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Sahel
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Module de formation sur le journalisme sensible aux conflits en lien avec les systèmes d'élevage mobiles en Afrique de l'Ouest et au Sahel
Depuis une vingtaine d'années, les systèmes d'élevage mobiles dans leur exercice font face à de nombreux défis, notamment les conflits entre agriculteurs et pasteurs et l'insécurité civile en Afrique de l'Ouest et au Sahel. Ces dernières décennies, des conflits initialement engendrés par la compétition autour des ressources naturelles, se sont progressivement transformés en des luttes de contrôle de terroirs entre groupes socioculturels et des revendications politico religieuses qui ont intensifié aussi bien le déplacement des animaux que des populations. Au même moment nous observons que les médias - presse écrite, radio et audiovisuelle reportent le plus souvent les problématiques pastorales à la gestion des conflits fonciers agriculteurs-éleveurs, et sur lʼaccès aux couloirs de transhumance. Les pasteurs et les ménages pastoraux sont donc le plus souvent décrits à lʼaune de cette conception générale dʼun élevage pastoral conçu comme vulnérable face aux risques climatiques, environnementaux, sanitaires et terroristes, et comme peu efficient dans le cadre des politiques de modernisation agricole. -
Informative directory on regulations an agreements related to the prevention and management of pastoral conflicts in the Sahel and West Africa Volume 1 : ECOWAS and central couloir country of trahsnumance (Bénin, Burkina Faso, Niger et Togo)
Pastoralism and transhumance are livestock production practices in Africa in general and West Africa in particular. Moreover, continental, sub-regional and national organisations consider that pastoralism is useful for preserving and increasing livestock production. On the whole, this practice is faced with various difficulties, notably clashes between the different users of natural resources. In order to maintain social peace, which contributes to the promotion of regional development and integration, continental, supranational and national bodies have enacted legal texts and policy guidelines to enable pastoralists to carry out their activities in peace alongside the other economic actors. As a reminder, it can be noted that "a regulation is a legal concept that covers a set of legal instruments in the form of laws, decisions, rules and regulations, and other legal texts that frame a social and economic activity, etc. It is, in fact, about subjecting an activity to regulations”. Regulations govern activities related to the movement of people and their economic activities. To this end, the African Union, ECOWAS, UEMOA, States and communities, through legislative and regulatory measures, have laid down strong legal and institutional foundations to facilitate the movement of animals in their sub-regional and national areas. Between 1998 and 2004, ECOWAS, UEMOA and other partners adopted several legal texts and policy documents to regulate cross-border transhumance and reduce conflicts between farmers and herders, and then to protect public health, in the light of the global health environment (resurgence of animal diseases transmissible to humans). In order to control transhumance and reduce conflicts between herders and farmers, the States have adopted, since independence, laws that have been adapted to regional regulations. Despite this body of legislation, conflicts remain and the management of transhumance is still a major concern in the States and at the cross-border level. In order to contribute to better application of the regulations, the Integrated and Secure Livestock Farming and Pastoralism Project (PEPISAO), financed by the Agence française de développement (French Development Agency) (AFD) and coordinated by ECOWAS, which has delegated the implementation of Components 1 and 2 to CILSS, is working to promote the most relevant texts and also to facilitate their accessibility. The elaboration of the information directory of regulations required a process that helped to identify regulations relating to the prevention and management of pastoral conflicts with regard to the measures to be taken before going for, during and after transhumance, procedures for settling cases of field damage, natural resource management, access to resources, etc. The main regional and national texts have been compiled to extract relevant information to facilitate accessibility, better understanding and application by field actors -
Répertoire informatif sur les règlements et accords relatifs à la prévention et gestion des conflits pastoraux au Sahel et en Afrique de l'Ouest Tome 1 : CEDEAO et pays du couloir de l'ouest de transhumance (Cote d'Ivoire, Guinée, Mali, Mauritanie, Sénégal) Tome 1 : CEDEAO et pays du couloir de l'Ouest de transhumance ( Cote d'Ivoire, Guinée, Mali, Mauritanie, Sénégal)
