du CILSS de son programme de Travail 2009-2013, les nouvelles nominations aux postes de Secrétaire Exécutif Adjoint et de Directeur Général de l’Institut du Sahel.
Agrhymet Newsletter - Mars 2017
Ce bulletin présente les résultats définitifs de la campagne agricole 2016/2017 caractérisés par une hausse de la production céréalière au Sahel et en Afrique de l’Ouest de 10% comparée à celle de la campagne 2015-2016. En dépit de cette relative bonne disponibilité alimentaire, la région fait face à de nombreuses tensions alimentaires et nutritionnelles, en raison notamment de l’insécurité civile persistante dans le bassin du lac Tchad et au nord du Mali. A ce propos, le CILSS et ses partenaires techniques ont, sur la base des analyses du Cadre Harmonisé, déjà tiré sur la sonnette d’alarme en informant les pays à travers les dispositifs de veille tels que le Dispositif Régional de Prévention et de Gestion des Crises Alimentaires (PREGEC) sur les risques d’insécurité alimentaire et les mesures d’urgence à prendre pour renforcer les mesures d’assistance alimentaire et humanitaire dans les pays concernés. Une partie de ce bulletin est consacrée à la formation marquée par la rentrée de la première promotion du Master en Pastoralisme et aussi à la sortie de la 3ème promotion du Master en Gestion Durable des Terres ce qui porte à 1364 dont 308 masters, le nombre de cadres formés par le Centre Régional AGRHYMET depuis sa création. Ce résultat constitue un motif de satisfaction pour le CILSS et ses partenaires dont une des préoccupations majeures est de doter les pays de cadres compétents capables de concevoir et de mettre en oeuvre des stratégies de développement de l’agriculture et de protection de l’environnement. L’autre événement relaté dans ce bulletin est le baptême de la salle de télécommunication du Centre Régional AGRHYMET au nom de M’BASS Ibrahim. Ce geste symbolique mais significatif montre la reconnaissance de tout le CILSS à feu MBASS. Ce cadre hors pair qui nous a quitté, a énormément contribué au développement du Centre Régional AGRHYMET notamment dans les travaux de maintenance informatique et électronique, de réalisation des nouvelles infrastructures et aussi d’encadrement des étudiants et stagiaires. Les autres faits saillants de ce bulletin concernent la validation du document cadre pour l’amélioration de la résilience de l’élevage face à la variabilité et au changement climatique au Niger, la rencontre scientifique de validation des données et méthodes du projet MEKROU et le renforcement des capacités des élus locaux et des acteurs centraux d’appui à la décentralisation sur l’intégration du changement climatique dans les politiques de développement local.
Aide alimentaire
Compte rendu de la reunion de concertation de l'aide alimentaire tenu à Dakar le 14 et 15 juin 1982
Alerte sur le risque de prolongement de l’hivernage et ses conséquences sur les cultures et pâturages
Les perspectives des récoltes de la campagne agropastorale 2010-2011 sont bonnes dans l’ensemble. Mais, compte tenu des risques de prolongement de l’hivernage au-delà du 10 octobre, des mesures de surveillance et de protection doivent être prises au Sahel et en Afrique de l’Ouest pour limiter les pertes sur les récoltes des cultures et les pâturages en raison des excès d’eau.
Analyse de l’évolution spatio-temporelle des dérivés pluviométriques caractérisant la saison agricole au Sahel - Central
L’objectif de cette étude est d’analyser l’évolution spatio-temporelle des dérivés pluviométriques impactant la qualité de la saison agricole, notamment les périodes de début et de fin de saison, le cumul des pluies, le nombre de jours des pluies, la longueur de la saison et les séquences sèches. Elle s’appuie sur l’analyse des données journalières de 1951 à 2010 de 98 stations météorologiques. Les dérivés pluviométriques sont
d’abord identifiés, ensuite, des indices adaptés sont utilisés pour caractériser leurs évolutions. Ces dérivés présentent des fortes variabilités spatiales et temporelles. Cela a permis de subdiviser la région en quatre (4) zones avec des caractéristiques moyennes très distinctes.
ANNUAIRE DES DIPLOMES 1975 - 2016
Le Centre Régional AGRHYMET (CRA), institution spécialisée du Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) s’est distingué au niveau national et international par la pertinence et la fiabilité des informations agropastorales qu’il met à la disposition des décideurs politiques nationaux et des partenaires, mais également par le renforcement des capacités de conception et d’exécution des cadres africains à travers des formations professionnelles de référence adaptées au contexte sahélien et ouest africain. Depuis sa création, le CRA a formé 1341 diplômés dont 805 Techniciens Supérieurs, 250 Ingénieurs, et 286 Masters dans les domaines de la Sécurité Alimentaire, Gestion des Ressources Naturelles et Maîtrise de l’Eau dans un contexte de changement climatique. Il a également participé au perfectionnement de plus de 9000 cadres sahéliens et ressortissants d’autres régions d’Afrique. Le succès de ces formations constitue un réel motif de satisfaction pour le CILSS et ses partenaires, surtout que la demande de cette prestation dépasse l’espace sahélien pour toucher désormais d’autres pays de la CEDEAO et de l’Afrique Centrale et Australe. La qualité de ses enseignements a valu au CRA les reconnaissances suivantes : − Centre d’Enseignement Supérieur du CAMES (Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur), − Centre d’Excellence Régionale en matière de formation de l’UEMOA (Union Economique et Monétaire Ouest Africaine), − Centre Régional de Formation de l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale), − Membre titulaire de l’AUF (Agence Universitaire de la Francophonie) Le présent annuaire réactualisé répond au souci de fournir des renseignements détaillés et précis sur les diplômés formés par le CRA de 1975 à 2016 ainsi qu’aux attentes des décideurs et des bénéficiaires potentiels. Il récapitule par pays, par cycle et par promotion, les personnes formées. Il fournit entre autres, des informations sur les services employeurs des diplômés ainsi qu’une description succincte des tâches qui leur sont confiées sur le terrain. Nous osons espérer qu’il sera apprécié à sa juste valeur.
Annuaire des diplômés
De sa création à 2023, le CRA a formé 1 757 diplômés dont 909 Techniciens Supérieurs, 310 Ingénieurs et 538 Masters dans les domaines de la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle, la Gestion des Ressources Naturelles et la Maîtrise de l’Eau dans un contexte de changement climatique.Il a également participé au perfectionnement de plus de 9 000 cadres sahéliens et ressortissants d’autres régions d’Afrique. Le succès de ces formations constitue un réel motif de satisfaction pour le CILSS et ses partenaires, surtout que la demande de cette prestation dépasse l’espace sahélien pour toucher désormais d’autres pays de la CEDEAO, de l’Afrique Centrale et Australe.
Atelier de capitalisation et de dissémination des produits de isacip, ecoagris et mesa
Cet atelier a été présidé par le Colonel Aliou Diouf, Secrétaire Permanent du Comité National du CILSS du Sénégal, représentant Monsieur Abdoulaye Baldé, Ministre de l’Environnement et du Développement Durable en présence des Secrétaires Permanents des Comités Nationaux du CILSSS (CONACILSS) du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, de la Guinée Bissau, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Togo, du Sénégal et du Tchad et du représentant du SP CONACILSS du Cap Vert. Les SP CONACILSS du Bénin et de la Gambie n’ont pas pu y prendre part. Ont également pris part à cet atelier, les experts du Centre Régional AGRHYMET (CRA) et des agents du Comité National du CILSS du Sénégal.
Atelier de formation des formateur sur le système régional intégré d'information agricole de la cedeao
Elle a été présidée par le Colonel Aliou Diouf, Secrétaire Permanent du Comité National du CILSS au Sénégal, représentant le Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, de Monsieur Fouad Mohamed, représentant de la CEDEAO, de Monsieur Houssou Septime de l’Agence Régionale pour l’Agriculture et l’Alimentation (ARAA) et de Monsieur Jean Claude Ouedraogo, représentant du Coordonnateur du projet ECOAGRIS. Ont également pris part à cet atelier, une trentaine de participants provenant des 12 pays francophones de l’espace CILSS/CEDEAO : Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Côte d’Ivoire, Guinée Bissau, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad etTogo.
Atelier de formation des formateurs sur le système régional intégré d'information agricole de la CEDEAO
Photodocumentation atelier de formation des formateurs ECOAGRIS
Atelier Régional de Formulation de la Stratégie Genre de SERVIR Afrique de l’Ouest
Présentation de l’itinéraire d’une femme scientifique par Mme Harouna Habsou Oumarou . présentation introductive sur la promotion des STEM auprès des filles : enjeux et perspectives par Pr Sabo Haoua Seyni . Présentation de l’approche de planification de services de SERVIR par Dr Mariama Nouhou
Atelier regional de plaidoirie
La sous-région Ouest africaine de par ses diverses zones agro-écologiques détient une biodiversité agricole riche et variée qui, dans le passé, a joué et continue de jouer un rôle vital dans la sécurité et la nutrition alimentaires des populations rurales et urbaines. Pendant que dans plusieurs cas les composants de santé des traditions alimentaires en Afrique de l’Ouest se trouvent toujours dans les vies et dans l’art culinaire des ménages ruraux, il y a une tendance générale à la négligence et à la sous-utilisation des cultures traditionnelles alimentaires et des espèces comestibles. Les divers écosystèmes agricoles de l’Afrique de l’Ouest fournissent une large gamme d’aliments traditionnels qui peuvent être mobilisés pour accroître la disponibilité alimentaire, étendre les choix alimentaires des ménages assurant ainsi une diversité diététique et une meilleure nutrition. La riche diversité de tubercules, de plantes racines, de plantes rhizomes, de fruits à amidon, de céréales, de légumineuses, et de menus gibiers, quand utilisée dans des mets diversifiés, peut satisfaire les besoins journaliers en énergie, protéines et micronutriments d’une population. Les fruits, les légumes, les graines oléagineuses, les sauces épaississantes, les condiments et les épices traditionnels sont considérés comme des aliments auxiliaires et ainsi négligés par la recherche agricole et les programmes de production alimentaire. Ces aliments sont en réalité les sources majeures de micronutriments, de protection sanitaire et de promotion des substances phytomédicinales dans les repas journaliers1.
Atelier régional de validation des indicateurs du système agricole d’information intégré «ecoagris»
Améliorer la qualité de l’information d’aide à la prise de décision en vue d’une meilleure réponse aux crises alimentaires et nutritionnelles dans l’espace CEDEAO/UEMOA/CILSS
Avis sur la situation alimentaire et nutritionnelle au sahel et en afrique de l'ouest
Une situation alimentaire et nutritionnelle globalement satisfaisante sauf au Tchad
AVIS sur la situation alimentaire et nutritionnelle dans un contexte d’insécurité civile et d’inflation persistante au Sahel et en Afrique de l’Ouest
Organisée par le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel avec l’appui de ses partenaires, la réunion du PREGEC de juin, a lancé la campagne agro-pastorale 2024-2025. Elle a également examiné les prévisions des caractéristiques
agro-hydro-climatiques de la saison des pluies et préparé le suivi de son déroulement.
Avis sur les resultats preliminaires de la campagne agropastorale 2015-2016 au sahel et en afrique de l'ouest
« Une situation alimentaire et nutritionnelle globalement satisfaisante malgré un démarrage tardif de la campagne agropastorale »
Bilan à mi-parcours à la date du 30 septembre 2014
La carte des zones favorables et défavorables résulte de la combinaison de trois indices de végétation : l'ICN, le VCI, le SNDVI et les profils ICN par unité administrative. Cette carte est produite à l'échelle régionale. Il ressort de son analyse que sur environ 40 & de la zone sahélienne, la campagne agropastorale 2014/2015 s'est mal déroulée laissant craindre des faibles productions agricole et pastorale. Ailleurs des situations moyennes à largement supérieures sont observées. Les parties hachurées en rouge représentent les zones défavorables à la bonne production agricole et pastorale, c'est-à-dire les zones dans lesquelles le déroulement de la campagne agropastorale s'est mal passé du fait : soit d'une arrivée tardive des premières pluies utiles ; d'une pause pluviométrique prolongée ayant entrainé plusieurs ressemis ou un ralentissement de la croissance végétative ou des conditions favorables à des attaques d'ennemis des cultures.Les parties hachurées en vert sont les zones favorables à des bonnes productions agricole et pastorale au vu de l'évolution nettement supérieure à la moyenne. Le bon comportement de la végétation naturelle et cultivée résulte de la bonne distribution spatiotemporelle des précipitations enregistrées dans ces zones, du mois de mai à juillet doublée dans certains cas d'une amélioration importante de la situation pluviométrique pendant les mois d'août et septembre.Les zones en blanc sont considérées comme moyennes par rapport à la série historique d'images décadaires des 13 dernières années (figure1).
