Au fil de ses quarante ans d’existence, le Comité permanent Inter Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) s’est positionné dans l’espace sahélien voire régional, comme une institution de référence dans la recherche de solutions efficaces et durables pour accompagner les sahéliens (nes) dans la lutte contre les effets de la sécheresse.
Les actions et les initiatives entreprises par le CILSS se sont traduites par des réalisations concrètes dans les Etats membres au niveau des services techniques nationaux, du secteur privé et de la société civile. Le CILSS a conçu et mis en œuvre dans le cadre de son mandat, des outils d’aide à la décision, des méthodologies et des stratégies au profit des Etats dans les domaines de la sécurité alimentaire, de la gestion des ressources naturelles, de la maîtrise de l’eau, de l’accès aux marchés et de la recherche en matière de population et développement.
La délégation du CILSS pour cette première semaine est composée de M. Philippe Zoungrana, Coordonnateur du PRA/GRN/CC, Dr Maguette Kairé, Point focal GCCA+, du Dr Saliou Ndoye, User engagment Lead au programme SERVIR Afrique de l’Ouest et de M. Boubacar Mainassara Abdoul Aziz, Webmaster/Communicateur du Centre Régional AGRHYMET. Au cours de la semaine, le CILSS (i) a organisé conjointement avec la CEDEAO et l’OIF/IFDD, un Side Event sur le thème : « Mobiliser la finance climat pour la mise en oeuvre des CDNs en Afrique de l’Ouest et dans les pays francophones: défis et perspectives » ; (ii) a participé au side event du Sénégal et (iii) a animé un stand au niveau de la zone d’exposition de la COP.
Les experts climatologues, agrométéorologues et hydrologues du Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement, du Centre Régional AGRHYMET et de l’Agence Nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie du Sénégal, les représentants des pays de
l’Afrique de l’Ouest et du Centre chargés du suivi et de l’élaboration des informations sur la campagne pluviométrique agroclimatique et hydrométéorologique ainsi que les représentants des Organismes de Bassin de la région, se sont réunis du 04 au 08 Mai 2015 à Dakar au Sénégal pour élaborer les prévisions saisonnières des caractéristiques pluiviométriques, agroclimatologiques et hydroclimatiques de la saison des pluies 2015
Experts in Climate, Agro-meteorology and Hydrology from the African Centre of Meteorological Application for Development, AGRHYMET Regional Centre, the National Agency for Civil Aviation and Meteorology of Senegal, representatives of West and Central African countries in charge of monitoring and producing agro-climatic and hydrometeorological information, as well as representatives from basin organisms of the region, met in Dakar(Senegal), from May 04 to 08,
2015 in order to produce seasonal forecasts of agro-hydro-climatic characteristics of the 2015 rainfall season and facilitate their application to food security and water resources management
Une saison avec des cumuls pluviométriques globalement excédentaires, un démarrage précoce à normal et des niveaux d’eaux équivalents ou supérieurs à la moyenne dans la majeure partie des bassins fluviaux, est attendue en 2017.
A season with overall above average rainfall, an early to normal onset and equivalent or above average water levels in most river basins is expected in 2017.
35ème Journée du CILSS : 12 Septembre 2020 Les effets de la Pandémie à COVID-19 sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l'Ouest et les efforts d'adaptation du CILSS pour la production de l'information.
Les aménagements anti-érosifs sont des ouvrages de protection des sols et de récupération des terres dégradées. Dans les micro-projets, on trouve des cordons pierreux, des banquettes, des demi-lunes, des digues et des diguettes. Ces techniques souvent simples à mettre en œuvre produisent des résultats spectaculaires. Les rendements des terres de cultures bénéficiaires peuvent dans certains cas être multipliés par deux. Cette augmentation est plus importante lorsque les aménagements sont combinés à des actions de fertilisation des sols. Le délai de retour sur investissement est variable selon les contextes. Il est estimé entre 3 et 7 ans. La réussite des aménagements dépend de la qualité de l'accompagnement technique et du degré d'entente entre les différentes communautés concernées sur les sites. La durabilité des ouvrages dépend de la régularité de leur entretien et de leur bonne gestion après réalisation
From this workshop, we are more convinced of the importance of our climatological data and the services we can deliver from these data. This training has indeed improved our capacities in delivering these services and is very essential for our day to day activities.
