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Atelier de formation sur l’intégration du changement climatique dans la planification et le processus budgétaire
Formation Sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m4 ppt. Outils de sélection et de priorisation
Bulletin de veille environnementale N°13. Août 2012 - Situation de la campagne agro-pastorale 2012/2013 bilan à mi-parcours
Malgré l'abondance des pluies de ces dernières semaines, on observe, une mauvaise installation de la première phase de la campagne agropastorale 2012/2013 notamment: au Niger dans les régions de Tahoua, Dosso et Tillabéry, un peu dans la région de Diffa; au Burkina dans les régions de l'est, du centre est et du Sahel ; au Mali un peu dans les zones frontalières au Niger ; au Sénégal au nord de Matam et à l'est de Louga ; en Mauritanie dans les régions d'Assaba, de Guidimahka et de Hodh Ech Gharbi. Cette situation défavorable est consécutive à un retard important de la date des semis ou de leurs pertes, lié soit à un manque de pluies utiles soit à une pause pluviométrique prolongée. aussi, quelles que soient les conditions de déroulement de la deuxième phase de la campagne agropastorale, une baisse de production est à craindre dans ces zones particulièrement pour les espèces photopériodique. au-dessus de la moyenne (condition favorable) dans les régions centrales du Niger (Maradi et Zinder) et au Mali (dans les régions centrales) ; dans toute la partie sahélienne du Tchad ; dans l'est du Sénégal et dans le Centre pastoral de la Mauritanie. Si cette tendance se maintenait, on pourra espérer de bonnes récoltes dans ces régions. Partout ailleurs, la situation reste normale. L'on remarque toutefois une croissance végétative Libye
Evaluation des ressources pastorales au sahel nigérien à l'aide des données NDVI issues de spot-vegetation et modis
L’étude a été réalisée dans la zone pastorale du Niger, elle se propose de : tester la stabilité du modèle d’estimation de la biomasse du Ministère de l’Élevage et des Industries Animales (MEIA) du Niger ; puis de comparer les performances de l’intégrale et du maximum du NDVI de SPOT VEGETATION et eMODIS à l’aide des données réelles collectées de 2001 à 2012 par MEIA. La méthode de régression linéaire simple est utilisée pour calculer les coefficients de détermination R² et les erreurs quadratiques sur la série (RMSE), par zone bioclimatique puis année par année. Les résultats montrent des R² variant, suivant les années, de 0,52 à 0,73, de façon très significative (P<.0001). Ce coefficient de détermination est plus élevé dans les zones saharienne et nord sahélienne comparé à la zone sahélienne typique. Les RMSE annuelles varient entre 120 et 460 Kg.MS.ha-1. Les tests non paramétriques de comparaison de moyenne (Test de Wilcoxon et des signes) ne mettaient pas en évidence de différence significative entre SPOT VEGETATION et eMODIS (intégrale ou maximum). Cette possibilité d’intercomparabilité des indices provenant de différents capteurs permet aux utilisateurs d’assurer la production sans interruption avec une possibilité d’analyse convergente si l’un des deux capteurs était indisponible.
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m0 contexte
Présentation ducontexte national des changements climatiques au Sénégal
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m0 ppt
Introduction générale : Atelier de formation sur l’intégration du changement climatique dans la planification et le processus budgétaire
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m1 ppt
Comprendre le changement climatique et ses liens avec le développement
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m2 ppt
Pourquoi et comment intégrer le changement climatique dans les politiques et stratégies nationales
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m3 exercice
Outils de sensibilisation et d’analyse de la vulnérabilité des impacts et l’adaptation/atténuation (VI2A) : Travaux Pratiques sur l’identification des risques climatiques, des impacts sur et des mesures d’adaptation
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m3 ppt
Outils de sensibilisation et d’analyse de la vulnérabilité des impacts et l’adaptation/atténuation (VI2A)
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m4 exercice
Outils de sélection et de priorisation
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m5a
La finance climat
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m5b - exercice
Points d’entrée pour l’intégration du CC dans le processus budgétaire du Sénégal
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m5c
Présentation du Ministère de l'Economie et des Fiannces du Sénégal sur le processus de budgétisation
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m6 exemples indicateurs
EXEMPLES D'INDICATEURS DE SUIVI DU CHANGEMENT CLIMATIQUE ET DE SON INTEGRATION
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m6 exercice
Etude de cas sur les indicateurs à partir d’un projet de lutte contre les changements climatiques au SENEGAL
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m6 ppt
Intégrer le changement climatique dans les systèmes de suivi évaluation
Identification et analyse des zones à risques et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l'Ouest
Face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle récurrente qui affecte les populations sahéliennes et ouest-africaines, les Etats et leurs partenaires au développement ont mis en place des dispositifs de suivi de la situation alimentaire. Malheureusement, ces dispositifs n’utilisaient pas les mêmes approches méthodologiques, ce qui a souvent conduit à des résultats difficilement comparables et parfois même contradictoires. Conscients de cette situation et de la nécessité de lui trouver une solution appropriée, le CILSS, les Etats membres et les partenaires ont initié le « Cadre Harmonisé d’identification et d’analyse des zones à risque et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l’Ouest».