Bilan céréalier ex-post 1999/2000
BILAN CEREALIER EX-POST 1999/2000
Bilan céréalier ex-post 2002/2003
BILAN CEREALIER EX-POST 2002/2003
Bilan céréalier ex-post 2003/2004
BILAN CEREALIER EX-POST 2002/2004
Bilan céréalier ex-post 2004/2005
BILAN CEREALIER EX-POST 2002/2005
Bilan céréalier ex-post 2005/2006
BILAN CEREALIER EX-POST 2002/2006
Bilan céréalier ex-post 2006/2007
BILAN CEREALIER EX-POST 2002/2007
Bilan céréalier ex-post 2007/2008
BILAN CEREALIER EX-POST 2002/2008
Bilan céréalier ex-post 2008/2009
BILAN CEREALIER EX-POST 2002/2009
Bilan de l'évaluation de la vulnérabilité alimentaire des ménages au burkina faso à l'aide d'une échelle d'insécurité alimentaire ressentie
Rapport de stage effectué dans le cadre de l’Enquête Nutritionnelle Complémentaire à l’Enquête Permanente Agricole nationale du Burkina Faso (1er passage – Août/Septembre 2006)
Bilan de Mindelo et problématique actuelle
Bilan des évolutions constatées et recommandations suite au colloque de Mindelo en 1986
Bulletin continental de veille environnementale. Septembre 2015 à Mars 2016
Conditions de sécheresse liées à El Niño depuis le début de la saison conduisant à de faibles récoltes et production de fourrage en Afrique australe et dans la partie nord de l’Afrique orientale. Retards dans le démarrage de la saison des pluies, avec des échecs répétés dans le démarrage de la saison, affectant négativement la croissance des cultures et des pâturages disponibles pour le bétail en Afrique australe. Conditions de croissance végétative normales à très bonnes, en raison de pluies accrues liées à El Niño en Afrique orientale. Intensification de la remontée des eaux profondes (upwelling) créant des conditions optimales qui favorisent la croissance des poissons dans le Grand Ecosystème Marin du Courant de Guinée. Températures des eaux de surfaces plus chaudes que d'habitude pourraient réduire la production de poissons dans la région des Grands Ecosystèmes Marins des Canaries et de Benguela. Les températures des eaux de surfaces plus chaudes que d'habitude tout autour des îles de l’Océan Indien montrent une réduction dans la production primaire entre la côte orientale de l’Afrique et les îles du sud-ouest de l’Océan Indien. Possible réduction de la production halieutique dans la région.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en Afrique de l’ouest : Bulletin Mensuel n° 04 - Juin 2016
Le début de la saison agricole, à quelques exceptions près, est conforme à ce qui a été prévu à l’issue du forum des prévisions saisonnières tenu en Mai 2016 ; • La prévision des durées des séquences sèches après l’installation des cultures s’est aussi confirmée dans l’ensemble ; • Les probabilités d’avoir des cumuls pluviométriques saisonniers supérieurs à la moyenne sur la majeure partie du Sahel central et oriental et inferieurs à la moyenne sur les régions de l’extrême Ouest, demeurent élevées; • Les séquences sèches normales à plus longues que la moyenne sont attendues, pendant la période post-floraison des cultures pluviales, sur l’extrême Ouest de la bande sahélienne. Sur presque toutes les zones Centre et Est du Sahel, elles devraient être plus courtes à normales.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en Afrique de l’ouest : Bulletin mensuel n° 02 - Juin 2013
La situation pluviométrique au cours du mois de juin 2013 a été caractérisée par le maintien de l’activité de mousson sur l’Afrique de l’Ouest occasionnant des pluies fortes à modérées sur l’ensemble du Sahel. Les quantités de pluie enregistrées pendant ce mois sont supérieures à 100 mm dans les parties Sud/Ouest du Mali et du Burkina Faso, l’Est et le Nord-Ouest du Burkina Faso, le Sud du Niger et du Tchad.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest août 2013
Les fortes précipitations enregistrées durant le mois d’août au Sahel ont permis d’atténuer les effets négatifs du démarrage tardif de la saison des pluies. Elles ont néanmoins occasionné des inondations dans diverses localités de la bande sahélienne.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en Afrique de l’ouest août 2014
Le mois d’août a été caracterisé par une amélioration des pluies dans la région, une poursuite de la montée des eaux des différents bassins, une poursuite du remplissage des ouvrages hydrauliques et l’amélioration des conditions de croissance et de développement des cultures et des pâturages. Toutefois, les cumuls pluviométriques saisonniers restent globalement inférieurs à ceux des années de référence. Dans le même sens, les débits et écoulements des bassins du Sénégal et du Niger ont connu des déficits qui auraient des conséquences négatives sur les cultures irriguées. Des baisses de production agricole et des pâturages sont aussi prévisibles dans la zone agropastorale du Sahel.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest août 2015
Conditions très favorables de développement des cultures et des pâturages avec une situation acridienne calme. • La situation pluviométrique a été très favorable durant le mois d’août avec des cumuls mensuels supérieurs à la moyenne sur la majeure partie de la région hormi la zone bimodale qui traverse sa petite saison sèche et par endroits sur des zones de faible étendue dans la zone Sahélienne. • les besoins en eau des cultures céréalières (mil et sorgho) sont très bien satisfaits sur toute la zone sahélo-soudanienne de l’Afrique de l’Ouest à l’exception de quelques poches. • La situation acridienne est relativement calme dans tous les pays de la ligne de front. Cependant les conditions écologiques favorables dans les zones de reproduction estivale rendant possible une augmentation d’effectifs. • Une amélioration significative de la situation pastorale a été observée sur la quasi-totalité de la zone pastorale suite à l’augmentation des disponibilités fourragères et du remplissage des points d’eau de surface • Les conditions sont très favorables aux écoulements des principaux bassins fluviaux de la région. On s’attend à une baisse d’écoulements au mois de septembre; toutefois, le risque d’inondation persiste surtout sur le bassin du Sénégal.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest août 2016
Des cumuls pluviométriques décadaires déficitaires par rapport à la moyenne sont observés sur l’Ouest du Sahel (Sénégal, Mauritanie, Mali), le Centre du Sahel (Burkina Faso, Sud-ouest Niger), l’Est du Sahel (Centre et Sud du Tchad) et sur des localités dans les pays du Golfe de Guinée. Par ailleurs, des cumuls moyens et excédentaires sont observés. L’évolution saisonnière des pluies du 1er mai au 10 août indique globalement des excédents pluviométriques sur la plupart des localités. Les déficits les plus marqués sont observés sur l’extrême Ouest du Sahel notamment sur le Sénégal, la Mauritanie et la Gambie.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest août 2016
Des pluies abondantes dépassant 150 mm, ont été recueillies dans les zones agricoles du Tchad, au Nigeria, à l’Est et au Sud du Niger, dans la majeure partie du Burkina, dans la partie Sud du Mali, au Benin et au Togo, exceptée la partie Sud, à l’Est et au Nord et à l’Est du Ghana, au Nord de la Côte d’Ivoire, en Guinée, en Guinée Bissau, au Sud du Sénégal, en Sierra-Léone et au Liberia. Le cumul saisonnier de la pluviométrie estimée (RFE) est excédentaire en comparaison avec la moyenne 2006–2015 sur presque toute la région. Cependant, des déficits légers affectent également par endroits quelques zones de faible extension spatiale dans la zone sahélienne. Il s'agit notamment du centre du Mayo-Kebbi Est (Tchad), la partie nord de l'État du Borno (Nigeria), la partie centrale des départements de Tanout et Miriah (Niger), et la partie sud-est de Hodh Ech Chargui (Mauritanie).
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest avril 2016
La comparaison spatiale des détections moyennes de feux actifs au cours des 15 dernières campagnes (2000-2015) à celle qui est en cours (2015-2016)montre une légère tendance à la hausse des occurrences de l’ordre de 2& . Cette tendance reste très variable selon les pays : \- Une hausse des occurrences au Ghana, Guinée, Libéria Togo variant de 8& à 23&; \- Une situation équivalente à la moyenne en Côte D’Ivoire, au Nigéria et au Sénégal; \- De fortes réductions des occurrences dans les autres pays.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest juillet 2013
Malgré l’installation tardive de la saison pluvieuse, on a assisté en juillet à de fortes pluies mieux réparties dans le temps et dans l’espace, et à une poursuite de la remontée timide et fl uctuante des niveaux des eaux dans les différents bassins fl uviaux. Malgré également, les retards de semis, les cultures en place de même que les pâturages bénéfi cient d’assez bonnes conditions hydriques pour leur croissance et leur développement végétatif. Toutefois, une surveillance reste nécessaire face à la menace acridienne. Sur les marchés, les prix des céréales ont été globalement stables et ont connu des hausses au cours du mois de juillet, notamment le mil, du fait de la forte demande pendant le Ramadan.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest juillet 2013
Une saison de pluies hétérogène avec des cumuls pluviométriques excédentaires à moyens sur le Centre du Sahel et les parties Nord des pays côtiers du Golfe de Guinée, moyens sur le Nord-ouest, équivalents à excédentaires au Sud-est, équivalents à défi citaires sur le Sud-ouest et le Nord-est ; et des durées de séquences sèches plus longues à moyennes pendant la période post fl oraison.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest juillet 2014
La situation au mois de juillet 2014 est marquée par : i) une installation globalement tardive de la saison des pluies utiles, ii) des niveaux des plans d’eau inférieurs à ceux de l’an passé à la même période malgré une amorce de hausse notée en juillet, iii) des retards de semis et une faible croissance des cultures et des pâturages dans la bande sahélienne.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest juillet 2016
D’importantes quantités de pluies favorables au développement des cultures et des pâturages ont été enregistrées. Des pluies de plus de 150 mm ont même occasionné des inondations par endroits. Du début de la saison à la troisième décade du mois de juillet, les plus importants déficits pluviométriques ont été enregistrés au centre du Niger, à l’extrême nord-ouest du Mali et au Sénégal. Les écoulements entamés en juin, se sont maintenus et renforcés durant le mois de juillet. Des écoulements excédentaires à normaux sont observés sur la quasi-totalité des stations hydrologiques des bassins versants sahélosoudaniens. Cette tendance des écoulements conforte les résultats du forum des prévisions saisonnières du mois de mai.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en Afrique de l’ouest juin : N° 03 - Juin 2012
Installation progressive des pluies dans le Sahel occasionnant une amorce de la montée des eaux au niveau des différents cours d’eau, une extension des semis et une disponibilité progressive du fourrage vert. Toutefois, une vigilance doit être portée sur le risque d’invasion acridienne au cours de la campagne.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest juin 2015
Globalement, des dates de début de saison des pluies tardives, des dates de fin de saison précoces à normales, des durées de séquences sèches en début de saison moyennes à plus longues et des durées de séquences sèches de fin de saison plus longues à moyennes sont prévues dans le Sahel et en Afrique de l'Ouest. Des écoulements globalement moyens à tendance légèrement excédentaires pour certains bassins sahéliens et déficitaires pour les bassins soudaniens sont attendus. La configuration de la saison des pluies est relativement plus optimiste sur le plan hydrologique que sur le plan pluviométrique.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest mai 2012
Les prévisions saisonnières climatiques et hydrologiques 2012 révèlent une pluviométrie normale à légèrement excédentaire au Tchad, à l’Est du Niger et au Burkina Faso de même que dans les parties septentrionales du Nigeria, du Bénin, du Togo, du Ghana et de la Côte d’Ivoire. Par contre, dans le Sahel Ouest (Ouest du Mali, Sénégal, Mauritanie, Gambie, Guinée Bissau, Guinée) une tendance normale à déficitaire est attendue. Sur le plan hydrologique, il est attendu des écoulements normaux sur les fleuves Sénégal, Gambie et Comoé ; normaux à excédentaires sur les fleuves de la Volta et de l’Ouémé et normaux à déficitaire sur le fleuve Niger pour la partie supérieure.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest mai 2013
Une saison des pluies avec des cumuls pluviométriques équivalents à excédentaires par endroit, par rapport à la période de référence 1981-2010 ; des dates de démarrage et de fi n de saison des pluies équivalentes et des séquences sèches moins longues pendant les périodes critiques d’installation et de reproduction des cultures. Sur le plan hydrologique, des écoulements équivalents ou supérieurs à la moyenne des trente dernières années sont attendus au niveau des principaux bassins fl uviaux de la région.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest mai 2014
Précipitations déficitaires à normales attendues sur la majeure partie du Sahel Ouest et normales à déficitaires sur les zones Centre et Est du Sahel. ? Dates de début de saison agricole tardives à normales attendues sur la façade Ouest et la bande sahélienne et précoces dans la zone Centre de l’Afrique de l’Ouest.? Dates de fin de saison agricole tardives à normales attendues sur les bandes sahélienne et soudanosahélienne.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest mai 2015
La situation actuelle des températures de surface des différents bassins océaniques se présente comme suit (fi gure 1) : Sur le bassin de l’Océan Pacifi queTropical :un réchauffement de la surface de l’Océan est observé sur les parties Equatoriale, Nord-est et Sud-est. Ce réchauffement excède 1.5°C sur le Pacifi que Equatorial.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest mars 2014
Des précipitations globalement proches des moyennes saisonnières (période 1981-2010) sont attendues de Mars à Juin 2014 sur la majeure partie de la région du Golfe de Guinée, avec des possibilités d’observer des perturbations dans la distribution des événements pluvieux durant cette période. Des dates de début de saison de pluies normales à précoces avec des retards par endroit, sont prévues. Par contre, des dates de fi n de saison normales à tardives sont attendues sur la majeure partie du littoral du Golfe de Guinée. Des séquences sèches de durées plus longues à équivalentes que celles habituellement observées dans la zone côtière du Golfe de Guinée, pourraient être observées après les dates de semis et après la période de fl oraison.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest mars 2015
De mars à juin 2015, des précipitations globalement proches de la moyenne à défi citaires sont attendues sur la majeure partie de la région du Golfe de Guinée. Durant cette période, des perturbations pourraient être observées dans la distribution des événements pluvieux. Des dates de début de saison des pluies tardives à moyennes sont attendues sur le Sud Togo et Bénin et dans les parties Sud-est du Nigéria et du Ghana. Ailleurs, elles seraient précoces à moyennes.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest mars 2016
Une saison des pluies avec des cumuls pluviométriques moyens à déficitaires, des dates de démarrage normales à tardives et des durées de séquences sèches plus longues pendant les périodes critiques d’installation et de reproduction des cultures, sont attendues entre Mars et Juin 2016.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en afrique de l’ouest septembre 2015
La situation pluviométrique du mois de septembre indique une bonne fin de saison de croissance en zone Sahélienne mais un mauvais départ en zone bimodale marquée par une pluviosité déficitaire. Au plan pastoral la situation est globalement satisfaisante sur la quasi-totalité de la zone pastorale sahélienne. En effet, suite aux pluies importantes et régulières enregistrées dans cette zone, une amélioration significative des conditions d’abreuvement et une augmentation de la disponibilité fourragère ont été observées. Une montée des écoulements sur la majorité des bassins fluviaux en région sahélienne et sahélosoudanienne est observée. La situation est globalement excédentaire à normale. Cependant la rivière Komadougou fait observer une tendance légèrement déficitaire.
Bulletin de suivi de la campagne agropastorale en Afrique de l’ouest septembre 2016
La fin du mois de septembre a marqué le début de la baisse des écoulements dans les bassins du fleuve Sénégal, de la Gambie, le haut et moyen bassin du fleuve Niger et le haut bassin de la Volta. Toutefois, la montée des écoulements s’est poursuivie dans le bassin du Lac-Tchad, le Delta intérieur et le bassin inférieur du fleuve Niger dont les pointes des crues sont normalement observées en octobre.
Bulletin de veille environnementale : suivi de feux actifs/ Année 1 - N°3 Avril 2010
Ce premier numéro du bulletin de veille environnementale, initié par le Centre Régional AGRHYMET dans le cadre du projet AMESD, est consacré aux feux de brousse. Comme indiqué en page 2, ces feux constituent un élément clé dans la dynamique des paysages de l’Afrique de l’Ouest. Tout en étant un outil de gestion des ressources naturelles auquel ont recours les populations, ils constituent également un fléau contre lequel il convient de lutter. Les progrès réalisés dans le domaine de la télédétection permettent de nos jours de détecter les feux actifs et de faire un suivi régulier de leur occurrence. En pages 3 et 4, nous analysons la distribution temporelle des feux actifs détectés à l’aide du capteur MO-DIS dans les différents pays Afrique de l’Ouest. La fiabilité de ces données satellitaires a pu être vérifiée sur le terrain grâce aux missions de validation que les équipes du Centre Régio-nal Agrhymet ont effectué au Bénin et au Sénégal en Février 2010, avec la collaboration des partenaires nationaux.
Bulletin de veille environnementale N°13. Août 2012 - Situation de la campagne agro-pastorale 2012/2013 bilan à mi-parcours
Malgré l'abondance des pluies de ces dernières semaines, on observe, une mauvaise installation de la première phase de la campagne agropastorale 2012/2013 notamment: au Niger dans les régions de Tahoua, Dosso et Tillabéry, un peu dans la région de Diffa; au Burkina dans les régions de l'est, du centre est et du Sahel ; au Mali un peu dans les zones frontalières au Niger ; au Sénégal au nord de Matam et à l'est de Louga ; en Mauritanie dans les régions d'Assaba, de Guidimahka et de Hodh Ech Gharbi. Cette situation défavorable est consécutive à un retard important de la date des semis ou de leurs pertes, lié soit à un manque de pluies utiles soit à une pause pluviométrique prolongée. aussi, quelles que soient les conditions de déroulement de la deuxième phase de la campagne agropastorale, une baisse de production est à craindre dans ces zones particulièrement pour les espèces photopériodique. au-dessus de la moyenne (condition favorable) dans les régions centrales du Niger (Maradi et Zinder) et au Mali (dans les régions centrales) ; dans toute la partie sahélienne du Tchad ; dans l'est du Sénégal et dans le Centre pastoral de la Mauritanie. Si cette tendance se maintenait, on pourra espérer de bonnes récoltes dans ces régions. Partout ailleurs, la situation reste normale. L'on remarque toutefois une croissance végétative Libye
Bulletin de veille environnementale. N° août 2010
La première partie de la saison des pluies 2010 a été globalement très favorable à la croissance des cultures sous pluie dans les régions sahéliennes et soudaniennes de l’Afrique de l’Ouest. La situation est exceptionnelle quasiment dans tout le Tchad,mais on signale des vastes zones excédentaires également au Niger, au Burkina, au Mali et au Sénégal. Toutefois, on peut remarquer des zones déficitaires en Mauritanie, au Burkina, et des poches d’extension limitée, au Mali, au Niger, au Tchad et au Sénégal.
