La fin du mois de septembre a marqué le début de la baisse des écoulements dans les bassins du fleuve Sénégal, de la Gambie, le haut et moyen bassin du fleuve Niger et le haut bassin de la Volta. Toutefois, la montée des écoulements s’est poursuivie dans le bassin du Lac-Tchad, le Delta intérieur et le bassin inférieur du fleuve Niger dont les pointes des crues sont normalement observées en octobre.
La fin du mois de septembre a marqué le début de la baisse des écoulements dans les bassins du fleuve Sénégal, de la Gambie, le haut et moyen bassin du fleuve Niger et le haut bassin de la Volta. Toutefois, la montée des écoulements s’est poursuivie dans le bassin du Lac-Tchad, le Delta intérieur et le bassin inférieur du fleuve Niger dont les pointes des crues sont normalement observées en octobre. Hormis la station de Koulikoro dans le haut bassin du fleuve Niger où les niveaux des écoulements sont revenus à la moyenne, la situation des écoulements a été au-dessus de la normale pour l’ensemble des stations dont les données sont parvenues au CRA. Cependant, ces écoulements ont été légèrement inférieurs à ceux des années exceptionnellement humides enregistrées au niveau de la plupart des stations. Concernant les barrages au Burkina Faso, onze, sur les vingt-un suivis, ont continué à déverser les excédents d’eau. Les taux de remplissage de cette saison qui ont été globalement supérieurs à ceux de 2015 au mois d’août, sont devenus inférieurs en fin septembre pour une majeure partie des barrages.