Intégrer le Changement climatique dans le processus de budgétisation
Formation sénégal intégration du cc dans politiques et stratégies - m5b
L’aide budgétisée luxembourgeoise au Sénégal
Le Sahel face aux changements climatiques : Enjeux pour un dévelopement durable
II ya déjà plusieurs décennies, la sous région sahélienne a été portée à l’attention de la communauté internationale par les grandes sécheresses qu’elle a connu au début des années 1970 et 1980. Ces perturbations climatiques ont grandement affecté les économies, ainsi que les écosystèmes de ce grand espace géographique en Afrique de l’Ouest. Les actions entreprises par le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) et ses partenaires, depuis sa création en 1973, ont grandement contribué à réduire les impacts négatifs de ces perturbations climatiques. Cependant, les systèmes de production et les modes de vie des populations de la sous région, essentiellement agropastorales, demeurent toujours vulnérables aux aléas du climat. Ainsi, la recrudescence, ces dernières années, de phénomènes extrêmes comme les sécheresses et les inondations, certes parfois localisés, mais très dévastateurs, est de nature à compromettre les efforts déployés par les pays pour l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMDs). En effet, la sous région a connu en 2007, 2008 et 2009 les pires inondations depuis plus de 30 ans. Les pertes occasionnées par ces intempéries sont estimés à plusieurs milliards de dollars. Cette situation, qui ne concerne d’ailleurs pas la seule région sahélienne, est de plus en plus considérée comme une manifestation des changements climatiques causés par le réchauffement global, lui-même du à l’augmentation de la teneur des gaz à effet de serre dans l’atmosphère. La question du changement climatique est donc devenue l’un des principaux défis à relever pour la planète entière, avec ses multiples facettes incluant les études d’impacts, les mesures d’atténuation et d’adaptation. Différentes institutions ont été créées au niveau international pour traiter les aspects scientifiques, diplomatiques et juridiques de ces changements. C’est ainsi que la convention cadre des nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC ou UNFCCC en anglais) a entrepris de sensibiliser les Etats, particulièrement ceux qui ont le plus contribué au phénomène par leurs activités industrielles et économiques, et d’obtenir d’eux des engagements pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Les activités menées à travers les différents protocoles internationaux, comme celui de Kyoto, et les rencontres périodiques, dont la COP15 qui s’est tenue en décembre dernier à Copenhague au Danemark, sont désormais désignées sous le vocable de « gouvernance mondiale du climat ». Aux niveaux national et sous régional, des plans d’action et des cadres de concertation sur les changements climatiques ont également été crées pour mieux circonscrire cette problématique et dégager des pistes de réponses en matière d’atténuation et d’adaptation. Le CILSS qui dispose, à travers le Centre Régional AGRHYMET, d’une masse critique d’informations scientifiques sur la question, a déjà initié des actions de recherche, de formation et de sensibilisation au profit de ses Etats membres. Son expertise reconnue dans ce domaine lui a permis d’être sollicité pour la mise en œuvre de programmes nationaux et régionaux sur la science et l’adaptation aux changements climatiques en Afrique de l’Ouest. Cette publication constitue un cadre de réflexion et de partage à travers lequel le Centre Régional AGRHYMET voudrait apporter sa contribution au débat sur les changements climatiques en Afrique de l’Ouest. Celle-ci repose sur les travaux menés par ses experts, et portent non seulement sur la caractérisation du phénomène dans notre sous région, les impacts potentiels sur les secteurs vitaux de l’économie, mais aussi sur les mesures d’adaptation entreprises avec les populations
Mapping of Zones At Risk (ZAR) in west Africa by using NGI, VCI and SNDVI from the E-statuib
This work is carried out at the AGRHYMET Regional Centre (ARC)-CILSS as part of the African Monitoring of Environment for Sustainable Development (AMESD) project. The analysis protocol has been improved under the Monitoring of Environment for Security in Africa (MESA) project. The MESA Project has been designed on the achievements of AMESD; its overall objective is to provide African countries with access to Earth Observation data for environmental monitoring and sustainable development. The specific objective of this study is to develop an operational analysis protocol for vegetation monitoring in general and especially for crops and pastures. Three vegetation indices were used: Vegetation Condition Index (VCI), Normalized Growth Index (NGI) and Standardized Normalized Difference Vegetation Index (SNDVI). The analysis of these drought indices is based on taking into account the agro-climatic characteristics of the Sahelian region, the comparison of the NGI profile (per administrative unit) from year X (in progress) to the maximum NGI profiles, minimum and average of the time series data (1998 to year x-1) and evidence convergence. Six years of application of the method and validation actions carried out concluded that it is possible to determine the zones at risk (ZAR) in order to anticipate food crises.