Bulletin de veille environnementale. N° août 2011
On observe,une mauvaise installation de la première phase de la campagne agropastorale 2011/2012 : au Niger notamment dans les régions de Tahoua (départements de Madaoua, de Konni, de Keita, de Bouza et de Tchintabaraden ), Diffa (départements de Diffa et Mainé), Tillabéry (quasiment partout) et Dosso (sud du département de Dogondoutchi, une partie des départements de Dosso, Gaya et Loga) ; au Burkina dans les régions de l'Est, du Centre Nord, du Nord et de la Boucle du Mouhoum ; au Mali dans le Nord des régions de Kayes et de Koulikoro ; au Sénégal (Bakel et Kanel, Ranerou, Linguere et Matam) ; en Mauritanie dans toutes les régions frontalières avec le Mali ; au Tchad (Ouaddaï Assongha, et un pratiquement dans les régions centres du sahel tchadien). Cette situation est consécutive à un retard important de semis ou de leurs pertes, lié soit à un manque de pluies utiles soit à une pause pluviométrique prolongée. Une baisse de production est à craindre dans ces zones particulièrement pour les espèces photopériodiques quelles que soient les conditions de déroulement de la deuxième phase de la campagne agropastorale.Dans le même temps, on observe une croissance au-dessus de la moyenne dans les régions centrales du Niger (Maradi, Nord Zinder et centre Tahoua) et au Mali dans les régions de Gao, Mopti, Tombouctou, centre Ségou et Sud Koulikoro. Si cette tendance se maintient, on pourra s'attendre à des bonnes récoltes dans ces régions. Partout ailleurs, la situation reste normale.
Bulletin de veille environnementale. août 2012
Malgré l'abondance des pluies de ces dernières semaines, on observe, une mauvaise installation de la première phase de la campagne agropastorale 2012/2013 notamment: au Niger dans les régions de Tahoua, Dosso et Tillabéry, un peu dans la région de Diffa; au Burkina dans les régions de l'est, du centre est et du Sahel ; au Mali un peu dans les zones frontalières au Niger ; au Sénégal au nord de Matam et à l'est de Louga ; en Mauritanie dans les régions d'Assaba, de Guidimahka et de Hodh Ech Gharbi. Cette situation défavorable est consécutive à un retard important de la date des semis ou de leurs pertes, lié soit à un manque de pluies utiles soit à une pause pluviométrique prolongée. aussi, quelles que soient les conditions de déroulement de la deuxième phase de la campagne agropastorale, une baisse de production est à craindre dans ces zones particulièrement pour les espèces photopériodique.
Bulletin de veille environnementale. juin 2011
Dans les pays ouest africains et sahéliens, les plus fortes densités de feux actifs sont observées, pour la période d’octobre 2011 à Avril 2012, au sud de la Guinée Conakry, au nord du Ghana et au sud du Tchad (fi gure1). L’analyse mensuelle des données de ces feux actifs montre que les mois de Décembre et Février ont enregistrés les plus importantes détections avec plus ou moins 100 000 foyers pour chacun (fi gure3). Il ressort de l’étude du nombre de détections par pays, que les plus importantes détections sont faites en Guinée, au Nigeria et au Tchad avec plus ou moins 50000 foyers. La Gambie, le Niger et la Mauritanie présentent les plus faibles nombres de détections même si ce nombre est fonction de la superfi cie du pays et de la disponibilité de biomasse sèche (fi gure 4).La comparaison de la densité des détections d’octobre 2010 à avril 2011 à celle de la moyenne de la même période des dix dernières années montre une certaine recrudescence du phénomène dans la bande sahélienne notamment, au centre du Tchad, au centre du Niger, au nord Nigéria, au Nord du Burkina ,au centre du Mali frontière mauritanienne, au sud de la Mauritanie, et au Nord du Sénégal (Figure2).
Bulletin de veille environnementale. juin 2011
Ce premier numéro du bulletin de veille environnementale, initié par le Centre Régional AGRHYMET dans le cadre du projet AMESD, est consacré aux feux de brousse. Comme indiqué en page 2, ces feux constituent un élément clé dans la dynamique des paysages de l’Afrique de l’Ouest. Tout en étant un outil de gestion des ressources naturelles auquel ont recours les populations, ils constituent également un fléau contre lequel il convient de lutter. Les progrès réalisés dans le domaine de la télédétection permettent de nos jours de détecter les feux actifs et de faire un suivi régulier de leur occurrence.
Bulletin de veille environnementale. mai 2011
Une bonne disponibilité en eau de surface a été observée pendant l’année 2010 dans les pays de l’ Afrique de l’Ouest et du Sahel. (figure1) Cette situation fait suite à la bonne pluviométrie enregistrée dans la zone pendant la saison des pluies ayant occasionné des inondations par endroit. En effet l’anomalie du cumul de l’estimation des pluies (RFE) de janvier à août 2010 par rapport à la moyenne 2005-2009, montre globalement, en Afrique de l’Ouest et au Sahel, un total saisonnier variant de l’excédentaire à l’équivalent. Ceci confirme d’une manière générale les prévisions saisonnières faites par L’ACMAD et Le Centre Régional AGRHYMET pour l’année 2010. Les plus importantes détections ont été observées pendant la période du mois d’Août à Décembre 2010 (Figure2). Cette situation est non seulement favorable à une recharge des nappes souterraines mais aussi à une disponibilité en eau d’une assez longue durée pendant la saison sèche au sahel permettant ainsi, la poursuite des activités agricoles de contre saison et l’abreuvement du bétail.
Bulletin de veille environnementale. novembre 2010
La saison des pluies 2010, au regard de l’état de la végétation naturelle au 30 Septembre 2010, a été globalement très favorable à la croissance des cultures et des pâturages partout en Afrique de l’Ouest, notamment dans les pays du CILSS (Fig. 1). La carte de synthèse présentée en Fig. 1 est issue de l’analyse croisée de l’état de la végétation naturelle à partir d’indicateurs dérivés des images du satellite Spot Végétation. Ce sont l’indice de croissance normalisée de la végétation (ICN), l’indice des conditions de végétation (VCI), l’indice normalisé de végétation standardisé (sNDVI), utilisés dans le cadre du projet AMESD et dont les définitions sont données dans l’encadré de la page 8.
Bulletin de veille environnementale. novembre 2011
La saison des pluies 2011 a connu une évolution défavorable En revanche, la situation a été favorable au centre du Niger et du Mali où l’état des cultures et des pâturages a connu une évolution légèrement au dessus de la moyenne. par ailleurs la situation est restée normale. Au Niger notamment dans les régions de Tahoua (départements de Madaoua, de Konni, de Keita, de Bouza et de Tchintabaraden ), Diffa (départements de Diffa et Mainé), Tillabéry (quasiment partout) et Dosso (sud du département de Dogondoutchi, une partie des départements de Dosso, Gaya et Loga) ; au Burkina dans les régions de l'Est, du Centre Nord, du Nord et de la Boucle du Mouhoum ; au Mali dans le Nord des régions de Kayes et de Koulikoro ; au Sénégal (Bakel et Kanel, Ranerou, Linguere et Matam) ; en Mauritanie dans toutes les régions frontalières avec le Mali ; au Tchad (Ouaddaï Assongha, et pratiquement dans les régions centres du sahel tchadien).
Bulletin hebdomadaire de suivi Agro-Hydro-Météorologique pour les sites pilotes du projet ACCIC - Bulletin N°10 - Semaine du 23 au 30 Octobre 2014
Les cumuls de pluie estimée par satellite recueillis au cours des deux premières décades du mois d'Octobre 2014, sur les sites pilotes du projet ACCIC ont été globalement faibles à nuls sur leur quasi totalité. En particulier les sites du Sud du Burkina Faso et du Sud Est du Mali ont enregistré des quantités de pluies relatives faibles tandis que sur le Niger et sur presque l'ensemble du pays la saison des pluies tire déjà à sa fin. Cette situation a été déjà décrite dans les prévisions des semaines passées qui annonçaient le retrait du FIT (Front InterTropical) et donc un arrêt de la pluviométrie dans ces régions avec pour résultante une situation pluviométrique globalement déficitaire sur l'ensemble des sites du Mali, du Burkina Faso et du Niger.
Bulletin mensuel AGRYMETH - août 2011
Le mois d’août 2011 a été moins pluvieux que celui de l’an passé à la même période dans les zones sahéliennes et soudaniennes des pays du CILSS. Les excédents pluviométriques ont été plus prononcés dans les zones pastorales et désertiques. Ceci pourrait avoir comme conséquences des baisses éventuelles de productions dans certaines localités des zones sahéliennes et soudaniennes où les cultures sont en phase de reproduction d’une part, et d’autre part des risques de développement du criquet pèlerin dans les zones désertiques de la Mauritanie, du Mali et du Niger ayant connu des excédents pluviométriques. Sur le plan hydrologique, la tendance est au déficit des écoulements, avec toutefois des hausses localisées, particulièrement marquées pour certaines situations.
Bulletin mensuel juillet 2011
Selon la dernière mise à jour des prévisions saisonnières pluviométriques et des écoulements de la région, les températures des surfaces océaniques et les prévisions des centres mondiaux de climat qui servent de base à cette prévision saisonnière des pluies ont significativement évolué entre leur situation initiale d’avril-mai et celle du mois de juillet. Le refroidissement des eaux de l’Océan Pacifique appelé la Nina, à la veille de la saison des pluies 2011, a évolué vers une phase neutre. Le refroidissement dans le Golfe de Guinée s’est élargi et le dipôle Nord-Sud de l’Atlantique s’est affaibli. Une telle configuration n’est pas favorable à une saison des pluies homogène au Sahel et en Afrique de l’Ouest. L’évolution de la situation pluviométrique actuelle est, en effet, assez hétérogène, avec des zones localement excédentaires, provocant parfois des inondations, et des zones à déficits pluviométriques marqués, créant, au plan agricole, des stress hydriques importants. Des déficits pluviométriques ont été enregistrés en juin et en début juillet dans beaucoup de stations, notamment dans les zones Sud du Sahel, avec comme corollaire, le ralentissement ou l’arrêt des semis par endroits. Un retour des pluies a été amorcé en fin juillet dans certaines localités du Sahel. Toutefois, une bonne répartition spatio-temporelle des pluies et leur poursuite jusqu’en mi-octobre seraient souhaitées pour permettre aux cultures en place et notamment aux derniers semis de boucler leur cycle.
Bulletin mensuel juin 2010 : Développement satisfaisant des premiers semis suite à l’installation progressive de l’hivernage dans le Sahel.
Comparée aux précipitations de 2009, la pluviométrie du Sahel au 30 juin 2010, est assez satisfaisante dans les pays du CILSS, en dépit des déficits pluviométriques notés à l’Ouest du Sahel, ainsi que dans le Nord du Burkina Faso, et localement dans les régions de Tillabéry et de Diffa au Niger. Cette situation pluviométrique s’est traduite par un développement satisfaisant des premiers semis des céréales et légumineuses dans la zone soudanienne des pays du CILSS. Par contre, dans les régions septentrionales du sahel, les cultures ont souffert de stress hydriques durant le mois juin, ce qui a occasionné par endroits de ressemis. Les pluies du mois de juin ont, par ailleurs, favorisé un bon développement de la végétation naturelle notamment dans les zones agricoles sahéliennes et aussi certaines régions pastorales du Sénégal, de la Mauritanie et du Mali. Par contre, l’insuffisance et l’hétérogénéité de la pluviométrie dans certaines zones pastorales du Burkina Faso, du Niger et du Tchad, n’ont pas permis un développement significatif du pâturage naturel, qui soit accessible au bétail. Sur le plan hydrologique, le mois de juin marque le démarrage de la montée des niveaux d’eau pour la plupart des bassins versants de la région. Aussi, juin 2010 a été caractérisé par des écoulements des cours d’eau et des plans d’eau dans les barrages supérieurs à la normale et à ceux de juin 2009.
Bulletin mensuel juin 2011
En comparaison avec les cumuls pluviométriques du mois de juin de l’année passée, ceux de 2011 sont globalement équivalents à très supérieurs, sauf par endroits dans l’est du Sénégal (département de Bakel), dans le nord de la région de Koulikoro et par endroits dans la région de Ségou au Mali, dans la wilaya du Hodh el Chargui en Mauritanie, dans l’est du Burkina Faso (régions de Fada Ngourma et de la Tapoa), l’ouest du Niger (régions de Tillabéri, commune de Niamey et région de Dosso) et dans le centre et le sud du Tchad où ils sont inférieurs. Ils sont même très inférieurs dans l’extrême sud-est du Burkina Faso et dans le centre-sud du Tchad (cf. figure 1.2).
Bulletin mensuel juin 2016
Messages clés • Des cumuls pluviométriques excédentaires sont enregistrés dans le Sud-ouest Mauritanie, le Centre et Nord-est Mali, le Nord-ouest, le Centre et l’Est du Niger, le Centre-est du Tchad et la zone côtière Ouest couvrant la Guinée, la Sierra Leone et le Libéria. Par contre, il est observé des déficits dans des localités des pays du Golfe de Guinée. • Des écoulements exceptionnels ont été observées dans le bassin moyen du fleuve Niger à Niamey où le débit maximum de juin 2016 a dépassé le record des débits maximums des mois de juin sur la période historique 1929-2015. Au Burkina Faso, le niveau de remplissage de plusieurs barrages est supérieur à la situation de l’année dernière. • Un démarrage précoce de la campagne agricole dans la zone soudano-sahélienne, allant du Sud Tchad au Nord Guinée, en passant par le Nord Nigéria, le Nord Benin, le Nord Togo, le Sud Mali, le Burkina Faso. Toutefois, des poches de retard sont observées par endroit. • Situation du Criquet pèlerin relativement calme dans le Sahel mais assez préoccupante en région centrale. • Une disponibilité d'herbe verte pour les animaux est observée dans 60& des pays du front sahélien. Cependant, dans une bonne partie de la façade atlantique, le bétail continue de s'alimenter avec la masse résiduelle de la campagne passée. Une amélioration progressive de la situation est attendue dès la première décade du mois de juillet. • Les prix présentent une tendance globalement stable avec une légère hausse comparativement à la moyenne des cinq dernières années.
Bulletin mensuel N°1 mai 2024, élaboré par AGRHYMET CCR-AOS
Au cours du mois de mai 2024, le Front Inter Tropical (FIT) a continué sa remonté vers le Nord amorcée en février. A la dernière décade du mois de mai, sa position moyenne était de 13°N, soit une migration saisonnière moyenne d'environ 1,6° (environ 242 km) par rapport à sa position moyenne d'avril 2024. A la dernière décade du mois, il se situe sur un axe Sud Sénégal, Centre Mali, extrême Nord Burkina Faso, Sud Niger et Centre Tchad (Figure 1). Sa position était plus au Nord au centre du Sahel qu'à l'Ouest et à l'Est. Cette position est favorable au démarrage de la saison des pluies dans les zones centre et Est de la bande sahélienne.
Bulletin mensuel_janv-févr-mars_2010
Situation climatique et alimentaire au Sahel et en Afrique de l’Ouest : Vents d’harmattan chargés de poussière sur les pays du Sahel ; production céréalière au Sahel et en Afrique de l’Ouest en baisse de 2& par rapport aux récoltes de 2008 ; pas d’accès aux denrées alimentaires pour une bonne frange de la population : situation plus critique au Niger et au Tchad.
Bulletin situation agrohydropastorale du 15 au 23 août 2016 au sahel et en afrique de l'ouest
Situation agrohydropastorale du 15 au 23 août 2016
Bulletin special cadre harmonise
La situation alimentaire est globalement plus favorable en 2013. Mais, il existe beaucoup de stress et de zones localisées de crise (en phase actuelle ou à venir).
Bulletin spécial cadre harmonisé
Ce bulletin fait la synthèse des travaux de la Cellule Régionale d’analyse du Cadre Harmonisé qui se sont déroulés du 2 au 6 avril à Niamey.