Malgré l'abondance des pluies de ces dernières semaines, on observe, une mauvaise installation de la première phase de la campagne agropastorale 2012/2013 notamment: au Niger dans les régions de Tahoua, Dosso et Tillabéry, un peu dans la région de Diffa; au Burkina dans les régions de l'est, du centre est et du Sahel ; au Mali un peu dans les zones frontalières au Niger ; au Sénégal au nord de Matam et à l'est de Louga ; en Mauritanie dans les régions d'Assaba, de Guidimahka et de Hodh Ech Gharbi. Cette situation défavorable est consécutive à un retard important de la date des semis ou de leurs pertes, lié soit à un manque de pluies utiles soit à une pause pluviométrique prolongée. aussi, quelles que soient les conditions de déroulement de la deuxième phase de la campagne agropastorale, une baisse de production est à craindre dans ces zones particulièrement pour les espèces photopériodique. au-dessus de la moyenne (condition favorable) dans les régions centrales du Niger (Maradi et Zinder) et au Mali (dans les régions centrales) ; dans toute la partie sahélienne du Tchad ; dans l'est du Sénégal et dans le Centre pastoral de la Mauritanie. Si cette tendance se maintenait, on pourra espérer de bonnes récoltes dans ces régions. Partout ailleurs, la situation reste normale. L'on remarque toutefois une croissance végétative Libye
Une bonne disponibilité en eau de surface a été observée pendant l’année 2010 dans les pays de l’ Afrique de l’Ouest et du Sahel. (figure1) Cette situation fait suite à la bonne pluviométrie enregistrée dans la zone pendant la saison des pluies ayant occasionné des inondations par endroit. En effet l’anomalie du cumul de l’estimation des pluies (RFE) de janvier à août 2010 par rapport à la moyenne 2005-2009, montre globalement, en Afrique de l’Ouest et au Sahel, un total saisonnier variant de l’excédentaire à l’équivalent. Ceci confirme d’une manière générale les prévisions saisonnières faites par L’ACMAD et Le Centre Régional AGRHYMET pour l’année 2010. Les plus importantes détections ont été observées pendant la période du mois d’Août à Décembre 2010 (Figure2). Cette situation est non seulement favorable à une recharge des nappes souterraines mais aussi à une disponibilité en eau d’une assez longue durée pendant la saison sèche au sahel permettant ainsi, la poursuite des activités agricoles de contre saison et l’abreuvement du bétail.
Le programme régional « Alliance Mondiale contre le Changement Climatique » (AMCC/GCCA) de l’espace CILSS/CEDEAO est une initiative du groupe Afrique-Caraïbes-Pacifique (ACP) financée par l’Union Européenne. Il vise, entre autres, à renforcer les capacités des pays de la sous-région sur les principaux enjeux liés aux négociations sur le climat. Ce bulletin est principalement destiné aux négociateurs, aux décideurs, à la société civile, aux ONG de l’espace CILSS/CEDEAO, mais aussi à tout lecteur interpellé par la question des changements climatiques. Cet espace dispose, en effet, d’une faible masse critique de négociateurs. Ce bulletin fait le bilan des négociations depuis la Convention de Rio (1992) jusqu’aux Accords de Doha (2012), en passant par la feuille de route de Bali (2007), l’Accord de Copenhague (2009), les Accords de Cancun (2010), le lancement de la Plateforme de Durban (2011). Il présente aussi les enceintes de négociations, les pays et groupes de pays en présence, les principales positions de négociation, les outils du négociateur. Ce bulletin met aussi en relief les points d’achoppement et de blocage des négociations. On insiste notamment sur les engagements des pays développés, la dichotomie entre pays Annexe 1 et pays non Annexe 1, la place des grands pays émergents (Chine Brésil, Inde, etc.), le principe de responsabilité commune mais différencié, etc. Le bulletin démontre également que l’effort global de réduction s’est réduit sur la 2ème période du Protocole de Kyoto 2013-2020 par rapport à 2008-2012. Le niveau d’ambition actuel est trop faible pour espérer rester sous les +2°C et éviter un dérèglement climatique annoncé par le GIEC. Un des points saillants de ce bulletin est le décryptage de l’agenda et des enjeux de la COP19 qui se tiendra du 11 au 22 novembre 2013 à Varsovie. Les principaux points des agendas (COP19, CMP9, SBSTA39, SBI39, ADP2-3) sont classés selon les cinq piliers du plan d’action de Bali à savoir la vision partagée, l’atténuation, l’adaptation, le transfert de technologies et le financement. Le premier point fera a priori l’objet de discussions intenses face aux blocages des négociations sur les engagements d’atténuation. Les positions du groupe Afrique issue de la Déclaration de Gaborone sur le changement climatique lors de la cinquième session extraordinaire de la Conférence ministérielle africaine sur l’environnement sont également présentées. Au regard de la position du groupe Afrique, des orientations spécifiques de négociations ont été identifiées pour l’espace CILSS/CEDEAO par les participants de l’atelier de préparation de la COP19 organisé par le CILSS en octobre 2013 à Ouagadougou. Enfin, le bulletin décrit le rôle et la place du CILSS en tant qu’institution régionale spécialisée sur le climat dans l’appui et l’accompagnement des négociateurs ouest africains.