Projet MESA, du satellite à la gestion des parcours
Le Projet MESA a pour objectif global d’améliorer les capacités des structures régionales et nationales impliquées dans la gestion de l’environnement, le climat et la sécurité alimentaire dans la zone CEDEAO, plus la Mauritanie et le Tchad, à utiliser l’information issue de l’observation de la terre pour la prise de décision et la planification. Les objectifs spécifiques de la THEMA-CEDEAO sont les suivants:
1. Assurer un accès amélioré et durable des acteurs aux niveaux régional et national aux données d'OT en capitalisant sur les résultats du projet AMESD ;
2. Rendre disponibles les données d'OT et les services améliorés d'information contribuant à une meilleure prise de décision et une meilleure planification;
3. Contribuer à la fertilisation mutuelle en matière de technologie d’Observation de la Terre au niveau continental et dans les institutions régionales et nationales ;
4. Renforcer les cadres de développement de politiques ;
5. Renforcer les capacités des acteurs aux niveaux régional et national en matière d'information relative à l’OT (les sources, les utilisations, les limites, les implications politiques, etc).
Services Géospatiaux de Mesure et de Suivi de la biomasse et du carbone en Afrique de l’Ouest
Les populations de l’Afrique de l’Ouest, sont très vulnérables au Changement Climatiques causés par les effets d’émission des gaz à effet de serre, aggravant la pauvreté, le déplacement des populations, réduisant le taux de croissance économique et mettant ainsi la vie des populations en danger suite aux catastrophes de toutes sortes. La synergie qui sera développée addressera les questions liées au REDD+, aux communications nationales et les rapports biennaux. Cette initiative contribuera à mieux accompagner la mise en oeuvre du Plan de Convergence pour la conservation et la gestion et l’utilisation durables des écosystèmes Forestiers en Afrique de l’Ouest (Connaissance des ressources et de la dynamique des écosystèmes forestiers)
Voyage d’études des organisations paysannes du Bénin et du Niger au Burkina-Faso.
En collaboration avec le Conseil de Concertation des Riziculteurs du Bénin (CCR-B) et le Réseau des Chambres d’Agriculture du Niger (RECA) le CILSS a organisé dans le cadre du projet FFEM/CC, un voyage d’études au Burkina Faso du 12 au 20 mars 2016 des organisations paysannes du Bénin et du Niger. L’objectif du voyage d’étude était d’échanger autour des réalisations de de plusieurs projets intervenant dans le domaine de l’adaptation face au climat.
Vulnérabilité des ressources pastorales face a la variabilité et au changement climatique dans la commune rurale de Tioribougou, Mali
Les changements climatiques constituent une menace sérieuse pour les ressources pastorales au Mali. Contribuer à une meilleure connaissance des impacts de la variabilité et du changement climatique sur ces ressources afin d’en améliorer la résilience est donc l’objectif général de cette étude. Pour se faire, 184 éleveurs ont été enquêté individuellement dans cinq (5) villages et une séance de «focus group» a été organisée dans chaque village. Des données journalières et mensuelles de pluies de la période 1980-2014 ont été également analysées pour la station de kolokani et celles de températures journalières de la période 1951-2010 pour la station de Sotuba. Cette étude a mis en relation les analyses scientifiques et les perceptions locales des éleveurs sur le changement climatique ainsi que leurs stratégies d’adaptation mises en place. Les résultats obtenus montrent une tendance générale à la baisse du cumul pluviométrique. Une augmentation des températures a été observée soit 0,58°C pour les maximales et 1, 16°C pour les minimales. Cette situation illustre que les ressources pastorales sont vulnérables (85% des enquêtés constatent une dégradation des pâturages et des conditions d’abreuvement) face aux effets négatifs de la variabilité et au changement climatique dans la zone d’étude.