Bulletin special cadre harmonise mars 2013
Les zones qui sont en insécurité alimentaire critique (phase 3) en mars sont les suivantes: Mali : le nord du pays (régions de Gao, de Tombouctou et de Kidal) ; Burkina Faso : la province du Séno ; Niger : les départements de Tillabéri et Téra Seul le Mali présente en mars 2013 des zones en phase 4 (Insécurité Alimentaire extrême) en raison de la crise qui y prévaut : régions de Tombouctou, Gao et Kidal
Bulletin special criquet pelerin oct 2016
Situation préoccupante région occidentale avec résurgence du criquet pélerin en Mauritanie
Bulletin spécial d'alerte_juillet 2010
Prévisions climatiques et hydrologiques favorables aux inondations et au développement du criquet pèlerin
Bulletin spécial prévisions saisonnières 2016
Bulletin spécial de prévisions des caractéristiques agro-hydro-climatiques de la saison des pluies 2016 pour les pays du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest
Bulletin suivi campagne agropastorale aout 2016
Des pluies abondantes dépassant 150 mm, ont été recueillies dans les zones agricoles du Tchad, au Nigeria, à l’Est et au Sud du Niger, dans la majeure partie du Burkina, dans la partie Sud du Mali, au Benin et au Togo, exceptée la partie Sud, à l’Est et au Nord et à l’Est du Ghana, au Nord de la Côte d’Ivoire, en Guinée, en Guinée Bissau, au Sud du Sénégal, en Sierra-Léone et au Liberia. Le cumul saisonnier de la pluviométrie estimée (RFE) est excédentaire en comparaison avec la moyenne 2006–2015 sur presque toute la région. Cependant, des déficits légers affectent également par endroits quelques zones de faible extension spatiale dans la zone sahélienne. Il s'agit notamment du centre du Mayo-Kebbi Est (Tchad), la partie nord de l'État du Borno (Nigeria), la partie centrale des départements de Tanout et Miriah (Niger), et la partie sud-est de Hodh Ech Chargui (Mauritanie). Les grands bassins fluviaux de la région indiquent des écoulements excédentaires sur la quasi-totalité des stations. En effet, les cinq stations du bassin du fleuve Sénégal, la dizaine de stations réparties dans les différents sous-bassins du fleuve Niger, les six stations du bassin du Lac-Tchad réparties entre le Chari, le Logone et la Komadougou Yobé présentent toutes, une situation largement excédentaire par rapport à la normale hydrologique 1981-2010. La disponibilité de la ressource en eau pour les différents usages ne constitue pas un grand enjeu. Toutefois, en cette période de la saison de pluies (...)
Bulletin suivi campagne agropastorale avril 2016
La comparaison spatiale des détections moyennes de feux actifs au cours des 15 dernières campagnes (2000-2015) à celle qui est en cours (2015-2016) montre une légère tendance à la hausse des occurrences de l’ordre de 2& . Cette tendance reste très variable selon les pays : \- Une hausse des occurrences au Ghana, Guinée, Libéria Togo variant de 8& à 23&; \- Une situation équivalente à la moyenne en Côte D’Ivoire, au Nigéria et au Sénégal; \- De fortes réductions des occurrences dans les autres pays. Localement, de fortes hausses sont observées dans le Sud Sénégal, l’Ouest du Mali, la moitié Est de la Guinée Conakry, le Nord de la Sierra Léone, le Centre de la Côte d’Ivoire, tout le Ghana, une bonne partie du Togo, le Sud Benin, la zone du Parc de W des trois pays (Benin, Burkina, Niger) , le Sud et l’extrême Nord Est du Nigeria, enfin le Sud du Tchad. Ailleurs, l’on observe une baisse des détections des foyers de feux voire même équivalente à la moyenne (...)
Bulletin suivi campagne agropastorale juil 2016
Situations agropastorale et hydrologique des pays du CILSS et de la CEDEAO au 31 juillet 2016
Bulletin suivi campagne agropastorale juil 2016
Mise à jour du mois de juillet • Le début de la saison agricole, à quelques exceptions près, est conforme à ce qui a été prévu à l’issue du forum des prévisions saisonnières tenu en Mai 2016 ; • La prévision des durées des séquences sèches après l’installation des cultures s’est aussi confirmée dans l’ensemble ; • Les probabilités d’avoir des cumuls pluviométriques saisonniers supérieurs à la moyenne sur la majeure partie du Sahel central et oriental et inferieurs à la moyenne sur les régions de l’extrême Ouest, demeurent élevées; • Les séquences sèches normales à plus longues que la moyenne sont attendues, pendant la période post-floraison des cultures pluviales, sur l’extrême Ouest de la bande sahélienne. Sur presque toutes les zones Centre et Est du Sahel, elles devraient être plus courtes à normales ; • Des dates de fin de saison tardives à normales sont attendues sur la majeure partie des pays du Sahel et les parties Nord des pays du Golfe de Guinée, à l’exception de la partie Ouest du Sahel ; • Les perspectives d’écoulements sont légèrement moins optimistes que celles initialement établies en mai pour les bassins des fleuves Sénégal et Gambie. Sur les autres bassins fluviaux (Niger, Volta, Ouémé, Mono, Sassandra, Comoé) et le système du Lac-Tchad, la mise à jour n’indique pas des changements majeurs par rapport aux prévisions issues du forum de mai, à savoir des écoulements équivalents à supérieurs à la moyenne pour les bassins sahéliens et soudanosahéliens, et inférieurs pour les bassins côtiers.
Bulletin suivi campagne agropastorale mars 2016
Une saison des pluies avec des cumuls pluviométriques moyens à déficitaires, des dates de démarrage normales à tardives et des durées de séquences sèches plus longues pendant les périodes critiques d’installation et de reproduction des cultures, sont attendues entre Mars et Juin 2016
Bulletin suivi campagne agropastorale sept 2016
La fin du mois de septembre a marqué le début de la baisse des écoulements dans les bassins du fleuve Sénégal, de la Gambie, le haut et moyen bassin du fleuve Niger et le haut bassin de la Volta. Toutefois, la montée des écoulements s’est poursuivie dans le bassin du Lac-Tchad, le Delta intérieur et le bassin inférieur du fleuve Niger dont les pointes des crues sont normalement observées en octobre. Hormis la station de Koulikoro dans le haut bassin du fleuve Niger où les niveaux des écoulements sont revenus à la moyenne, la situation des écoulements a été au-dessus de la normale pour l’ensemble des stations dont les données sont parvenues au CRA. Cependant, ces écoulements ont été légèrement inférieurs à ceux des années exceptionnellement humides enregistrées au niveau de la plupart des stations. Concernant les barrages au Burkina Faso, onze, sur les vingt-un suivis, ont continué à déverser les excédents d’eau. Les taux de remplissage de cette saison qui ont été globalement supérieurs à ceux de 2015 au mois d’août, sont devenus inférieurs en fin septembre pour une majeure partie des barrages.
Bulletin_cadre harmonisé
Insécurité alimentaire critique persistante dans une grande partie de la bande sahélienne, d’où la nécessité de poursuivre le financement des plans d’assistance aux populations vulnérables.
Bulletin_cadre harmonisé_avril 2012
En résumé, trois axes majeurs de réponse sont nécessaires à l’orée de la période de soudure : \- continuer les efforts en matière de lutte contre la malnutrition aigue \- soutenir les plans de réponse pour le secteur élevage \- ne pas privilégier partout l’outil cash transfert avec l’épuisement progressif des volumes de céréales mis en marché et la hausse des prix, qui risque d’être forte durant la soudure 2012.
Bulletin_cadre harmonisé_juin 2012
Poursuivre les efforts de réponse face à la crise, en particulier pour la nutrition, l’assistance alimentaire et l’appui aux moyens d’existence, surtout avant l’installation défi nitive de l’hivernage qui va rendre inaccessible certaines zones ; Renforcer le suivi de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la région
Caractérisation génétique des accessions de poivron (Capsicum Annum L.) de la Région de Diffa, Niger
Une étude sur la variabilité des caractères génétiques d'une collection de poivron est indispensable à un programme d'amélioration génétique. L’objectif de cette étude est de tester 30 accessions de poivron suivant un dispositif de Fisher à 4 blocs, à la Station de Diffa de l'Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN).6 caractères qualitatifs et 16 caractères quantitatifs ont été observés et mesurés. Les caractères qui traduisent une grande variation (CV>30 %) sont le nombre total des fruits (83,98%), le poids des fruits (62,86%), la longueur des fruits (42,48%) et la surface foliaire (30,48%). L’accession Go-027 a été plus performante en nombre total des fruits (57 fruits) et quant aux accessions Ma-032 et Ma-033, elles ont été plus performantes pour la longueur des fruits. Une forte et positive corrélation existe entre plusieurs caractères dont phénologiques (Dat50Fl et Dat1Fr, p=080), de croissance (LgFe et Srfo, p=0,93)et de rendement (PdFr et LgFr, p=0,72).Pour tous les paramètres, la variance phénotypique (σ2p) était supérieure à la variance génotypique (σ2g). La hauteur des plantes (67,66%), la largeur des fruits (65,76%) et le diamètre des fruits (64,09) présentent des valeurs d'héritabilité au sens large élevées (H2 ˃60 %).L’analyse en composante principale (ACP) et la classification ascendante hiérarchique (CAH) ont montré la formation de 4 groupes distinctes. Le groupe G1esttardif avec une grande hauteur associé à un faible poids en fruits, le groupe G2 est composé des accessions intermédiaires, le groupe G3 est tardif avec moins de hauteur et plus de rendement en poids des fruits. Enfin le groupe G4 est précoce, avec une grande hauteur et un bon couvert végétal associé a des fruits longs. Cette caractérisation offre un matériel génétique aux chercheurs leur permettant d’améliorer le potentiel de rendement en fruits commercialisables.
Catalogue régional des espèces et variétés végétales CEDEAO-UEMOA-CILSS : Variétés homologuées2016-2018
Aux termes des dispositions des articles 9.1 du règlement semencier C/REG.4/05/2008 de la CEDEAO et 80.1 du règlement semencier REGL.N°03/2009/CM de l'UEMOA, le Catalogue Ouest Africain des Espèces et Variétés Végétales (COAfEV/CEDEAO) ou le Catalogue Régional des Espèces et Variétés Végétales (CREVU/UEMOA), ci-après désigné par « Catalogue Régional CEDEAO-UEMOA-CILSS des Espèces et Variétés Végétales », est constitué de la liste limitative des variétés dont les semences peuvent être produites et commercialisées sur le territoire des 17 pays de cet espace. Ce Catalogue contient donc l'ensemble des variétés de la liste A des catalogues nationaux. Ce Catalogue remplace le Catalogue Ouest Africain des Espèces et Variétés Végétales (COAfEV) édité en 2018. Il porte sur les variétés des 11 cultures prioritaires que sont : le riz, le maïs, le sorgho, le mil, l'arachide, le niébé, le manioc, l'igname, la pomme de terre, la tomate et l'oignon. Les variétés de ce catalogue ont été retenues sur la base de la disponibilité des informations essentielles de DHS et VATE. Les caractères variétaux présentés le sont à titre informatif, pour faciliter le choix des utilisateurs
CH Reference Table of acute food insecurity for zones classification (Directs evidences)
Purpose: guide strategic short-term goals related to objectives in the medium and long-term focus on the underlying causes and chronic food insecurity. Use: the classification is based on the convergence of evidence of current conditions.
Characterizing and modeling the diversity of cropping situations under climatic constraints in west africa
The Sahel region is known for the high vulnerability of its agriculture to climate variability. Early warning systems that make use of agrometerological forecasts are one of the coping strategies developed by policy makers. However, the predictive quality of the tools and methods used needs improvement. In order to address some of these challenges, we conducted agronomic trials and on-farm surveys to adapt the SARRAH (Syst`eme d’Analyse R´egionale des Risques Agroclimatiques, version H) crop simulation model, and also evaluated it in farmers’ field conditions. The farmers’ practices such as sowing dates and densities, fertilizer use and yields potentials of the millet and sorghum crops were characterized under different climatic conditions.
CILSS’Infos Bulletin mensuel d’information du CILSS N° 0002
Le CILSS prime trois communes à Koudougou
Climate changes and food security impacts and vulnerability of rural and urban populations
The picture is bleak for food security in West Africa, due to the expected impacts of climate changes. Indeed, increased intensity of extreme weather events, droughts and water stress, warming of water and decreasing fish production, land degradation, changes in the distribution of animal and human vector-borne diseases, etc. are anticipated (IPCC, 2013). These effects are aggravated by a significant degradation of land and natural resources by human activities. Despite a possible increase in precipitation in some areas, West Africa is in a delicate situation because of its environmental, economic, and political vulnerabilities. Among others, key vulnerabilities are dependence on agriculture, low incomes, and the already significant variability in climate. Crops in West Africa are already affected by drought and depletion of water resources. Pests and diseases are common, and livestock is affected by regular outbreaks. Pastures rarely produce enough forage. People are dependent on markets and thus undergo changes in local and global food prices. The diet of the population is generally poor in animal proteins, sometimes in vegetables. According farming systems, specificities emerge in terms of vulnerability, such as: • Risks of significant flooding in irrigated farming system; • Low adaptation investments in farming systems based on tubers and cereals; • Isolation, high land degradation, and silting up of ponds in agro-pastoral farming systems based on millet and sorghum; • Drying up of water sources, bush fires, conflicts, and adverse terms of trade for cattle ranchers in pastoral farming system; • Shortages of drinking water in urban and peri-urban areas. Successful adaptation practices do exist. Some of them are presented in another note
Consolidation régionale des analyses du Cadre Harmonisé
La cérémonie d’ouverture de cet atelier s’est tenue le lundi 14 Mars
2022 et a été présidée par Dr Issoufou Baoua, Coordonnateur PRA/
SAN du CILSS en présence des membres de la cellule régionale
d’analyse composée des experts des institutions et organismes
membres du Comité Technique du Cadre Harmonisé (CILSS, FAO,
PAM, UNICEF, FEWS NET, RC/UE, GSU/IPC, FICR, Oxfam, Save
the Children, ACF). Les résultats serviront à alimenter les
concertations du PREGEC de mars 2022 et du RPCA prévu en avril
2022.
Continental environmental bulletin aug 2014 en
Persistent dry conditions were observed from May to July. This might lead to poor crop and pastoral production and impact negatively on food security for millions of people. Seasonal rainfall forecast indicates that the situation is not expected to improve for the rest of the season. Close monitoring of the area is highly recommended. • Bad start of the growing season is observed due to the delay and/or poor distribution of rainfall. Poor yields and below average biomass production are expected as rainfall forecasts indicate average to below rainfall during the remaining period of the season. Close monitoring is recommended. • Favourable conditions of vegetation growth resulting from good rains led to above average vegetation, reaching in some areas the historical maximum.
Continental environmental bulletin. mesa
El Niño related drought conditions since the start of the season have led to poor crop and rangeland production in southern Africa and the northern part of eastern Africa. Delays in the onset of the rainy season, with repeated failures in the start of the season, negatively affected crop growth, and pastures available livestock. Conditions of normal to very good vegetation growth, due to enhanced El Niño rains in eastern Africa. Intensification of upwelling has created optimal conditions to promote fish growth in the Guinea Current Large Marine Ecosystem. Warmer than usual sea surface temperature could possibly reduce fish production in the Canary and Benguela Large Marine Ecosystems.
Demande de subvention pour la mise en oeuvre du projet nutrition, sécurité alimentaire et politique publique au sahel
MONTANT DE LA SUBVENTION DEMANDEE : 80 000 EUROS COUT TOTAL DE L’INITIATIVE (TOUTES CONTRIBUTIONS DONT CILSS): 133 540 EUROS PERIODE DE REALISATION : OCTOBRE 2006-DECEMBRE 2007
Développement satisfaisant des premiers semis suite à l’installation progressive de l’hivernage dans le sahel
Comparée aux précipitations de 2009, la pluviométrie du Sahel au 30 juin 2010, est assez satisfaisante dans les pays du CILSS, en dépit des déficits pluviométriques notés à l’Ouest du Sahel, ainsi que dans le Nord du Burkina Faso, et localement dans les régions de Tillabéry et de Diffa au Niger. Cette situation pluviométrique s’est traduite par un développement satisfaisant des premiers semis des céréales et légumineuses dans la zone soudanienne des pays du CILSS. Par contre, dans les régions septentrionales du sahel, les cultures ont souffert de stress hydriques durant le mois juin, ce qui a occasionné par endroits de ressemis. Les pluies du mois de juin ont, par ailleurs, favorisé un bon développement de la végétation naturelle notamment dans les zones agricoles sahéliennes et aussi certaines régions pastorales du Sénégal, de la Mauritanie et du Mali. Par contre, l’insuffisance et l’hétérogénéité de la pluviométrie dans certaines zones pastorales du Burkina Faso, du Niger et du Tchad, n’ont pas permis un développement significatif du pâturage naturel, qui soit accessible au bétail.