Ce bulletin spécial COP20 co-élaboré par le CILSS et la CEDEAO est principalement destiné aux négociateurs climats, aux décideurs, à la société civile, de l’espace CILSS/CEDEAO, mais aussi à tout lecteur interpellé par les questions relatives au changement climatique Afin de bien comprendre les enjeux des négociations à venir et les textes devant conduire vers un accord global à Paris en 2015, ce bulletin spécial COP20 a été structuré comme suit : Dans un premier temps, il rappelle les tendances du climat telles que révélées dans le dernier rapport du GIEC paru en 2013 et les implications sur les secteurs stratégiques pour la sous-région, en l’enrichissant des travaux de recherche conduit par le Centre Régional AGRHYMET/CILSS. Puis, il passe en revue le bilan de plus de 20 ans de négociation de Rio à Varsovie ainsi que les enjeux de la COP20 à Lima qui aura la lourde responsabilité de parfaire les textes qui doivent conduire vers l’accord 2015 de Paris sur le climat. Le bulletin donne des pistes nécessaires pour mieux comprendre les enjeux liés à l’Accord 2015. Enfin, il met l’accent sur certains domaines clés de négociations climat pour l’Afrique.
Ce bulletin spécial COP 21 co-élaboré par le CILSS, la CEDEAO, l’UEMOA et la BOAD est principalement destiné aux négociateurs climat, aux décideurs et à la société civile de l’espace CILSS/CEDEAO/UEMOA mais aussi à tout lecteur préoccupé par les questions relatives aux changements climatiques et aux négociations internationales sur le climat. Ce bulletin rappelle dans un premier temps, les tendances du climat telles que indiquées dans le dernier rapport du GIEC adopté en 2014 et ses implications dans les secteurs stratégiques pour la sous-région enrichis de travaux récents du Centre Régional AGRHYMET / CILSS. Après avoir passé en revue le bilan de 20 ans de négociation de Rio à Lima, en mettant l’accent sur les dernières avancées, ce bulletin met l’accent sur (i) les enjeux de la COP 21 notamment sur les positions du Groupe Afrique et les orientations prises par l’espace CILSS/CEDEAO/UEMOA au regard des blocs de négociations (vision partagée, atténuation, adaptation, financement, renforcement des capacités et transfert de technologies) (ii) le décryptage de l’agenda de la Conférence de Paris et enfin (ii) l’analyse des Contributions Prévues Déterminées au niveau National (CPDN/INDC) des pays de l’Afrique de l’Ouest.
Du 26 au 30 mars 2012, s’est tenue à l’Hôtel SANCTA MARIA de Lomé, en République Togolaise, la Conférence régionale sur la situation agricole et les opportunités d’échanges des produits agricoles au Sahel et en Afrique de l’Ouest (CORPAO) sous le thème : «Le développement du commerce régional dans un contexte de hausse régulière des prix des produits agricoles : rôles des différents acteurs». La cérémonie d’ouverture a été marquée par l’allocution du Prof. Alhousseïni BRETAUDEAU, Secrétaire Exécutif du CILSS et le discours d’ouverture de Monsieur Mohamed Sad OURO SAMA, Directeur de Cabinet du Ministre du Commerce et de la Promotion du Secteur Privé de la République Togolaise. Ils ont à tour de rôle, salué cette initiative du CILSS qui se pérennise d’année en année, d’organiser cette conférence régionale qui participe des dynamiques de concertations régionales indispensables à la création et à la consolidation d’un marché régional transparent, dynamique et intégré. Plusieurs sujets ont été abordés lors de cette conférence qui a regroupé plus d’une cinquantaine de participants de l’espace ouest africain. Il s’agit notamment de : • l ’analyse des résultats définitifs de la campagne agricole 2011-2012 et de l’évolution des marchés au Sahel et en Afrique de l’Ouest ; • des rôles des différents acteurs dans le développement du commerce régional dans un contexte de hausse régulière des prix des produits agricoles ;
Du 11 au 23 novembre se sont tenues les négociations climat dans les enceintes suivantes : COP19, CMP9, SBSTA39, SBI39 et ADP2-3. Elles ont rassemblé près de 8 300 participants, dont plus de 4 000 négociateurs officiels. Le Premier Ministre polonais, Donald TUSK, a rappelé lors de l’ouverture du segment de haut-niveau que le contexte mondial avait bien changé depuis la dernière COP « polonaise » (COP14 de Poznan en 2008) : crise financière, échec de Copenhague, changements structurels dans les approvisionnements énergétiques, nouvelles avancées scientifiques du GIEC, etc. Il a souligné l’importance de faire à Varsovie une analyse sans complaisance des efforts à poursuivre. Ces propos ont été corroborés par ceux du Secrétaire général de l’ONU, Ban KI-MOON (« un chemin pentu est en face de nous »), du Président de l’Assemblée générale de l’ONU, John ASHE (« la situation est sombre en dehors de cette pièce »), de la Secrétaire exécutive de la Convention climat, Christiana FIGUERES (« la COP19 doit répondre au coup de clairon de la science et à l’appel impérieux provenant des Philippines ») Les négociations se sont closes avec 27h de retard sur l’agenda prévu, suite à des divergences sérieuses sur certains sujets, notamment le