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Comment utiliser le piment, le tabac, les fruits de neem ou le gaz-oil
La lutte phytosanitaire alternative à la lutte chimique.
Elimination de grandes quantités de pesticides périmés dans les pays en développement
COLLECTION FAO : élimination des pesticides 4
Histoire de la recherche agricole en afrique tropicale francophone
Aux sources de l'agriculture africaine : de la préhistoire au moyen-âge - Vol 1
Identification et analyse des zones à risques et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l'Ouest
Face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle récurrente qui affecte les populations sahéliennes et ouest-africaines, les Etats et leurs partenaires au développement ont mis en place des dispositifs de suivi de la situation alimentaire. Malheureusement, ces dispositifs n’utilisaient pas les mêmes approches méthodologiques, ce qui a souvent conduit à des résultats difficilement comparables et parfois même contradictoires. Conscients de cette situation et de la nécessité de lui trouver une solution appropriée, le CILSS, les Etats membres et les partenaires ont initié le « Cadre Harmonisé d’identification et d’analyse des zones à risque et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l’Ouest».
Mauritanie alerte criquet pélerin 15/10/2016
Cette phase de résurgence c’est-à-dire réapparition du criquet pèlerin pourrait aboutir à une recrudescence si elle n’est maitrisée rapidement. Cette situation est consécutive à la brusque augmentation des densités acridiennes dans les aires de reproduction estivale du sud de la Mauritanie, ayant entraîné la formation de groupes d’ailés à partir de la mi-septembre. Des éclosions sont observées et il est probable qu’une résurgence se développe dans les semaines à venir avec la possible formation de petites bandes larvaires et d’essaims. A la date du 10 octobre, plus de 4 200 ha ont été traités par voie terrestre.
Méthodes de composatge au niveau de l'exploitation agricole
Les préoccupations croissantes relatives à la dégradation des terres, à l’utilisation irrationnelle des engrais minéraux, à la pollution de l’air, à la qualité du sol, à la biodiversité du sol et à la santé publique ont ravivé l’intérêt à l’égard des pratiques de recyclage des matières organiques telles que le compostage. Le potentiel offert par le compostage, qui permet de transformer les déchets de l’exploitation agricole en ressources pour cette même exploitation, se révèle être une proposition très intéressante. Le compostage présente des intérêts tels que l’amélioration de la fertilité et de la qualité du sol, provoquant ainsi une augmentation de la productivité agricole, une meilleure biodiversité du sol, une réduction des risques écologiques et un environnement plus favorable. Malgré cela, de nombreux agriculteurs, tout particulièrement dans les pays en voie de développement, ne réussissent pas à utiliser au mieux les possibilités offertes par le recyclage de la matière organique. Ces agriculteurs doivent faire face dans leur travail quotidien à diverses contraintes comme le manque de connaissance des techniques rapides et efficaces, des délais importants, un fort besoin de main-d’oeuvre, de terres et d’investissement et des facteurs économiques. Compte tenu du nombre important d’ouvrages consacrés aux méthodes de compostage, cette publication ne présente qu’un bref compte-rendu sélectif des principales approches tout en distinguant les pratiques de compostage à petite et à grande échelle. Alors que les systèmes de production à petite échelle utilisent des techniques et une infrastructure en général plus adaptées aux agriculteurs d’un point de vue technique et financier, les systèmes à grande échelle nécessitent un investissement pour des conteneurs et/ou pour le retournement, ainsi que de plus grandes connaissances et compétences pour surveiller le processus. Ainsi, les systèmes de production à petite échelle pourront aider les petits exploitants individuels avec des technologies adaptées aux circonstances spécifiques, alors que les systèmes de production à grande échelle permettront de satisfaire la demande d’un agriculteur ou d’un groupe d’agriculteurs (...)