Etude d'évaluation prospective sur les opérations triangulaires
Achat de l'aide alimentaire sur les marchés locaux
Etude de la variabilité génétique de 19 accessions de voandzou « Vigna subterranea (L.) Verdcourt » de l’Extrême et du centre Est du Niger
Le voandzou (Vigna subterranea [L.] Verdc.), culture du nouveau millénaire, est considéré comme une des principales légumineuses des régions tropicales en raison de ses avantages polyvalents. Cette étude a pour objectif principale d’estimer la variation des accessions locales de l’arachide bambara en tenant compte de leurs 21 caractères quantitatifs, afin de découvrir le meilleur génotype adapté au Niger. L’étude est réalisée selon un dispositif en blocs de Fisher complètement randomisé avec quatre répétitions. Vingt-un (21) caractères dont quatre (4) phénologiques, cinq (5) morphologiques et douze (12) liés au rendement ont été évalués pour caractériser les accessions. Avec les 21 caractères des accessions utilisées, la variation des paramètres génétiques a été déterminée. L’analyse de la variance a révélée des variations significatives pour tous les caractères évalués (P≤0,01). Les coefficients de variation varient de 0,57% à 32,11%. Six (6) des vingt-un (21) paramètres mesurés ont des coefficients de variations élevés (CV˃20%). Le rendement a présenté une corrélation fortement positive avec des paramètres tels que le nombre de feuilles (r=0,62), le nombre de gousses (r=0,68), le nombre de pétioles par plante (r=0,62), le poids de 100 graines (r=0,79), le poids de gousses (r=0,97) et le poids de graines (r=0,97). Le poids de graines (GCV=23,40% et PCV=42,54%), le poids de 100 graines (GCV=25,73% et PCV=25,75%) et le rendement en Kg/ha (GCV=23,40% et PCV=42,54%) ont révélé des coefficients de variation phénotypique et génotypique élevés (˃20%). La date de maturité (91,28%) et le poids de 100 graines (96,85%)
Etude sur les besoins des décideurs en matière d'analyse désagrégée de l'IPC/CH
une analyse rigoureuse, factuelle et consensuelle des situations d'insécurité alimentaire et de malnutrition aiguë. Le système de classification IPC/CH permet aux acteurs et aux parties prenantes concernés de déterminer et de classer la sévérité et l'ampleur des situations d'insécurité alimentaire aiguë et chronique et de malnutrition aiguë dans un pays, selon des normes scientifiques internationalement reconnues. Les estimations IPC/CH du nombre de personnes en situation d'insécurité alimentaire et de malnutrition indiquent où et combien de personnes se trouvent dans les différentes phases de l'insécurité alimentaire ou de la malnutrition par zone géographique. Plusieurs recommandations ont été formulées ces dernières années pour que l'IPC/CH fournisse une description plus nuancée des personnes en situation d'insécurité alimentaire et/ou de malnutrition, les raisons de cette situation, les lieux où elle sévit et de la durée de cette insécurité. Le Programme stratégique mondial de l'IPC (2023-
2026) a souligné la nécessité de fournir une « analyse désagrégée par sexe et d'autres déterminants intersectoriels de la vulnérabilité » dans l'analyse de l'IPC (SGP 2022, page 30) ; plus récemment, la réunion du TAG à Rome (16-17 février 2023) a confirmé la nécessité de mener une analyse désagrégée de l'IPC ; et des demandes similaires ont été formulées par les pays du CH en avril 2018, lorsqu'une analyse désagrégée par sexe a été demandée. Malgré ces recommandations, les avis des utilisateurs de l'IPC divergent sur la question de savoir si l'IPC devrait s'engager dans une analyse désagrégée et sur le type d'analyse désagrégée qui apporterait une valeur ajoutée dans différents
contextes. Comme le note l'Évaluation finale du Programme stratégique mondial de l'IPC (2019-2022), « si certains utilisateurs et membres du Comité de Pilotage Mondial (CPM) de l’IPC soulignent la nécessité d'une analyse plus désagrégée et sensible au genre, un nombre important de répondants, y compris des membres du CPM, s'interrogent également sur le rôle de l'IPC et sur la valeur ajoutée d'une analyse plus désagrégée. « Les partisans de l'analyse désagrégée soulignent souvent les besoins du secteur humanitaire en la matière, tandis que les détracteurs remettent en question le
rôle et la valeur ajoutée de l'IPC dans la fourniture d'estimations démographiques plus désagrégées, arguant que l'analyse désagrégée n'est “pas le rôle de l'IPC”, mais plutôt un processus qui devrait être mené au cours de la phase de conception des programmes.
Cette étude a été réalisée par IPC en collaboration avec les partenaires CH. L'objectif de l'étude est d'examiner en détail s'il existe un besoin d'analyse désagrégée à différents niveaux de décision et d'explorer les modalités de mise en œuvre qui permettraient d'informer les processus de prise de décision de la manière la plus efficace possible.
Evaluation des ressources pastorales au Sahel Nigérien à l'aide des données NDVI issues de SPOT végétation
L’étude a été réalisée dans la zone pastorale du Niger, elle se propose de : tester la stabilité du modèle d’estimation de la biomasse du Ministère de l’Élevage et des Industries Animales (MEIA) du Niger ; puis de comparer les performances de l’intégrale et du maximum du NDVI de SPOT VEGETATION et eMODIS à l’aide des données réelles collectées de 2001 à 2012 par MEIA. La méthode de régression linéaire simple est utilisée pour calculer les coefficients de détermination R² et les erreurs quadratiques sur la série (RMSE), par zone bioclimatique puis année par année. Les résultats montrent des R² variant, suivant les années, de 0,52 à 0,73, de façon très significative (P<.0001). Ce coefficient de détermination est plus élevé dans les zones saharienne et nord sahélienne comparé à la zone sahélienne typique. Les RMSE annuelles varient entre 120 et 460 Kg.MS.ha-1. Les tests non paramétriques de comparaison de moyenne (Test de Wilcoxon et des signes) ne mettaient pas en évidence de différence significative entre SPOT VEGETATION et eMODIS (intégrale ou maximum). Cette possibilité d’intercomparabilité des indices provenant de différents capteurs permet aux utilisateurs d’assurer la production sans interruption avec une possibilité d’analyse convergente si l’un des deux capteurs était indisponible
Evolution de la politique céréalière
Cinquieme conférence du Club du Sahel, Bruxelles du 26-27-28 octobre 1983
Evolution des risques agroclimatiques associés aux tendances récentes du régime pluviométrique en afrique de l’ouest soudano-sahélienne
Dans le contexte actuel de changement climatique, la veille agro-hydrométéorologique des regions semi-arides doit être ameliorée et renforcée. L’objectif de ce travail est d’utiliser des données observées en station pour identifier l’evolution spatio-temporelle des risques agroclimatiques associés aux grandes tendances du régime pluviométrique dans la bande soudano-sahélienne élargie aux parties Nord de certains pays côtiers de l’Afrique de l’Ouest (Benin, Togo, Nigeria). Les resultats montrent que sur la periode 1950-2010, l’evolution du regime pluviometrique est en trois phases quasi identiques sur les cumuls (Cum), l’intensite du cumul sur trois jours consecutifs (Px3), et les longueurs de saison culturale (LSC) par rapport a la normale 1961-1990. A savoir : i) une periode d’excedents de Cum et Px3 avec des LSC plus importantes (1950-1969) ; ii) une periode de deficits de Cum et Px3 avec des LSC plus courtes (1970-1990) ; et iii) la période récente dont les Cum, Px3 et LSC sont trés variables (1991-2010). Cependant, les dates de demarrage des saisons montrent une tendance quasi stationnaire, de 1970 a 2010. Les risques agroclimatiques de resemis, de stress post-floraison et d’occurrence de faux departs et de fins precoces des saisons des pluies sont lies aux periodes de secheresse historique, en particulier pendant les deux dernieres decennies. L’occurrence des faux departs et des fins precoces de la saison des pluies rend la distribution des evenements pluvieux peu profitable à la croissance des cultures
Formulaire de demande de bourse de thèse
L'Agence Inter-établissements de Recherche pour le Développement (AIRD1), l’Agence Panafricaine de la Grande Muraille Verte (APGMV) et le Conseil National de Développement Scientifique et Technologique (CNPq, Brésil), lancent un appel à projets de recherche tripartite Afrique-Brésil-France, portant sur les zones arides et semi-arides d’Afrique, et spécialement les régions couvertes par l’Initiative Africaine Grand Muraille Verte2 (IAGMV), aux chercheurs ou enseignants-chercheurs d’institutions d'enseignement et/ou de recherche françaises, brésiliennes et africaines
Forum 2024 2024 Forum on Seasonal Forecasts of Agro-hydro-climatic characteristics of the rainy season for Sudanian and Sahelian zones of West Africa (PRESASS, 2024)
A generally wet 2024 rainy season is expected over the Sahelian strip, with late to average onset dates in the Central Sahel and early to average in the Western and Eastern Sahel, late to average cessationdates, short dry spells at the beginning of the season in the Western Sahel and average to long dry spells in the Eastern Sahel and overall long towards the end of the season across the entire strip Sahelian region, and overall above-average flows in the main river basins of the Sahel.
Guide d’intégration de la nutrition dans les documents stratégiques sectoriels sensibles à la nutrition au Sahel et en Afrique de l’Ouest
Les parties prenantes du Projet d’Amélioration de la Gouvernance Alimentaire et Nutritionnelle et de l’Agriculture Durable au Sahel et en Afrique de l’Ouest (PAGR-SANAD), notamment la CEDEAO, l’UEMOA, le CILSS et le CEI/PREGEC à travers le ROPPA, s’investissent fortement dans l’amélioration de la situation alimentaire et nutritionnelle depuis de nombreuses années. Sur le plan institutionnel, la prise en compte de la nutrition a connu une avancée à la suite de l’adhésion de tous les pays de la région sahélienne et ouest-africaine au mouvement Scaling Up Nutrition (SUN). Presque tous les pays ont ainsi procédé à la révision de leurs politiques et stratégies de nutrition selon l’approche multisectorielle. Cependant, les enjeux de la sécurité alimentaire durable sensible à la nutrition demeurent un défi majeur à relever
Guide sur les services d'AGRHYMET CCR-AOS
Ce guide opérationnel est dédié aux institutions publiques, universitaires et privées qui interviennent dans les domaines du climat, de l’eau, de l’environnement, de l’agriculture, de l’élevage, de la protection des végétaux, de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, de la réduction des risques des catastrophes climatiques et de tout autre secteur apparenté utilisant (ou qui désirant utiliser) les produits et services d’AGRHYMET Centre Climatique Régional pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (AGRHYMET C CR-AOS) qui est une institution spécialisée du Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS).
Guide to integrating nutrition into nutrition-sensitive sectoral strategic documents in the Sahel West Africa
The stakeholders involved in the project to Improve Food and Nutrition Governance and Sustainable Agriculture in the Sahel and West Africa (PAGR-SANAD), notably ECOWAS, UEMOA, CILSS and CEI/PREGEC region through ROPPA, have been heavily involved in improving the food and nutrition situation for many years. On an institutional level, nutrition has been considered, following the accession of all the countries in the Sahel and West Africa region to the Scaling Up Nutrition (SUN) movement. Almost all the countries have revised their nutrition policies and strategies in line with the multi-sectoral approach. However, the issues of nutrition-sensitive sustainable food security remain a major challenge.
Identification and Analysis of Areas at Risk and Populations Affected by Food and Nutrition Insecurity in the Sahel and West Africa
Facing recurrent food and nutrition insecurity affecting Sahelian and West African populations, governments and their development partners have set up mechanisms to monitor food situation. However, these mechanisms do not use the same methodological approaches, which often lead to results that are difficult to compare and which at times are even contradictory. Aware of this situation and the need to find a suitable solution, CILSS member states and partners have initiated the development of a Cadre harmonisé d’identification et d’analyse des zones à risque et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l’Ouest (Harmonized Framework for Identification and Analysis of Areas at Risk of and Populations Affected by Food and Nutrition Insecurity in the Sahel and West Africa). This tool, known as “Cadre Harmonisé” (CH), is expected to serve as a framework for countries to assess food and nutrition insecurity on an objective and consensual basis. The purpose of the Cadre Harmonisé is to help countries prevent food crises better and, where appropriate, quickly identify affected populations and appropriate measures to improve their food and nutrition security. The related method has been developed by a group of food and nutrition security experts from CILSS, FAO, WFP, FEWS NET, AFD, IPC/GSU, JRC/EC and UNICEF, and from international NGOs Oxfam International, Save the Children and ACF1. It is worth recalling that starting from 2008, various meetings held by the CH Technical Committee agreed for the CH to include some elements of the Integrated Food Security Phase classification version 1 (IPC 1.0). The IPC is a set of tools and procedures for classifying food and nutrition insecurity severity for decision making. Since the development of a manual for IPC 2.0, discussions have been under way to bring the CH closer to the IPC to incorporate lessons learned that improve comparability of results from the two tools. Similar to the IPC, the Cadre Harmonisé seeks to make best use of a set of tools and procedures for classifying the nature and severity of current and projected food and nutrition insecurity situations on the basis of a consensual analytical framework and classification scale. The CH is based on the following four conceptual models commonly used by national, regional and global mechanisms: Risk = f (Hazard, Vulnerability) Sustainable Livelihoods Framework The UNICEF Nutrition Conceptual Framework The four dimensions of food security (availability, access, utilization, and stability) The CH therefore is an integrated analytical framework built on a technical consensus that seeks to make best use of data from all systems or methods, namely food consumption surveys, nutrition surveys, the Household Economy Approach (HEA) or other information provided by agricultural surveys and market monitoring. The CH assesses food and nutrition insecurity, based on convergence of evidence from several indicators. The CH uses a food insecurity severity scale with five phases. Such a severity scale, which is an international one, makes it possible to make comparisons between countries of the sub-region and also at global level. CILSS was mandated to develop and implement the CH as a common tool for Sahelian and West African countries. Its analysis cycles will from now on help develop regional mapping of current food and nutrition situations and analyze projected situations. 1 Other institutions such as MIFRAC, IBIMET and CARE International initially contributed to the development of the present analytical framework. Cadre Harmonisé MANUAL Version 1.0 Page | 13 The CH also seeks to strengthen the regional integration framework in the CILSS-ECOWAS-UEMOA region so that collaborative and harmonized analyses of food and nutrition situations are conducted through the best possible use of other tools and analysis methods developed by national mechanisms and partners. Given the importance of the process of harmonizing the analytical framework for food and nutrition situations in West Africa, it is necessary that all food and nutrition security stakeholders take ownership of it and make it their decision-making tool. Furthermore, efforts are needed to strengthen the partnership framework within countries and to support the operations of early warning systems in order to improve the collection of reliable data. CH implementation relies on existing data collection mechanisms. Efforts should be made by countries and partners to provide financial support to these mechanisms - as CH implementation will from now on be the baseline reference for activating regional food reserves and mobilizing technical and financial partners (TFPs).