rapport de l’ADP, les financements climat, le mécanisme « perte et dommage », le budget biennal 2014-1015. Malgré cela, la COP19 a vu l’adoption d’une Décision ADP qui invite les Parties à accélérer l’identification de leurs contributions nationales, vise à mettre en œuvre le Plan d’action de Bali et à rehausser le niveau d’ambition pré-2020. Autres points importants, ont été adoptés une Décision sur les pertes et dommages et le « Cadre de Varsovie sur REDD+ », un ensemble de sept Décisions sur REDD+. Ci-dessous sont présentés les résultats les plus notables de la COP19, classés par thèmes suivant les cinq piliers du Plan d’action de Bali (vision partagée, atténuation, adaptation, transfert de technologie, financement), ainsi qu’un ensemble « divers » de nouveaux thèmes apparus depuis la COP13 de Bali. Chaque document est cité avec sa cote (par ex. FCCC/CP/2013/L.12) et peut-être facilement téléchargé, soit depuis ce document (liens hypertextes : version française en priorité quand la traduction était faite ; version anglaise à défaut), soit sur le site de la Convention climat,www.unfccc.int : voir le bandeau de gauche, cliquer sur « Documentation », puis « Recherche de documents ».La conclusion fait une synthèse plus politique que technique : Où va le climat ?
La 22ème Session de la Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations Unies sur le Changement climatique (CNUCC -COP22) s’est tenue du 07 au 18 novembre 2016 à Marrakech au Maroc. La Conférence a rassemblé plus de 22 500 participants, dont près de 15 800 fonctionnaires gouvernementaux, 5 400 représentants d’organes et agences des Nations Unies, d’organisations intergouvernementales et d’organisations de la société civile, et 1 200 acteurs des médias. Le segment conjoint de haut niveau dans le cadre de la CdP, de la CMP et de la CMA, a rassemblé plus de 70 Chefs d’État et de gouvernement, rejoignant les ministres et les chefs de délégation pour stimuler la volonté politique. La Conférence de Marrakech est la première conférence des Parties après l’adoption de l’Accord de Paris (AP). Adopté en décembre 2015 à Paris, l’Accord est entré en vigueur le 4 novembre. L’AP vise à limiter "bien en dessous" de 2°C le réchauffement climatique. Cette COP se voulait être la « COP de l’action » qui ambitionne de mettre en pratique l’Accord de Paris tout en insistant fortement sur les priorités africaines. Au regard des enjeux de cette COP pour l’Afrique surnommée « la COP africaine », une importante délégation du CILSS composée d’experts et du high management des trois sites (Secrétariat Exécutif, Centre Régional AGRHYMET, INSAH) a pris part aux travaux. La liste des participants est jointe en annexe.
MONTANT DE LA SUBVENTION DEMANDEE : 80 000 EUROS COUT TOTAL DE L’INITIATIVE (TOUTES CONTRIBUTIONS DONT CILSS): 133 540 EUROS PERIODE DE REALISATION : OCTOBRE 2006-DECEMBRE 2007
L’Ingénierie sociale, un moteur de réussite du PRAPS. Le développement des communautés pastorales et agropastorales est resté problématique alors que des décennies durant des fonds inestimables leur ont été apportés. Plusieurs projets et programmes implémentés ont été formulés dans des ‘‘ hauts lieux’’, des bureaux feutrés sans une effective implication des ‘‘bénéficiaires ‘‘ auxquels les fruits de la croissance des actions devaient réellement profiter. En effet, nombreux sont-ils ceux d’entre eux à avoir échouer parce que guidés rien que par leur objectifs et non ceux des bébéficaires. Le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) ayant pour objectif d’améliorer les conditions de vie de plus de 2 000 000 de pasteurs et agropasteurs a opté de s’approprier l’approche de ‘‘ l’Ingénierie sociale’’ comme l’un des instruments pour sa réussite aux côtés de ses bénéficiaires. Les enseignemments tirés des expériences antérieures du développemnt rural soustendent cette option. Cette approche coopérative, démocratique et participative dans un projet contribue à renforcer les efforts individuels et collectifs pour le bien-être et l’épanouissement des hommes, des femmes et des jeunes. Ils sont souce de motivation au quotidien pour les équipes des pays et du niveau régional. La mise en oeuvre du projet, intègre la construction de pusieurs infrastructures et la démarche sociale voudrait que le bénéficiaire soit impliqué dès le début du processus pour l’identification des sites, la formalisation de leurs choix par des actes administration et leur engagement à participer à l’opérationnalisation et à la pérénnisation desdites infrastructures. Les dispositifs d’action concertée avec l’ensemble des acteurs créent une synergie autour de l’objectif du projet en se fondant sur l’environnement des communautés. ‘‘ L’Ingénierie sociale’’ accompagne les bénéficaires à identifier les problèmes auxquels ils sont confrontés et à trouver des réponses adaptées. Comme le dit Jean-François Bernoux, « le développement social territorial est à comprendre comme un processus participatif de production sociale...» Chaque jour, nos actions participent de l’atteinte de nos missions à vos côtés.