Prevention and disposal of obsolete and unwanted pesticide stocks in africa and the near east : third consultation meeting
FAO PESTICIDE DISPOSAL SERIES 6
Prévention de l’accumulation de stocks de pesticides périmés
COLECTION FAO : ELIMINATION DES PESTICIDES 2
Quelles perspectives pour les systèmes d’élevage mobiles face à la densification des espaces ruraux et au changement climatique en Afrique de l’Ouest ? Note thématique de réflexion N°2
La dynamique des systèmes d’élevage en Afrique de l’Ouest subsaharienne à l’horizon 2040 est davantage déterminée par les changements sociétaux en cours et attendus que par le changement climatique. Le changement climatique devrait se traduire par des hausses de la concentration en gaz carbonique de l’air, des températures aux saisons les plus chaudes, et de la pluviosité principalement due à des gros orages plus fréquents et plus intenses. Ces hausses devraient favoriser la production végétale, mais aussi les ruissellements, l’érosion des sols et les inondations. L'augmentation rapide et persistante de la densité de population rurale en dépit d’une urbanisation spectaculaire devrait alimenter la poursuite de l’expansion des terres cultivées, la réduction et la fragmentation des terres de parcours, entravant la mobilité pastorale. Cela devrait réduire l’activité des élevages pastoraux à mobilité saisonnière, mais aussi celle des élevages sédentaires privés de parcours et de source de jeunes animaux à des prix compétitifs. Une politique qui préconiserait l’arrêt des transhumances saisonnières régionales au profit d’élevage en ranch et en stabulation précipiterait la déchéance des élevages pastoraux et aggraverait leur fragilité vis-à-vis des aléas climatiques comme sécuritaires. Cette mutation requerrait un investissement hors de portée des éleveurs qui seraient réduits à travailler pour des investisseurs privés ou des sociétés agro-industrielles. La seule politique qui pourrait soutenir durablement les systèmes d’élevage dans leur diversité et complémentarité serait celle d’un investissement public résolu des États et des Communautés économiques régionales (CER) dans la transformation et la modernisation de la mobilité pastorale. L’accès aux ressources pastorales et la mobilité régionale et locale des troupeaux devraient être sécurisés en réaffirmant le statut communautaire ou public des points d’eau et des parcours des zones hyperarides, mais aussi des terres non cultivables en zone plus humide, ainsi qu’un droit d’accès négocié aux terres cultivées après les récoltes. Il faudrait fixer des cadres de concertation locale et régionale, et faciliter les accords contractuels entre pasteurs, agropasteurs et agriculteurs. Il faudrait compléter, réhabiliter et gérer les infrastructures hydrauliques et vétérinaires, les couloirs de passage du bétail, les terres réservées au pâturage, les gîtes ou enclos pour le bétail, avec le souci d’un maillage des infrastructures adapté au ressources fourragères disponibles, établi en concertation avec les associations d’éleveurs et les collectivités territoriales. Un engagement national et international devrait venir à bout de l’insécurité civile qui sévit dans plusieurs régions pastorales accompagné d’investissements importants dans les infrastructures de l'éducation, la santé, les routes et les télécommunications qui assureraient la sécurité et l’adaptation de l'élevage pastoral aux changements sociétaux.
Quelles perspectives pour les systèmes d’élevage mobiles face à la densification des espaces ruraux et au changement climatique en Afrique de l’Ouest ?
La dynamique des systèmes d’élevage en Afrique de l’Ouest subsaharienne à l’horizon 2040 est davantage déterminée par les changements sociétaux en cours et attendus que par le changement climatique. Le changement climatique devrait se traduire par des hausses de la concentration en gaz carbonique de l’air, des températures aux saisons les plus chaudes, et de la pluviosité principalement due à des gros orages plus fréquents et plus intenses. Ces hausses devraient favoriser la production végétale, mais aussi les ruissellements, l’érosion des sols et les inondations.
L'augmentation rapide et persistante de la densité de population rurale en dépit d’une urbanisation spectaculaire devrait alimenter la poursuite de l’expansion des terres cultivées, la réduction et la fragmentation des terres de parcours, entravant la mobilité pastorale. Cela devrait réduire l’activité des élevages pastoraux à mobilité saisonnière, mais aussi celle des élevages sédentaires privés de parcours et de source de jeunes animaux à des prix compétitifs.
Stockage des pesticides et controle des stocks
COLLECTION FAO : ELIMINATION DES PESTICIDES 3