Identification et analyse des zones à risques et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l'Ouest
Face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle récurrente qui affecte les populations sahéliennes et ouest-africaines, les Etats et leurs partenaires au développement ont mis en place des dispositifs de suivi de la situation alimentaire. Malheureusement, ces dispositifs n’utilisaient pas les mêmes approches méthodologiques, ce qui a souvent conduit à des résultats difficilement comparables et parfois même contradictoires. Conscients de cette situation et de la nécessité de lui trouver une solution appropriée, le CILSS, les Etats membres et les partenaires ont initié le « Cadre Harmonisé d’identification et d’analyse des zones à risque et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l’Ouest».
Impacts Potentiels du Changement Climatique sur les Rendements du Mil et du Sorgho Cultivés dans les Communes Rurales au Niger
Le changement climatique constitue une menace majeure pour les populations de l’Afrique de l’Ouest, en général et du sahel, en particulier. Le Niger est, pleinement, concerné par cette situation qui se traduit par une grande variabilité pluviométrique et une forte récurrence de sècheresses depuis les années 1970s. Cette étude analyse l’impact du changement climatique sur les rendements du mil et du sorgho dans les Communes rurales de Balleyara, Dan Issa, Dogo, Harikanassou, Illéla, Magaria et Mokko, au Niger. Deux variétés de mil (HKP et SOMNO) et une de sorgho (Caudatum) ont été testées. Les données climatiques, utilisées sur la période de référence 1990-2020, proviennent de la Météorologie Nationale du Niger et de l’AGRHYMET Centre Climatique Régional pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel. Le modèle SARRA-H (V33) a été utilisé pour simuler les rendements des différentes variétés sur la période de référence et les périodes futures (2010-2039 et 2040-2069), sur la base des RCP4.5 et 8.5. Pour chaque Commune, les données des scénarios futurs de changement climatique ont été générées par 05 modèles globaux choisis parmi les 29 testés dans le cadre du projet AgMIP, en tenant compte de 05 conditions climatiques : Fraiche et Humide, Fraiche et Sèche, Moyenne, Chaude et Humide, Chaude et Sèche. Trois dates de semis (Dates précoce, moyenne et tardive), deux types de sols (sableux et sablo-argileux) et deux niveaux de fertilité du sol (Fertile et Non-Fertile) ont été considérés dans le modèle SARRA-H, pour chaque Commune. Les rendements simulés pour les variétés de mil et de sorgho sur la période 1990-2020 ont été plus élevés dans la Commune de Magaria et plus faibles dans celles de Balleyara et Illéla, en particulier pour un semis tardif fait sur un sol non-fertile. Les impacts des scénarios climatiques futurs se sont traduits par des baisses de rendements des variétés testées, allant de -5% à -70% selon les RCP, les horizons, les Communes, les types de sol et les dates de semis. La variété de mil photopériodique SOMNO a été la moins sensible aux scénarios climatiques testés et la variété de sorgho Caudatum la plus sensible. Ces résultats montrent que le choix des variétés et des dates de semis les plus adaptées aux conditions pédoclimatiques locales peut atténuer l’impact du changement climatique sur les rendements agricoles au Niger, notamment avec l’apport de fertilisants et le déploiement de mesures de réduction des impacts négatifs des déficits pluviométriques.
Inauguration du parc de technologie et d'innovation agricoles de SLARI en Sierra Leone
AGRHYMET Centre Climatique Régional pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (AGRHYMET CCR-AOS) renforce les capacités de son personnel sur les notions de Qualité, Hygiène, Santé, Sécurité et Environnement au travail
Informer et former sur la securité alimentaire, la maitrîse de l’eau et la lutte contre la désertification dans le Sahel
Ce bulletin présente les résultats définitifs de la campagne agricole 2016/2017 caractérisés par une hausse de la production céréalière au Sahel et en Afrique de l’Ouest de 10& comparée à celle de la campagne 2015-2016. En dépit de cette relative bonne disponibilité alimentaire, la région fait face à de nombreuses tensions alimentaires et nutritionnelles, en raison notamment de l’insécurité civile persistante dans le bassin du lac Tchad et au nord du Mali. A ce propos, le CILSS et ses partenaires techniques ont, sur la base des analyses du Cadre Harmonisé, déjà tiré sur la sonnette d’alarme en informant les pays à travers les dispositifs de veille tels que le Dispositif Régional de Prévention et de Gestion des Crises Alimentaires (PREGEC) sur les risques d’insécurité alimentaire et les mesures d’urgence à prendre pour renforcer les mesures d’assistance alimentaire et humanitaire dans les pays concernés.
KALANGOU NEWS Bulletin d' information num. 5
Que faire ? Chaque matin, en conférence de rédaction, les journalistes se posent cette question. Parler du Covid19 qui bouleverse la planète et notre quotidien ? Ou continuer à couvrir les efforts des agents de santé dans la lutte contre le paludisme à Abalak ? Donner un écho du dernier sommet du G5 Sahel ? Ou tendre son micro aux acteurs locaux qui tentent de contenir les conflits entre agriculteurs et éleveurs à Birni N’Koni? Evoquer les débats autour de la fin du franc cfa ? Ou traiter de l’impact de la fermeture des frontières sur les cambistes de Maradi ? Le traitement quotidien de l’information relève de choix partiaux envisagés à travers le prisme de son utilité, imaginée, pour les auditrices et auditeurs. Mais lorsque l’offre médiatique est faible, voire inexistante, la responsabilité est d’autant plus grande car l’information devient alors unique. Au-delà des réflexions sur ces arbitrages quotidiens, Studio Kalangou essaie donc de participer à la pluralité de l’information en accompagnant de plus en plus de médias nigériens vers la production et la diffusion indépendante d’information de qualité. Dans le contexte des prochaines échéances électorales, cet enjeu d’un professionnalisme partagé par un grand nombre de médias est d’autant plus vital pour aider les citoyens à prendre leurs décisions au quotidien.
L’aménagement d’un périmètre bocager au sahel
Depuis 1990, avec l’appui de TERRE VERTE, l’AZN expérimente au sein de sa Ferme Pilote de Guié (FPG) un système d’aménagement des terroirs basé sur la réalisation de périmètres bocagers. A l’instar des périmètres maraîchers protégeant une zone pour cultiver des légumes, l’AZN a développé la technique des périmètres bocagers pour résoudre les problèmes liés à l’agriculture extensive (surpâturage, érosion, feux).
Ces aménagements intègrent des opérations de conservation des eaux et du sol, ainsi que de refertilisation des sols. Les périmètres sont basés sur l’utilisation des haies vives contre la divagation ou l’érosion éolienne et de systèmes de récupération de l’eau.
L’information nutritionnelle dans un contexte de surveillance et d’alerte précoce dans les pays du cilss
Eléments partiels de réflexion en matière d’information nutritionnelle à partir des missions diagnostics (Niger, Mali, Sénégal, Mauritanie, Gambie et Tchad)
La cérémonie de baptême de la salle télécom au nom de M’BASS IBRAHIMA
La cérémonie de baptême de la salle télécommunication au nom de M’BASS Ibrahima a eu lieu le lundi 23 janvier 2017 dans l’amphithéâtre du Centre Régional AGRHYMET. Elle a été présidée par M. Samba LY SOULEYMANE, Administrateur Intérimaire du CRA en compagnie de ses proches collaborateurs et en présence de la famille de feu Elhadj M’BASS Ibrahima, de l’ensemble du personnel, des étudiants et de plusieurs invités.
La politique céréalière dans les pays du cilss
Colloque de Nouakchott
Les criquets du Sahel
Les criquets, locustes et sauteriaux, constituent l’un des problèmes majeurs de défense des cultures pour toute la zone soudano-sahélienne, des îles du Cap-Vert au Tchad. Tous les pays regroupés au sein du CILSS sont concernés ; ils sont à la ligne de front face à ce fléau. En 1986, 35 millions de dollars ont été consacrés à la lutte contre les criquets dans les différents États du CILSS. Dans l’optique d’une coordination régionale efficiente le CILSS a un rôle moteur à jouer. Aussi a-t-on mis tout en oeuvre pour rendre opérationnel le noyau dur de cette coordination : le DFPV est déjà fonctionnel à la satisfaction des États membres ; une Unité de Coordination Technique Régionale en Protection des Végétaux (UCTR/PV) a vu le jour grâce à l’appui de nos partenaires habituels. La coordination régionale, pour être efficiente, doit se traduire en terme d’input méthodologique, en formation et en information utiles aux États et aux Partenaires. Dans le cadre du développement des méthodes de lutte contre les ennemis des cultures, il est essentiel que tous, des cadres de la protection des végétaux aux agents de terrain, puissent disposer d’une documentation simple, pratique, sur tous les aspects de ce problème. Tel est le but de la collection « Acridologie Opérationnelle », fruit d’une collaboration entre l’équipe pédagogique du Département de Formation en Protection des Végétaux du CILSS (Niamey, Niger) et les experts en Acridologie du PRIFAS (Montpellier, France). Cette collection est financée par le Directorat Général de la Coopération Internationale Néerlandaise. Elle voit le jour avec ce premier numéro consacré à la reconnaissance des principales espèces de criquets d’importance économique. 4 D’autres numéros suivront, consacrés à tous les aspects pratiques de la lutte et de la surveillance contre les criquets au Sahel. Nous souhaitons que cette collection reçoive l’accueil qu’elle mérite. Nous sommes sûrs qu’elle contribuera significativement à améliorer la formation des hommes de terrain et, partant, à renforcer l’efficacité des services chargés de la protection des cultures contre les criquets ravageurs.
Les problèmes de commercialisation de stockage et de prix dans les pays saheliens
Troisieme conference des Club du Sahel Amsterdam du 21-22-23 octobre 1978.
Mapping of zones at risk in west Africa by using NGI, VCI and SNDVI from the E-Station.
This work is carried out at the AGRHYMET Regional Centre (ARC)-CILSS as part of the African Monitoring of Environment for Sustainable Development (AMESD) project. The analysis protocol has been improved under the Monitoring of Environment for Security in Africa (MESA) project. The MESA Project has been designed on the achievements of AMESD; its overall objective is to provide African countries with access to Earth Observation data for environmental monitoring and sustainable development. The specific objective of this study is to develop an operational analysis protocol for vegetation monitoring in general and especially for crops and pastures. Three vegetation indices were used: Vegetation Condition Index (VCI), Normalized Growth Index (NGI) and Standardized Normalized Difference Vegetation Index (SNDVI). The analysis of these drought indices is based on taking into account the agro-climatic characteristics of the Sahelian region, the comparison of the NGI profile (per administrative unit) from year X (in progress) to the maximum NGI profiles, minimum and average of the time series data (1998 to year x-1) and evidence convergence. Six years of application of the method and validation actions carried out concluded that it is possible to determine the zones at risk (ZAR) in order to anticipate food crises.
Mauritanie alerte criquet pélerin 15/10/2016
Cette phase de résurgence c’est-à-dire réapparition du criquet pèlerin pourrait aboutir à une recrudescence si elle n’est maitrisée rapidement. Cette situation est consécutive à la brusque augmentation des densités acridiennes dans les aires de reproduction estivale du sud de la Mauritanie, ayant entraîné la formation de groupes d’ailés à partir de la mi-septembre. Des éclosions sont observées et il est probable qu’une résurgence se développe dans les semaines à venir avec la possible formation de petites bandes larvaires et d’essaims. A la date du 10 octobre, plus de 4 200 ha ont été traités par voie terrestre.
MESA : Bulletin continental de veille environnementale - Du 1er Avril au 21 Août 2015
Le faible développement actuel de la végétation, associé aux prévisions de pluies en dessous de la normale pourraient conduire à de faibles récoltes et production de fourrage en Afrique orientale et au Sénégal. Retards dans le démarrage de la saison des pluies, avec des échecs répétés dans la mise en place des cultures pluviales ; retard de croissance de la végétation naturelle et faible disponibilité du fourrage vert pour le bétail en Afrique occidentale et en Afrique orientale. Conditions de croissance végétative normales à très bonnes, en raison de pluies abondantes et /ou régulières.
MESA Du satellite à la gestion des parcours
Service MESA terrestre "gestion des parcours"
Mesa news june
To address the issue of Land Degradation Assessment, Natural Habitat Conservation and Forest Monitoring Services in the IGAD region (MESA theme), the IGAD Climate Predictions and Applications Centre (ICPAC) Signed grant contract of 2.75 million Euros on the 03 March 2014 at the African Union Commission (AUC) Headquarters in Addis Ababa, Ethiopia.
MICRO-ELEMENT CONTENTS IN ROSELLE (HIBISCUS SABDARIFFA L.) AT DIFFERENT GROWTH STAGES
In the western Sahel, leaves of Roselle (Hibiscus sabdariffa) have considerable economic importance because of their nutritional and medical uses. These plant organs are used to supplement nutrients provided by cereals such as millet and sorghum. However, there is a lack of information on the nutrient composition of these plant organs of Roselle at different growth stages. Therefore, the experiment was carried out under rainfall conditions during the 2006 rainy season (from July to September) at the experimental station of the Agrhymet Regional Centre in Niamey (Niger). The content of the micronutrients Fe, Mn, Cu and Zn in leaves of three ecotypes of Roselle (A3, A7 and A9) at three growth stages, vegetative (stage I), flowering (stage II), and mature (stage III) was determined. The experimental design was a randomized complete block with four replicates and one variable (ecotype). Results indicated that at stage I, ecotype A3 had higher Fe content in leaves. In addition, A3 had also the highest Zn content in leaves at stage I. For all three ecotypes, Fe and Zn content in the leaves decreased significantly (p<0.05) from stage I to stage II, then remained constant until stage III. For Fe, the decrease between stage I and II was 37& for A3 and 50&, respectively for A7 and A9. The corresponding decrease of Zn content was 30& for A7 and 50&, respectively, for A3 and A9. The Mn content in the leaves of Roselle was similar for the three ecotypes at stage I, thereafter increased continuously during plant growth. From stage I to II, the increase was about 90&, 70& and 50&, respectively for A9, A7 and A3. From stage II to III, the increase in Mn content in the leaves was significantly (p<0.05) higher for A3 and A7, respectively 180& and 80&. At stages I and II, the highest Cu content was recorded for A3 and the lowest one for A7. During the whole cycle of plant growth, the Cu content in the leaves was relatively constant for A9. In contrast, Cu content in the leaves decreased for the remaining ecotypes. Therefore the vegetative stage corresponding to 25 days after sowing is the recommended optimal harvest time of Roselle to maximise on the nutrients.
Mise à jour des prévisions saisonnières hydropluviométriques de la saison 2011 en afrique de l’ouest
En Afrique de l’Ouest, la saison des pluies 2011 se caractérise par une forte variabilité spatio-temporelle des conditions pluviométriques. Les températures des surfaces océaniques et les prévisions des centres mondiaux de climat qui servent de base à la prévision saisonnière des pluies et des écoulements de la région ont significativement évolué entre leur situation initiale d’avril et mai et celle des mois de juillet et août. En effet, les températures froides dans l’océan Pacifique, à la veille de la saison des pluies, ont évolué vers une phase “neutre”. De même, au niveau de l’océan Atlantique, le dipôle Nord-Sud s’est un peu affaibli. Une telle configuration n’est pas favorable à une saison des pluies homogène au Sahel et en Afrique de l’Ouest et accroît l’incertitude de la prévision saisonnière. L’évolution de la situation pluviométrique actuelle est, en effet, assez hétérogène avec des zones localement excédentaires provocant parfois des inondations et des zones à déficits pluviométriques marqués créant au plan agricole, des stress hydriques importants. Globalement, une situation moyenne à déficitaire est attendue dans la partie Sud-Ouest du Sahel. Elle est mitigée au Centre et moyenne à excédentaire à l’Est.