Aux termes des dispositions des articles 3 et 5 de la loi organique n° 2011-15 du 8 juillet 2011 relative aux lois de finances, les lois de finances déterminent la nature, le montant et l’affectation des ressources et des charges de l’Etat ainsi que l’équilibre budgétaire et financier qui en résulte, compte tenu de la situation et des objectifs macroéconomiques de l’Etat. Elles se décomposent en (i)loi de finances de l’année, (ii)loi de finances rectificative et (iii)loi de règlement. La loi de finances de l’année prévoit et autorise, pour chaque année civile, l’ensemble des ressources et des charges de l’Etat.
CCNUCC – signature : Juin 1992 – ratification : Mai 1994 • Protocole de Kyoto – signature : juillet 2001 – ratification : juillet 2001 • Mise en place d’un comité national depuis 1994, formalisé sur le plan institutionnel par un arrêté Ministériel, en 2002 • Mise en place de l’autorité Nationale désignée pour le MDP en 2006 par arrêté Ministériel/DEEC • Point focal du GIEC: ANACIM • Décret COMNACC N° 2011 - 1689 du 03 Octobre 2011 /ASER • Entité Nationale Désignée sur le transfert de Technologie: CERER
Une réflexion devrait être engagée pour voir dans quelle mesure introduire des indicateurs additionnels de manière à avoir une meilleure couverture des besoins en indicateurs de développement durable. Par rapport au dispositif de suivi et évaluation, il serait souhaitable de : • Prévoir des outils d’accompagnement à la mise en œuvre du PSE (manuel de procédures, manuel de suivi et évaluation, plan de suivi et évaluation axé sur les résultats) ; • Assurer une meilleure articulation entre la chaine des résultats et les indicateurs, avec une hiérarchisation (extrants, effets, impact) pour plus de visibilité ; • Élaborer un calendrier de production des indicateurs de suivi du PSE indiquant, pour chaque indicateur, la structure responsable, la méthode de collecte, la périodicité de collecte (souci de disposer de l’information en temps opportun), etc. ; • Faire une programmation des évaluations et études d’impact indiquant le type d’évaluation à mener, les approches et outils à utiliser, les structures impliquées, le calendrier
Aide budgétisée. Les ressources luxembourgeoises alimentent le Budget consolidé d’investissement (BCI). • Forte intégration dans le système national de gestion des finances publiques. Les mécanismes d’exécution des dépenses des programmes sectoriels appuyés par le Luxembourg sont ceux de l’Etat sénégalais. • Pourquoi: efficience, éviter doublons, réduire frais de transaction, appropriation
Comprendre comment intégrer les indicateurs relatifs au climat dans les systèmes nationaux de suivi existants; Comprendre pourquoi le système de suivi doit intégrer les indicateurs relatifs au climat dans le processus d’intégration du changement climatique
Opportunités a l’echelle mondiale pour financer les actions sur le changement climatique, mais besoin de plus d’organisation, proactivité et de mécanismes de suivi / transparence et résultats • - Opportunités avec les processus Plan d’adaptation national
La suite du Protocole de Kyoto pour 2013-2020 (AWG-KP), la fin des négociations sur l’action concertée (AWG-LCA) et les perspectives offertes par la Plateforme de Durban (ADP)
Face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle récurrente qui affecte les populations sahéliennes et ouest-africaines, les Etats et leurs partenaires au développement ont mis en place des dispositifs de suivi de la situation alimentaire. Malheureusement, ces dispositifs n’utilisaient pas les mêmes approches méthodologiques, ce qui a souvent conduit à des résultats difficilement comparables et parfois même contradictoires. Conscients de cette situation et de la nécessité de lui trouver une solution appropriée, le CILSS, les Etats membres et les partenaires ont initié le « Cadre Harmonisé d’identification et d’analyse des zones à risque et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l’Ouest».
Mobiliser les fonds FFEM pour la société civile locale dans le cadre de la lutte contre la désertification. 2 2. . Renforcer les capacités des acteurs de terrain et des opérateurs de projets. 3 3. . Assurer un processus de suivi-évaluation et de capitalisation scientifique.
Eléments partiels de réflexion en matière d’information nutritionnelle à partir des missions diagnostics (Niger, Mali, Sénégal, Mauritanie, Gambie et Tchad)
Beyond raising awareness, the atlas also aims to incite action to protect the environment of West Africa and the Sahelian region. We therefore invite everyone — scientists, students, researchers, teachers, planners, managers of development or research projects, local, national and regional decision-makers, donors, members of civil society organizations, and visitors to the region — to make the most of this work.
A moins de trois semaines de la Conférence internationale sur le Climat (COP21) prévue du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris en France, le CILSS, la CEDEAO, l’UEMOA et la BOAD ont organisé conjointement du 2 au 7 novembre 2015 à Dakar au Sénégal, trois (3) rencontres de préparation de cet événement planétaire qui regroupera plus de 40.000 participants du monde entier.
II ya déjà plusieurs décennies, la sous région sahélienne a été portée à l’attention de la communauté internationale par les grandes sécheresses qu’elle a connu au début des années 1970 et 1980. Ces perturbations climatiques ont grandement affecté les économies, ainsi que les écosystèmes de ce grand espace géographique en Afrique de l’Ouest. Les actions entreprises par le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) et ses partenaires, depuis sa création en 1973, ont grandement contribué à réduire les impacts négatifs de ces perturbations climatiques. Cependant, les systèmes de production et les modes de vie des populations de la sous région, essentiellement agropastorales, demeurent toujours vulnérables aux aléas du climat. Ainsi, la recrudescence, ces dernières années, de phénomènes extrêmes comme les sécheresses et les inondations, certes parfois localisés, mais très dévastateurs, est de nature à compromettre les efforts déployés par les pays pour l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMDs). En effet, la sous région a connu en 2007, 2008 et 2009 les pires inondations depuis plus de 30 ans. Les pertes occasionnées par ces intempéries sont estimés à plusieurs milliards de dollars. Cette situation, qui ne concerne d’ailleurs pas la seule région sahélienne, est de plus en plus considérée comme une manifestation des changements climatiques causés par le réchauffement global, lui-même du à l’augmentation de la teneur des gaz à effet de serre dans l’atmosphère. La question du changement climatique est donc devenue l’un des principaux défis à relever pour la planète entière, avec ses multiples facettes incluant les études d’impacts, les mesures d’atténuation et d’adaptation. Différentes institutions ont été créées au niveau international pour traiter les aspects scientifiques, diplomatiques et juridiques de ces changements. C’est ainsi que la convention cadre des nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC ou UNFCCC en anglais) a entrepris de sensibiliser les Etats, particulièrement ceux qui ont le plus contribué au phénomène par leurs activités industrielles et économiques, et d’obtenir d’eux des engagements pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Les activités menées à travers les différents protocoles internationaux, comme celui de Kyoto, et les rencontres périodiques, dont la COP15 qui s’est tenue en décembre dernier à Copenhague au Danemark, sont désormais désignées sous le vocable de « gouvernance mondiale du climat ». Aux niveaux national et sous régional, des plans d’action et des cadres de concertation sur les changements climatiques ont également été crées pour mieux circonscrire cette problématique et dégager des pistes de réponses en matière d’atténuation et d’adaptation. Le CILSS qui dispose, à travers le Centre Régional AGRHYMET, d’une masse critique d’informations scientifiques sur la question, a déjà initié des actions de recherche, de formation et de sensibilisation au profit de ses Etats membres. Son expertise reconnue dans ce domaine lui a permis d’être sollicité pour la mise en œuvre de programmes nationaux et régionaux sur la science et l’adaptation aux changements climatiques en Afrique de l’Ouest. Cette publication constitue un cadre de réflexion et de partage à travers lequel le Centre Régional AGRHYMET voudrait apporter sa contribution au débat sur les changements climatiques en Afrique de l’Ouest. Celle-ci repose sur les travaux menés par ses experts, et portent non seulement sur la caractérisation du phénomène dans notre sous région, les impacts potentiels sur les secteurs vitaux de l’économie, mais aussi sur les mesures d’adaptation entreprises avec les populations
Ainsi, au-delà de sa valeur scientifique, cet atlas a pour but d’inciter à l’action et à la mobilisation pour la protection des ressources naturelles de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel. Nous invitons donc chacun — scientifiques, étudiants, enseignants, planificateurs, gestionnaires de projets de développement ou de recherche, décideurs nationaux, régionaux et locaux, bailleurs de fonds, responsables et membres des organisations de la société civile, et visiteurs de la région — à tirer le meilleur parti de cet ouvrage.
La menace climatique se précise et risque de perturber l’agriculture ouest africaine. En effet, à l’horizon 2050, sans mesures d’adaptation, les rendements des céréales baisseront de 10 à 50 & en Afrique soudano sahélienne. Si les politiques publiques agricoles au Sahel et en Afrique de l’Ouest se fixent comme cible de restaurer 10& des superficies agricoles par an avec des techniques climatointelligentes, le coût des investissements nécessaires se chiffreraient entre 50 à 170 millions de dollars par an. Selon les pays, le retour sur investissements est évalué entre 50 et 70&. Il est donc urgent d’agir. L’adaptation de l’agriculture ouest africaine au changement climatique via les techniques d’agriculture climato-intelligente (ou agriculture intelligente face au climat : AIC) est une voie certaine pour renforcer la résilience des populations ouest-africaines au changement climatique.