Modélisation spatiale de la production fourragère en zone pastorale nigérienne
Ces travaux de thèse ont porté sur la zone pastorale du Niger. Ils ont pour objectif principal de contribuer à l’amélioration des méthodes d’estimation des rendements fourragers au Sahel en général et en particulier au Niger. Il s’agit plus spécifiquement de : valider le modèle BIOMASAH (BIOMAsse SAHélienne) utilisé par le Centre Régional AGRHYMET [AGRonomie Hydrologie et METéorologie] (CRA); tester le modèle du Ministère de L’Élevage et de Industries Animales (MEIA) ; proposer un Modèle par Régression linéaire Multiple (MRM) ; tester la méthode de similarité et enfin comparer ces méthodes d’estimation entre elles. Le travail a été réalisé d’une part avec les mesures de masse herbacée faites au sol de 2001 à 2012 par le MEIA, les observations pluviométriques des stations de la Direction Météorologique du Niger, les variables météorologiques issues du l’institution européenne appelée "European Centre for Medium-Range Weather Forecasts" (ECMWF) et d’autre part, avec les images satellitaires notamment le NDVI de SPOT VEGETATION et MODIS et les pluies estimées dénommées RFE provenant de l’institution américaine "Famine Early Warning Systems NETwork"(FEWSNET). La validation du modèle BIOMASAH a été faite à l’aide des tests de t et de Wilcoxon pour comparer les moyennes mesurées in situ à celles obtenues du modèle et aussi des tests de corrélation de Pearson, Kendall et Spearman. Quant au modèle MEIA, les performances ont été testées en comparant les résultats inter et intra capteurs SPOT VEGETATION et MODIS en utilisant les R² et le RMSE issus des calculs avec l’intégrale et le maximum NDVI comme variables explicatives du rendement fourrager. Le modèle de référence (MR) a été réalisé par régression linéaire multiple avec la méthode pas-à-pas ascendante pour la sélection de variables basée sur le R² ajusté et le RMSE. La validation croisée ‘leave one out’ (LOOCV) a été utilisée pour calculer les R² de validation et un diagnostic systématique des résidus pour mieux caractériser le modèle. viii La méthode de similarité des profils saisonniers d’indice de végétation a été réalisée en utilisant comme critères le R², le MAD et le RMSE. Le profil de la période de croissance de la végétation de chaque pixel a été tracé pour toutes les années. Ensuite, le profil de l’année cible a été comparé avec celui des autres années pour identifier l’année similaire. Les résultats de la similarité ont été confrontés aux données observées d’une part avec les tests de corrélations de Pearson, Spearman et Kendall et d’autre part à l’aide de tests de t et de Wilcoxon pour comparer les moyennes. La comparaison des quatre modèles a été faite sur la base des R², des R² ajustés et les RMSE. Le modèle BIOMASAH a donné des moyennes significativement différentes des moyennes observées (p <0,001). Les corrélations de Pearson, Kendall et Spearman sont faibles. En ce qui concerne le modèle MEIA, le meilleur R² à l’échelle globale est de 0,56. Il n’y a pas de différence significative à utiliser les NDVI de MODIS ou de SPOT VEGETATION. Le RMSE est de 367 kg.ha-1. Les R² et le RMSE varient fortement d’une année à l’autre. Le modèle de référence a donné un R² ajusté global de 0,69 et un RMSE de 282 kg.ha-1, la différence entre le RMSE calculé et celui de la validation est de 2,72 kg.ha-1. La comparaison des moyennes de la similarité à celles observées a montré qu’il n’y a pas de différence significative (p<0,001) pour le R². Par contre les différences sont significatives au même seuil pour le MAD et le RMSE. La comparaison des modèles montre que le Modèle par Régression linéaire Multiple (MRM) est le meilleur, mais il reste perfectible. Ainsi, se propose-t-on de continuer ces recherches avec d’autres indices tels que le LAI et le FAPAR et l’EVI. Aussi, il serait intéressant de prospecter les voies telles que : tenir compte du feuillage des ligneux, ajuster les métriques à la phénologie des herbacées, et à celles des ligneux. Ces travaux permettront d’améliorer la qualité des informations utilisées pour planifier les actions de développement en ix faveur de la société nigérienne en vue de la protéger contre les crises pastorales.
Nigeria food security alert 7/7/2016
Food insecurity reaches extreme level in pockets of Nigeria’s Borno State
Partenariats de mobilisation de la diversité des systèmes alimentaires traditionnels pour assurer une nutrition et une santé adéquates au sein des etats membres de la cedeao
L’Organisation Ouest Africaine pour la Santé (OOAS) est une Agence Publique de Santé de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). L’OOAS coordonne le Forum sur la Nutrition de la CEDEAO qui a été installé en 1996 par la Commission de la CEDEAO comme un mécanisme pour organiser le réseau des acteurs et des décideurs sur la nutrition au sein des 15 Etats membres de la CEDEAO. Le but ultime du Forum sur la Nutrition est d’accroître la visibilité des dialogues sur la nutrition et des actions intersectoriels régionaux qui peuvent résulter en des programmes d’alimentation et de nutrition orientés vers des impacts. Le plaidoyer sur la nutrition joue ainsi un rôle stratégique pour le Forum visant ainsi à l’accroissement de la sensibilisation sur les questions clés au sein des décideurs politiques aux niveaux national et régional.
Partnerships for mobilizing the diversity in traditional food systems to ensure adequate nutrition and health within ecowas member states
In September 2007, a two-day workshop was held in Burkina Faso for policy and decision makers from health, agriculture, and the private sector to work together to build and strengthen collaboration between their respective sectors. The participants recognised that the growing incidence of diet-related chronic diseases and the persistence of malnutrition and food insecurity in ECOWAS member states requires urgent and concerted actions across sectors.
PAUSE-CAFE DU lundi 12 Juin 2017 AU SECRETARIAT EXECUTIF DU CILSS
La traditionnelle pause-café instituée tous les lundis par le Secrétariat Exécutif du CILSS depuis 2015 se poursuit toujours dans une ambiance bon enfant ! La pause-café de ce lundi 12 Juin 2017 est marquée par une présence très remarquable notamment le nouveau DG de l’Institut du Sahel, Monsieur Mohamed Abdellahi EBBE. Malgré le jeûne musulman la paillote du CILSS était remplie et ce fût un moment d’échanges et de partage !
Performance of similarity analysis in the estimation of forage yields in the Sahelian zone of Niger
The study aims to test the performance of similarity analysis in herbaceous fodder biomass estimate in the Nigerian pastoral zone, in a context of insecurity and precipitation spatiotemporal variability.
Pertes post-recoltes et sécurité alimentaire dans les pays du SAHEL et de l'Afrique de l'Ouest : cas du Burkina Faso, du Ghana et du Sénégal
Les pertes post-récoltes constituent un challenge pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle tout comme pour l’économie agricole de la région Ouest africaine. Elles constituent ainsi un manque à gagner sur les ressources et autres intrants investis pour la production notamment les engrais, l’eau, l’énergie, etc
Photodocumentation mesa dialogue politique
L’ouverture officielle de cette rencontre a eu lieu le lundi 11 janvier 2016 et a été présidée par Prof. Bouafou Kouamé Guy Marcel, Directeur Général du Centre Régional AGRHYMET en présence de Monsieur Issa Garba, Coordonnateur par intérim du Projet MESA Terrestre CEDEAO, du Dr Bakary Djaby, Assistant technique du dit projet, du Dr Seydou Traoré, responsable de la formation MESA et de M. Boubacar Sidikou, point focal MESA Niger. Les participants à cet atelier sont les Points focaux thématiques nationaux pour les services Cultures, Pastoralisme et Feux des pays de la CEDEAO (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Guinée Bissau, Mali, du Niger, Sénégal, Togo.), la Mauritanie et le Tchad.
Photodocumentation servir
Le Premier Ministre, Chef du Gouvernement SEM Brigi RAFINI, a procédé au lancement officiel du projet Servir Afrique de l’Ouest et à l’inauguration de nouvelles infrastructures dont le CRA vient de se doter dans le cadre du projet ISACIP. C’était au cours d’une cérémonie grandiose qui a regroupé d’importantes personnalités notamment M. Kassoum DENON , Ministre de l’Agriculture du Mali, Ministre Coordonnateur du CILSS, l’honorable Charles Bolden, Administrateur principal de la NASA, M. Alex DEPREZ, Directeur Régional du Bureau USAID de l’Afrique de l’Ouest, M. Albadé ABOUBA, Ministre d’Etat, Ministre de l’Agriculture et de l’Elevage du Niger, Dr Djimé ADOUM, Secrétaire Exécutif du CILSS, les Secrétaires Permanents des CONACILSS, les représentants du corps diplomatique, les représentants des Partenaires Techniques et Financiers, les anciens Directeurs Généraux du CRA, Prof BOUAFOU Kouamé Guy Marcel, Directeur Général du CRA, le personnel, les étudiants et plusieurs autres invités.
Positions des pays saheliens sur les enjeux agricoles et de sécurité alimentaire dans les négociations commerciales internationales
Cadre stratégique de sécurité alimentaire durable dans une perspective de lutte contre la pauvreté au Sahel
Prevision saisonniere des pluies et des debits des cours d’eau en afrique de l’ouest pour la saison des pluies 2011
Un cumul pluviométrique supérieur ou égal à la normale 1971 – 2000 est attendu pour la majeure partie du Sahel en 2011 avec, dans le contexte actuel de recrudescence d’extrêmes climatiques, des risques d’inondations importants. Si cette prévision se confirme avec une bonne répartition temporelle des pluies, la campagne agricole sera satisfaisante en zone sahélienne. Toutefois, des cumuls de pluie moyens, voire inférieurs à la moyenne sont prévus pour les régions soudano-guinéennes et côtières. De même, des écoulements moyens ou supérieurs à la moyenne sont prévus pour les bassins des fleuves Niger, Gambie, Sénégal et le Haut bassin de la Volta. Des inondations sont à surveiller sur ces bassins. Il existe toutefois, un risque de faible disponibilité des ressources en eau en période hors saison de pluie, du fait des écoulements moyens à tendance déficitaire prévus pour les parties amont de certains bassins (Niger et Sénégal en particulier). Ces prévisions seront périodiquement mises à jour en cours de saison.
Prevision saisonniere des pluies et des debits en afrique de l’ouest, tchad et cameroun. periode : juillet-août-septembre 2010
Un cumul pluviométrique supérieur ou égal à la normale 1971 – 2000 est attendu au Sahel pour la saison 2010, avec des risques élevés d’inondations. Si cette prévision se réalise avec une bonne répartition temporelle des pluies, la campagne agricole sera satisfaisante. De même, des écoulements supérieurs ou égaux à la normale sont prévus pour les bassins du Sénégal, de la Gambie, du Niger moyen et du lac Tchad. Ces bassins sont à surveiller sur le plan des inondations. Toutefois, malgré le risque élevé d’inondations en saison des pluies dans le bassin du Niger, une pénurie d’eau n’est pas à exclure pendant la période sèche. En effet, si la situation normale à tendance déficitaire prévue dans le haut bassin du Niger se réalise, elle affecterait les disponibilités des ressources en eau dans le reste du bassin en saison sèche. Par ailleurs, il est fortement recommandé de suivre de près les mises à jour des prévisions qui seront faites en cours de saison pour tenir compte des éventuels changements des conditions océaniques. Ces mises à jours sont particulièrement utiles pour le bassin de la Volta, la Comoé et le Niger supérieur, car la prévision climatique est incertaine dans les zones où ces bassins prennent leur source.
Prévisions climatiques et hydrologiques favorables aux inondations et au développement du criquet pèlerin
Entre la deuxième décade et la troisième décade de juillet 2010, le Front Intertropical (FIT) a poursuivi en général sa migration vers le nord sur le Sahel. L’intensité du flux de mousson a été généralement modérée sur le Sénégal, la Gambie, la Guinée Bissau, la Guinée Conakry, le Burkina Faso, le centre du Niger, le sud du Tchad, la Sierra Leone, le Liberia, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo, le Bénin et le Nigeria. Cette situation a entraîné dans les pays du Sahel, une meilleure distribution spatiale et une hausse de la quantité des précipitations, variant entre 10 mm et 100 mm avec les quantités les plus élevées d’environ 150 mm sur le sud du Mali, du Burkina Faso et le nord-ouest du Niger en se renforçant à environ 250 mm sur le sud du Tchad.
Principales realisations du club du sahel
Toutes nos publications gratuites sont disponibles sur notre site internet/ All our free publications are available on our web site : www.oecd.org/sah E-mail : sahel.contact@oecd.org
Production céréalière brute de la campagne 2009/2010
Production céréalière brute de la campagne 2009/2010 et comparaison avec les 5 dernières années (Unité : millier de tonnes)
Production céréalière brute de la campagne 2011/2012
Production céréalière brute de la campagne 2011/2012 et comparaison avec les 5 dernières années
Production céréalière brute de la campagne 2012/2013
Production céréalière brute de la campagne 2012/2013 et comparaison avec les 5 dernières années
Programme de Résilience du Système Alimentaire (Food System Resilience program FSRP)
Dans le cadre des nouvelles procédures concernant les Normes environnementale et sociales (NES) de la Banque mondiale, le CILSS est tenu à préparer un Cadre de Gestion environnementale et sociale (CGES) par rapport aux composantes du Programme de Résilience du Système Alimentaire dont il a la responsabilité de mise en oeuvre. Le CGES, comme tous les autres outils de gestion, doit comporter des mesures permettant au projet, pendant toute sa durée de vie, de se conforme aux lois et réglementations nationales en vigueur et aux prescriptions des NES.
Rapport annuel 2015 : Focus : célébration du 40ème anniversaire du Centre Régional AGRHYMET
Chers lecteurs et lectrices,
L’année 2015 a été marquée par la célébration du 40ème anniversaire du Centre Régional AGRHYMET. Quarante années au cours desquelles notre institution s’est investie dans la formation, l’information et la recherche appliquée ; en vue d’améliorer la sécurité alimentaire, de parvenir à une meilleure maîtrise de l’eau, et de lutter contre la désertification et les changements climatiques au Sahel et en Afrique de
l’Ouest. Les actions du Centre Régional AGRHYMET comprennent la production d’informations, l’élaboration d’outils d’analyse pour le diagnostic, l’alerte précoce, le suivi agro pastoral, le bilan alimentaire ainsi que les prévisions agrométéorologiques et hydrologiques dans le Sahel et en Afrique de l’Ouest. Ces actions ont un impact significatif et perceptible dans plusieurs secteurs de la vie économique des Etats membres du CILSS. En quatre décennies, le Centre Régional AGRHYMET a aussi contribué au renforcement des capacités techniques des services nationaux de la météorologie, de la protection des végétaux, de l’hydrologie, de l’agriculture et de l’environnement à travers la formation de plus de 1000 cadres de niveau Technicien
Supérieur, Ingénieur et Master 2 et le perfectionnement de plus de 6000 cadres à travers des formations continues dans les domaines de compétence du Centre.
Par ailleurs, des perspectives prometteuses se confirment pour 2016, avec le développement de nouveaux produits et services en matière de lutte contre les changements climatiques et de sécurité alimentaire, deux domaines qui se situent au centre de vos préoccupation. Ces produits et services seront mis en œuvre par un personnel compétent et dévoué, disposant de moyens matériels performants et d’équipements modernes. De nouvelles infrastructures, en cours de construction, vous accueilleront prochainement. Celles-ci comprennent un nouveau bâtiment administratif, une grande salle informatique, un laboratoire de langues, des voies d’accès bitumées et équipées d’éclairage solaire, ainsi qu’une résidence des invités.
L’année 2016 verra enfin la consolidation des acquis du Centre Régional AGRHYMET et le renforcement des actions de partenariat et de lobbying en vue de valoriser son expertise, partager son expérience et son savoir-faire, et améliorer la qualité des produits et services aux usagers. Toutes les réalisations du Centre Régional AGRHYMET seront régulièrement portées à votre connaissance. Pour ce faire, différents outils de communication seront mobilisées, tels que ce Rapport Annuel qui est le fruit de la collaboration entre notre institution, les Secrétaires Permanents des Comités Nationaux du CILSS, les Composantes Nationales AGRHYMET, et les partenaires au développement.