Au fil de ses trente trois ans d’existence, le Comité Permanent Inter Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) s’est positionné dans l’espace sahélien voire régional, comme une institution de référence dans la recherche de solutions efficaces et durables pour accompagner les sahéliens (nes) dans la lutte contre les effets de la sécheresse. Les actions et les initiatives entreprises par le CILSS se sont traduites par des réalisations concrètes dans les Etats membres au niveau des services techniques nationaux, du secteur privé et de la société civile. En effet, le CILSS a conçu et mis en oeuvre dans le cadre de son mandat, des outils d’aide à la décision, des méthodologies et des stratégies au profit des Etats dans les domaines de la sécurité alimentaire, de la gestion des ressources naturelles, de la maîtrise de l’eau, de l’accès aux marchés et de la recherche en matière de population et développement. En outre, il a contribué au renforcement des capacités des cadres nationaux par l’organisation de formations diplômantes et continues sur des thèmes relatifs à ses domaines d’intervention. L’institution a également apporté d’importants appuis catalytiques à ses Etats membres dans divers domaines. Notre organisation s’est aussi investie dans le renforcement du partenariat avec les autres organisations inter gouvernementales de la sous région telles que la CEDEAO et l’UEMOA pour rechercher la synergie d’action avec ces structures en vue d’une harmonisation des différentes interventions. Les efforts du CILSS sont soutenus et appuyés par les Etats membres et les partenaires au développement qui, depuis sa création, continuent de lui témoigner leur attachement et de lui apporter un soutien constant et multiforme en vue de l’atteinte de ses objectifs. C’est l’occasion de leur exprimer toute notre gratitude et notre reconnaissance pour leur engagement à nos côtés dans l’accomplissement de notre mission. La présente brochure donne un aperçu des principales réalisations du CILSS dans les domaines de la sécurité alimentaire, de la lutte contre la désertification, de la maîtrise de l’eau et de l’accès aux marchés. La liste des réalisations présentée dans cette brochure n’est pas exhaustive. Sa mise à jour régulière et sa diffusion vont se poursuivre afin d’améliorer la visibilité de l’institution. Puisse cette brochure raviver la confiance que vous placez dans notre institution et faire en sorte que vous continuez à l’appuyer dans la recherche de solutions pertinentes et durables pour atténuer la pauvreté des populations sahéliennes.
Les populations de l’Afrique de l’Ouest, sont très vulnérables au Changement Climatiques causés par les effets d’émission des gaz à effet de serre, aggravant la pauvreté, le déplacement des populations, réduisant le taux de croissance économique et mettant ainsi la vie des populations en danger suite aux catastrophes de toutes sortes. La synergie qui sera développée addressera les questions liées au REDD+, aux communications nationales et les rapports biennaux. Cette initiative contribuera à mieux accompagner la mise en oeuvre du Plan de Convergence pour la conservation et la gestion et l’utilisation durables des écosystèmes Forestiers en Afrique de l’Ouest (Connaissance des ressources et de la dynamique des écosystèmes forestiers)
TERMES DE REFERENCE : MISSIONS DE PRE IDENTIFICATION POUR LA PRISE EN COMPTE DE L'INFORMATION NUTRITIONNELLE EN MATIERE DE SURVEILLANCE ET D'ALERTE PRECOCE EN GUINEE BISSAU
Posters presentations : Four poster presentations have been made successively by CILSS Experts: Capitalization of good low-carbon practices of the AFOLU sector (Agriculture, Forestry and other land use) in CILSS/CEDEAO region, by Dr Maguette Kairé, Forestry Expert; From sustainable land management to the eco-villages of the Boala city, (Province of Namentega, region of the Central-North of Burkina Faso) by Dr. Benoît Sarr, Climate change Expert; CILSS platform in the field of climate change and sustainable land management, by Dr. Issaka Lona, climate change expert; Scaling of smart agriculture for food security in the Sahel, Dr. Edwige Botoni, Natural Resource Management Expert;
Climate change is among the most serious threats confronting every person on the entire planet, and African populations are particularly vulnerable. All livelihoods suffer from the isolated or combined effects of many climate hazards that can negatively affect their productivity, and consequently food security and populations’ living conditions. Therefore, seeking to reduce the harmful effects of climate hazards relates directly to the fight against poverty. Reducing poverty and promoting human development depend in part on the reduction of greenhouse gas concentration in the atmosphere to prevent climate change (mitigation). But given that climate change is already happening and will continue to do so because of current and still-rising levels of carbon dioxide (CO2) in the atmosphere, it is also necessary to develop robust ways for natural and human systems to adjust in the face of future climate change effects (adaptation). Discussions on climate change now recognize that in addition to efforts to mitigate the phenomenon, strategies to enhance adaptation are a priority. This recognition has led to the unprecedented proliferation of many initiatives (projects, programs and policies) that relate climate change to development efforts. These initiatives, however, have so far hardly generated the expected outcomes. The disappointing results are due, in part, to the approaches and tools that were used to identify, plan, monitor and evaluate the initiatives. A study undertaken by the United Nations Economic Commission for Africa (Somda, 2010) on the shortcomings in the fields of monitoring and evaluation shows that these approaches are not sufficiently harmonized; they do not permit the drawing of consistent lessons that could improve the relevant formulation and implementation of new initiatives for climate change adaptation. This publication aims to resolve this issue by offering insights into harmonized approaches and tools for identifying, planning, monitoring and evaluating climate change adaptive capacities. It presents the theoretical approach and includes a practical users’ guide intended for development professionals, researchers and policy-makers. It contains a toolkit that harmoniously combines a number of existing approaches and tools for use at various intervention scales, and in this way defines a vision and a behavioural change strategy that are essential in the climate change adaptation process.
Depuis le début des années 1990, la réalité ou évidence du changement climatique et de ses effets potentiels et/ou réels a conduit à un développement rapide d’outils, d’approches et de méthodes visant son intégration dans les politiques de développement, en particulier dans les programmes et projets en milieu rural. En revanche, il est encore généralement très difficile de démontrer que ces actions intégrant le changement climatique ont produit les effets et/ou résultats attendus ou escomptés au niveau des communautés locales. La principale raison est l’absence d’outils, d’approches et de méthodes qui permettent de collecter et d’analyser des données de terrain en relation avec les réelles capacités d’adaptation des communautés rurales au changement climatique, en dépit des évaluations ponctuelles de vulnérabilité socioéconomique et de pauvreté réalisées avant, pendant et après les programmes/projets.
L’évaluation des résultats de l’IREMLCD sur le terrain a concerné une sélection de 18 microprojets choisis parmi les 22 proposés aux termes de référence. Après analyse de la documentation mise à disposition par le CILSS, les consultants ont réalisé des visites et entretiens au Cap-Vert (projet Achada Leite – OASIS), en Mauritanie (projet Bareina – ADD), au Sénégal (projets Sagata Djolof – ADHIS, Thiès – GREEN et Niayes – SOSSIS), en Gambie (projet Bas-Nuimi –SGF), en Guinée Bissau (projets Mafanco – ADCTAL et Bula – LVIA), au Mali (projets Tombouctou – AMEN, Timbagoun – APHN, Dâh – AVDS et Fassoudebé Guetema – Woïyo Kondeye), au Burkina Faso (projets Komboari – ACFED, Dapoury – ANTD, Boussé – ATY et Yagha – VDS), et au Niger (projets Youri – Marhaba et Tafagou – Bogou). Une réunion de restitution à eu lieu le 17 août à Ouagadougou.
L’évaluation du programme Initiative régionale « Environnement mondial et lutte contre la désertification en Afrique sahélienne » (IREMLCD) a été menée entre juin et octobre 2007. Après une première phase d’évaluation de terrain auprès de 18 micro-projets sélectionnés, dont les résultats ont été présentés lors d’une première restitution au siège du Secrétariat exécutif du CILSS le 17 août 2007, une deuxième phase était consacrée à l’analyse globale et institutionnelle du programme et un atelier de restitution finale a été réalisé à Ouagadougou les 8-9 octobre 2007. Le rapport d’évaluation du programme LCD est constitué de trois volumes : Volume 1 : Synthèse de l’évaluation des micro-projets Volume 2 : Rapports d’évaluation des 18 micro-projets sélectionnés Volume 3 : Rapport de l’évaluation technique et institutionnelle Les consultants remercient l’ensemble des personnes ayant facilité et contribué aux travaux de l’évaluation, que ce soit lors des visites de sites, des entretiens menés auprès des porteurs, des bénéficiaires, des partenaires institutionnels et des membres de l’équipe en charge du programme, ou des réunions de restitution tenues à Ouagadougo
L’IREM/LCD répond à une demande formulée par toutes les parties prenantes à la Lutte contre la Désertification (LCD) d’associer étroitement le niveau local à la réalisation d’activités de lutte contre la désertification à travers des projets participatifs. Les objectifs visés par l’IREMLCD répondent aux priorités affichées au niveau des pays concernés, des structures régionales et de la Convention des Nations Unies pour le Lutte contre la Désertification, et les évolutions du contexte n’en ont pas altéré le bien-fondé. La situation en termes de ressources naturelles et de développement humain au Sahel justifie de promouvoir la mise en œuvre de la CCD dans les pays membres du CILSS. La pertinence globale du programme est incontestable.