Bonne lecture
Professeur BOUAFOU Kouamé Guy Marcel
Rapport régional 2024 sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l’Ouest en bref
Résultat d’un partenariat entre le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) et le Réseau d’information sur la sécurité alimentaire (FSIN), ce rapport fournit des informations
fiables et actualisées nécessaires pour répondre aux défis croissants de la sécurité alimentaire et de la nutrition au Sahel et en Afrique de l’Ouest. La situation alimentaire et nutritionnelle est préoccupante pendant la période de
soudure de 2024. Même s’il y a un nombre significativement inférieur des personnes dans les phases les plus sévères dans plusieurs pays, en termes de nombre et de pourcentage de personnes en Phases CH 3 à 5, les niveaux d’insécurité alimentaire et nutritionnelle sont projetés comme étant les plus élevés enregistrés dans l’histoire du CH. Ces circonstances sont provoquées par
l’interaction entre le conflit et l’insécurité civile, les chocs économiques, les phénomènes météorologiques extrêmes, la pauvreté sous jacente et d’autres facteurs de vulnérabilité.
Rapport Régional 2024 sur la sécurité alimentaire nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l'Ouest
Ce rapport régional pour le Sahel et l'Afrique de l'Ouest 2024 donne une évaluation intégrale de l'insécurité alimentaire et nutritionnelle aigue dans la région en 2024. Il est produit par le CILSS en collaboration avec ses partenaires techniques et financiers. Pour la deuxième année consécutive, le réseau d'information sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle (FSIN) a soutenu sa production, dans le cadre de leur partenariat visant à renforcer la veille et la diffusion des données et analyse sur les crises alimentaires.
Rapport Régional sur la Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l'Ouest (RRSAN) 2023
Le Rapport Régional (RR) sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle est élaboré pour contribuer à nourrir le système de gouvernance de la sécurité alimentaire, de l'agriculture durable et la résilience au Sahel et en Afrique de l'Ouest. C'est un document de synthèse régionale qui regroupe les principales informations produites dans le cadre de l'animation du dispositif de Prevention et de Gestion des Crises Alimentaires (PREGEC) ainsi que du Réseau de Prevention des Crises Alimentaires (RPCA). Ces informations concernent les différentes conditions agroécologiques explicatives de l'environnement de la production agropastorale 2022/2023 déterminant l'essentiel de la situation alimentaire de la région.
Rapport régionale sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle au sahel et en Afrique de l'ouest 2022
Le Rapport Régional (RR) sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle est élaboré pour contribuer à nourrir le système de gouvernance de la sécurité alimentaire, de l’agriculture durable et la résilience au Sahel et en Afrique de l’Ouest. C’est un document de synthèse régionale qui regroupe les principales informations
produites dans le cadre de l’animation du dispositif de prévention et de crises alimentaires (PREGEC) ainsi que du Réseau de prévention des crises alimentaires (RPCA). Ces informations concernent
les différentes conditions agro-écologiques explicatives de l’environnement de la production agropastorale
2021/2022 déterminant l’essentiel de la situation alimentaire de la région.
Ce document est par conséquent une valorisation de toutes les données provenant des pays, des partenaire régionaux et internationaux membres du réseau. Il est le fruit d’une analyse complémentaire et de synthèse régionale accomplie par les experts du CILSS. Ce produit se veut comme un support de valorisation annuelle des produits du dispositif PREGEC et RPCA capitalisant les expériences sur les données générées par les
systèmes nationaux et régionaux d’information sur la sécurité alimentaire et la nutrition. Il met en relief les
résultats sur le suivi agro climatique, hydrologique, phytosanitaire, pastoral, les flux et les marchés. Il intègre également les interventions en réponse aux crises alimentaires et nutritionnelles.
Regional report on food and nutrition security for West Africa and the Sahel 2024 | In brief
The result of a partnership between the Permanent Interstate Committee for Drought Control in the Sahel (CILSS) and the Food Security Information Network (FSIN), this report on food security and nutrition in West Africa and the Sahel provides timely and reliable data needed to address growing food security and nutrition challenges in the region. The food and nutritional situation is worrying for the 2024 lean season. Even
though the number of people in the highest phases has significantly decreased in several countries since the 2023 peak, the aggregate number and percentage of people in CH Phase 3 or above are projected to be the highest ever recorded in CH history due to the interaction between conflict and civil insecurity, economic shocks, weather extremes, underlying
poverty, and other vulnerability factors.
Report a regional workshop for ecowas member states
The West African Health Organization (WAHO) is a specialized Public Health Agency of the Economic Community of West African States (ECOWAS). WAHO coordinates the ECOWAS Nutrition Forum which was established in 1996 by the ECOWAS Commission as a mechanism to organize the network of nutrition actors and stakeholders within the 15 ECOWAS member states. The overarching goal of the Nutrition Forum is to increase the visibility of nutrition and regional cross-ectoral dialogues and actions that would result in impact oriented food and nutrition programmes. Nutrition advocacy is thus a strategic role of the Forum aimed at raisingawareness about key nutrition issues among policy and decision makers at national and regional levels.
Résurgence du criquet pèlerin : chronique d’une invasion annoncée au sahel
La résurgence du Criquet pèlerin signalée en Libye et en Algérie n’a pu être contenue. Les efforts sont entravés par une insécurité endémique dans la zone concernée. Le début de dessèchement de la végétation consécutif à la fi n de la saison pluvieuse dans ces zones de reproduction hiverno-printanière a contraint ce ravageur transfrontalier à la recherche des conditions lui permettant d’assurer sa survie et sa reproduction.
SARRA-H Modèle de simulation de la croissance des cultures - Manuel de l’utilisateur
SARRA-H est un modèle particulièrement adapté à l'analyse d'impact du climat sur la croissance des céréales sèches et du rendement potentiel en milieu tropical du Mil, Sorgho, Maïs et Riz pluvial.
Searching for the correct benefic stimate : empirical evidence for an alternative perspective
Estimate the value of flood risk reduction
Sénégal : Contribution remarquable du PARIIS dans la promotion de la souveraineté alimentaire
“Aljana amna !”. Le paradis existe (en wolof). Les femmes des périmètres irrigués y croient. Elles le chantent en chœur, en l’honneur du PARIIS, qui a amélioré leurs conditions de travail. « Aujourd’hui, on passe moins de temps dans les champs et on peut s’occuper davantage des enfants et de nos hommes. Voilà pourquoi on dit que nous vivons le paradis”
Services geospatiaux de mesure et de suivi de la biomasse et du carbone en afrique de l’ouest
Les populations de l’Afrique de l’Ouest, sont très vulnérables au Changement Climatiques causés par les effets d’emmission des gaz à effet de serre, aggravant la pauvreté, le déplacement des populations, réduisant le taux de croissance économique et mettant ainsi la vie des populations en danger suite aux catastrophes de toutes sortes. La synergie qui sera développée addressera les questions liées au REDD+, aux communications nationales et les rapports biennaux. Cette initiative contribuera à mieux accompagner la mise en oeuvre du Plan de Convergence pour la conservation et la gestion et l’utilisation durables des écosystèmes Forestiers en Afrique de l’Ouest (Connaissance des ressources et de la dynamique des écosystèmes forestiers) sous le lead du CILSS.
Servir west africa annual work plan – fy 2017
On March 21, 2016, USAID awarded Tetra Tech a five-year contract to support the Agrometeorology, Hydrology and Meteorology Regional Center (AGRHYMET) in the implementation of SERVIR West Africa. The goal of SERVIR West Africa (SERVIR WA) is to increase the ability of institutions across the region to apply geospatial technologies and analysis to improve the region’s resilience to climate change impacts and ensure that land use management reduces greenhouse gas (GHG) emissions. The program supports the Permanent Interstate Committee for Drought Control in the Sahel (CILSS)/AGRHYMET’s ability to increase the supply of geospatial information and knowledge products and services for resilient and low carbon development to member countries in food security and agriculture; water and water-related disasters; land cover and land use change and ecosystems; and weather and climate. To support this goal, SERVIR WA has the following program objectives:
Servir west africa-ppt niger 17 may 2016
Endorsed by USAID and NASA leadership: 1.Reach More Users with Demand-Driven Products and Services 2.Connect More Innovative and Appropriate Science to SERVIR 3.Expand SERVIR Networks through New Strategic Partnerships 4.Improve Sustainability of SERVIR at Multiple Levels
Situation climatique et alimentaire au sahel et en afrique de l’ouest
Pour le mois d’avril 2010, l’Harmattan caractérisé par l’air sec et la poussière en suspension, continuera d’affecter le Sahel. Cependant, les parties extrêmes Sud connaîtront des précipitations de faibles quantités. Par contre, une hausse des précipitations est prévue sur les pays du Golfe de Guinée où l’on observera des quantités variant de 10mm à 200mm avec des pics de 250mm à 400mm.
Situation de la decade du 21 au 31 aout 2015
Sur le plan pluviométrique, le Front Intertropical (FIT), comparé à sa position moyenne, a continué sa migration vers le Nord sur le Mali. Il est resté à sa position moyenne sur le Niger et en dessous sur la Mauritanie et le Tchad. Par rapport à sa position au cours de la décade précédente, le FIT a fluctué vers le Sud sur le Mali, le Niger et le Tchad, pendant qu’il est quasi-stationnaire sur la Mauritanie. Ainsi, au cours du mois d’août 2015, des précipitations supérieures à la moyenne ont été observées enregistrées au sud de la Mauritanie, au Sénégal, en Gambie, dans la majeure partie du Mali, en Guinée-Bissau, au nord de la Guinée Conakry, en Sierra Leone, au nord du Ghana, du Togo et du Bénin, au Burkina Faso, au Niger, au nord du Nigeria, au Tchad à l’exception du Centre et de l’extrême Sud. Des valeurs équivalentes à légèrement inférieures à la moyenne ont été recueillies par endroits au sud de la Mauritanie, au Nigeria, au Centre et au Sud du Tchad. Des quantités de pluie fortement déficitaires par rapport à la normale ont été enregistrées au centre et au sud des pays du Golfe de Guinée. Quant au cumul pluviométrique saisonnier (1er mai au 31 août 2015), il montre un excédent pluviométrique sur le Mali, la Guinée, la Guinée Bissau, la Sierra Léone, le Liberia, le Burkina Faso l’Ouest du Niger et les régions du Lac Tchad.
SMOS based high resolution soil moisture estimates for desert locust preventive management
This paper presents the first attempt to include soil moisture information from remote sensing in the tools available to desert locust managers. The soil moisture requirements were first assessed with the users. The main objectives of this paper are: i) to describe and validate the algorithms used to produce a soil moisture dataset at 1 km resolution relevant to desert locust management based on DisPATCh methodology applied to SMOS and ii) the development of an innovative approach to derive high-resolution (100 m) soil moisture products from Sentinel-1 in synergy with SMOS data. For the purpose of soil moisture validation, 4 soil moisture stations where installed in desert areas (one in each user country). The soil moisture 1 km product was thoroughly validated and its accuracy is amongst the best available soil moisture products. Current comparison with in-situ soil moisture stations shows good values of correlation (R > 0.7) and low RMSE (below 0.04m3 m−3). The low number of acquisitions on wet dates has limited the development of the soil moisture 100m product over the Users Areas. The Soil Moisture product at 1 km will be integrated into the national and global Desert Locust early warning systems in national locust centres and at DLIS-FAO, respectively.
Study on dcision makers' needs for disaggregated IPC/CH analysis
The Integrated Food Security Phase Classification (IPC) and the Cadre Harmonisé (CH) provide decision-makers with a rigorous, evidence- and consensus-based analysis of food insecurity and acute malnutrition situations. The IPC/CH classification system enables relevant actors and stakeholders to determine and classify the severity and magnitude of acute and chronic food insecurity and acute malnutrition situations in a country, according to internationally recognised scientific standards. The IPC/CH estimates of the number of food insecure and malnourished people indicate where and how many people
fall in different phases of food insecurity or malnutrition by geographical areas. Several recommendations have made in recent years for the IPC/CH to provide a more nuanced narrative on who is food insecure and / or malnourished, why, where, and for how long. The IPC Global Strategic Programme (2023-2026) emphasised the need for providing
“disaggregated analysis by gender and other inter-sectional determinants of vulnerability” in IPC analysis (GSP 2022, page 30); more recently the TAG meeting in Rome (16-17 February 2023) confirmed the need for conducting disaggregated IPC analysis; and similar requests were made by the CH countries in April 2018, when disaggregated gender analysis was
requested. Despite these recommendations, IPC users’ views diverge on whether IPC should engage in disaggregated analysis and on the type of disaggregated analysis that would add value in different contexts. As noted by the Final Evaluation of the IPC Global Strategic Programme (2019-2022), “While some users and GSC members highlight a need for more disaggregated and gender-sensitive analysis, a significant number of respondents including GSC members also questioned the role of the IPC and the added value of more disaggregated analysis.”2 Proponents of disaggregated analysis often emphasise the humanitarian sector’s needs for disaggregated analysis, while critics question the role and added value of the IPC in
providing more disaggregated population estimates, arguing that disaggregated analysis is “not the IPC’s role”, rather a process that should be carried out during the design phase of programmes. This study was conducted by the IPC in collaboration with CH. The purpose of the study is to investigate in detail whether there is a need for disaggregated analysis among different levels of decision makers and to explore the modalities of implementation that would inform decision making processes most effectively.
Suivi des feux actifs en afrique de l ’ouest n°1 juin 2014
Ce premier numéro du bulletin de veille environnementale, initié par le Centre Régional AGRHYMET dans le cadre du projet MESA, est consacré aux feux de brousse. Comme indiqué en page 2, ces feux constituent un élément clé dans la dynamique des paysages de l’Afrique de l’Ouest. Tout en étant un outil de gestion des ressources naturelles auquel ont recours les populations, ils constituent également un fléau contre lequel, il convient de lutter. Les progrès réalisés dans le domaine de la télédétection permettent de nos jours de détecter les feux actifs et de faire un suivi régulier de leur occurrence. En pages 3 et 4, nous analysons la distribution temporelle des feux actifs détectés à l’aide du capteur MODIS dans les différents pays Afrique de l’Ouest. La fiabilité de ces données satellitaires a pu être vérifié sur le terrain grâce aux missions de validation que les équipes du Centre Régional Agrhymet ont effectué au Bénin et au Sénégal en Février 2010, avec la collaboration des partenaires nationaux dans le cadre du prjet AMESD.
Suivi des feux actifs en afrique de l ’ouest n°3 juin 2015
Les feux constituent un élément clé dans la dynamique des paysages de l'Afrique de l'Ouest. Tout en étant un outil de gestion des ressources naturelles auquel ont recours les populations, ils constituent également un fléau contre lequel, il convient de lutter. Le suivi réalisé dans le cadre du projet MESA à l'aide des informations fournies sur le site web de FIRMS et issues du capteur MODIS permet de caractériser l'importance des occurrences de feux et leur dynamique temporelle dans la zone du projet
Tdr_mission guinée bissau
TERMES DE REFERENCE : MISSIONS DE PRE IDENTIFICATION POUR LA PRISE EN COMPTE DE L'INFORMATION NUTRITIONNELLE EN MATIERE DE SURVEILLANCE ET D'ALERTE PRECOCE EN GUINEE BISSAU
Waho/bioversity international regional policy advocacy workshop
Much of the production of indigenous/traditional food crops is done by individual small-scale farmers who sell their produce in rural and informal markets with minimal returns and so production is often limited. A major constraint to expanding production is the need to improve seed quality and production techniques. As mentioned earlier, lack of attention and social changes have led to the under-production and under-utilization of these food crops despite their many advantages not only nutritionally but in their adaptation to the variable environments of West Africa. For example, sorghum, millet, bambara groundnut are more drought tolerant than the introduced grains and grain legumes. Fonio (hungry rice), has a relatively short growing cycle and is well adapted to the highly variable rainfall of the Guinean and Sahelian zones. Indigenous leafy vegetables currently have few natural pests and are less demanding of soil and water than nonindigenous varieties.