Le pastoralisme et la transhumance constituent le système de production des ruminants le plus répandu en Afrique de l’Ouest et au Sahel. Il est crédité par les institutions régionales, d’un important potentiel de promotion du développement du bétail, d’accélération de la croissance économique et renforcement du processus d’intégration régionale. Cependant, les institutions régionales sont aussi conscientes des défis qui sont liés à son exercice ; la compétition d’accès aux ressources naturelles avec les autres parties prenantes et qui peut être source de conflits parfois violents. C’est pour anticiper et minimiser l’occurrence de ces conflits que les institutions d’intégration régionale et les États ont édicté un ensemble de règles pour encadrer l’exercice de cette activité économique et garantir la cohésion sociale entre les communautés d’éleveurs et d’agriculteurs. Pour rappel, on peut noter qu’« une réglementation est une notion de droit qui recouvre un ensemble d'instruments juridiques sous forme de lois, de décisions, de règles et règlements, et autres textes juridiques qui encadre, une activité sociale et économique, etc. Il s’agit en fait d’assujettir une activité à des règlements ». En fait, les règlementations gouvernent les activités liées aux mouvements des hommes et de leurs activités économiques Dans cette optique, l’Union Africaine, la CEDEAO, l’UEMOA, les Etats et des collectivités, à travers des dispositifs législatifs et réglementaires, ont posé des bases juridiques et institutionnelles fortes pour faciliter les déplacements des animaux dans leurs espaces sous-régionaux et nationaux. Entre 1998 et 2004, la CEDEAO, l’UEMOA et d’autres partenaires ont adopté plusieurs textes et des documents de politiques pour encadrer, dans un premier temps, la transhumance transfrontalière et réduire les conflits entre agriculteurs et éleveurs puis ensuite au regard de l’environnement sanitaire mondiale (résurgence des maladies animales transmissibles à l’homme), pour protéger la santé publique. Les États, dans le but d’encadrer la transhumance et réduire les conflits entre éleveurs et agriculteurs ont adopté, depuis les indépendances, des lois qui ont été adaptées aux règlements régionaux. -
Répertoire informatif sur les règlements et accords relatifs à la prévention et gestion des conflits pastoraux au Sahel et en Afrique de l'Ouest
Le pastoralisme et la transhumance constituent le système de production des ruminants le plus répandu en Afrique de l’Ouest et au Sahel. Il est crédité par les institutions régionales, d’un important potentiel de promotion du développement du bétail, d’accélération de la croissance économique et renforcement du processus d’intégration régionale. Cependant, les institutions régionales sont aussi conscientes des défis qui sont liés à son exercice ; la compétition d’accès aux ressources naturelles avec les autres parties prenantes et qui peut être source de conflits parfois violents. C’est pour anticiper et minimiser l’occurrence de ces conflits que les institutions d’intégration régionale et les États ont édicté un ensemble de règles pour encadrer l’exercice de cette activité économique et garantir la cohésion sociale entre les communautés d’éleveurs et d’agriculteurs. Pour rappel, on peut noter qu’« une réglementation est une notion de droit qui recouvre un ensemble d'instruments juridiques sous forme de lois, de décisions, de règles et règlements, et autres textes juridiques qui encadre, une activité sociale et économique, etc. Il s’agit en fait d’assujettir une activité à des règlements ». En fait, les règlementations gouvernent les activités liées aux mouvements des hommes et de leurs activités économiques Dans cette optique, l’Union Africaine, la CEDEAO, l’UEMOA, les Etats et des collectivités, à travers des dispositifs législatifs et réglementaires, ont posé des bases juridiques et institutionnelles fortes pour faciliter les déplacements des animaux dans leurs espaces sous-régionaux et nationaux. Entre 1998 et 2004, la CEDEAO, l’UEMOA et d’autres partenaires ont adopté plusieurs textes et des documents de politiques pour encadrer, dans un premier temps, la transhumance transfrontalière et réduire les conflits entre agriculteurs et éleveurs puis ensuite au regard de l’environnement sanitaire mondiale (résurgence des maladies animales transmissibles à l’homme), pour protéger la santé publique. Les États, dans le but d’encadrer la transhumance et réduire les conflits entre éleveurs et agriculteurs ont adopté, depuis les indépendances, des lois qui ont été adaptées aux règlements régionaux. Malgré cet ensemble de textes, les conflits demeurent et la gestion de la transhumance est encore une préoccupation majeure dans les Etats et au niveau transfrontalier. Afin de contribuer à une large diffusion et internalisation de ces textes par les acteurs à tous les niveaux, le projet Élevages et pastoralisme intégrés et sécurisés (PEPISAO), financé par l’Agence française de Développement (AFD) et coordonné par la CEDEAO qui a délégué la mise en oeuvre des composantes 1 et 2 au CILSS, s’investit à les mettre dans des formats adaptés. Le processus d’élaboration du répertoire informatif inclut plusieurs étapes : la documentation des textes existants, leur analyse, l’extraction des informations pertinentes aux usagers, notamment aux éleveurs. Les informations retenues sont relatives à la prévention et gestion des conflits pastoraux : conditions d’entrée, de séjour des transhumants dans les pays d’accueil, procédures de règlement des conflits, modalités d’accès aux ressources naturelles (pâturage et eau), etc. Ce document est présenté sous formes de fiches au niveau régional, en l’occurrence la CEDEAO et des pays notamment le Bénin, le Burkina Faso, , le Niger et le Togo. Les informations sont présentées sur 12 thématiques principales que sont : Prise en compte de la transhumance dans les documents politiques du développement ; Conditions à remplir avant le départ en transhumance ; Conditions d’entrée (Périodes, les portes de traversées des frontières) ; Garde des animaux au cours de la transhumance ; Mesures/Sanctions en cas de non-respect des conditions de la transhumance ; Conditions d’accueil des animaux transhumants ; Mécanismes de gestion des conflits ; Conditions/modalités d’accès aux ressources naturelles (eau, pâturage) ; Conditions/modalités d’accès aux aliments de bétail ; Conditions/modalités d’accès aux services vétérinaires ; Accès aux services sociaux au profit des éleveurs (Education, Santé, autres…) ; La CEDEAO et le CILSS voudraient sincèrement remercier les points focaux élevages et transhumance des pays pour la collecte des textes existants et les Organisations régionales des pasteurs APESS, RBM et ROPPA pour leur contribution à l’élaboration de ce répertoire. La CEDEAO et le CILSS témoignent leur reconnaissance à l’AFD pour son soutien financier à la mise en oeuvre du PEPISAO. -
Répertoire informatif sur les règlements et accords relatifs à la prévention et gestion des conflits pastoraux au Sahel et en Afrique de l'Ouest
Le pastoralisme et la transhumance constituent le système de production des ruminants le plus répandu en Afrique de l’Ouest et au Sahel. Il est crédité par les institutions régionales, d’un important potentiel de promotion du développement du bétail, d’accélération de la croissance économique et renforcement du processus d’intégration régionale. Cependant, les institutions régionales sont aussi conscientes des défis qui sont liés à son exercice ; la compétition d’accès aux ressources naturelles avec les autres parties prenantes et qui peut être source de conflits parfois violents. C’est pour anticiper et minimiser l’occurrence de ces conflits que les institutions d’intégration régionale et les États ont édicté un ensemble de règles pour encadrer l’exercice de cette activité économique et garantir la cohésion sociale entre les communautés d’éleveurs et d’agriculteurs. Pour rappel, on peut noter qu’« une réglementation est une notion de droit qui recouvre un ensemble d'instruments juridiques sous forme de lois, de décisions, de règles et règlements, et autres textes juridiques qui encadre, une activité sociale et économique, etc. Il s’agit en fait d’assujettir une activité à des règlements ». En fait, les règlementations gouvernent les activités liées aux mouvements des hommes et de leurs activités économiques Dans cette optique, l’Union Africaine, la CEDEAO, l’UEMOA, les Etats et des collectivités, à travers des dispositifs législatifs et réglementaires, ont posé des bases juridiques et institutionnelles fortes pour faciliter les déplacements des animaux dans leurs espaces sous-régionaux et nationaux. Entre 1998 et 2004, la CEDEAO, l’UEMOA et d’autres partenaires ont adopté plusieurs textes et des documents de politiques pour encadrer, dans un premier temps, la transhumance transfrontalière et réduire les conflits entre agriculteurs et éleveurs puis ensuite au regard de l’environnement sanitaire mondiale (résurgence des maladies animales transmissibles à l’homme), pour protéger la santé publique. Les États, dans le but d’encadrer la transhumance et réduire les conflits entre éleveurs et agriculteurs ont adopté, depuis les indépendances, des lois qui ont été adaptées aux règlements régionaux. Malgré cet ensemble de textes, les conflits demeurent et la gestion de la transhumance est encore une préoccupation majeure dans les Etats et au niveau transfrontalier. Afin de contribuer à une large diffusion et internalisation de ces textes par les acteurs à tous les niveaux, le projet Élevages et pastoralisme intégrés et sécurisés (PEPISAO), financé par l’Agence française de Développement (AFD) et coordonné par la CEDEAO qui a délégué la mise en oeuvre des composantes 1 et 2 au CILSS, s’investit à les mettre dans des formats adaptés. Le processus d’élaboration du répertoire informatif inclut plusieurs étapes : la documentation des textes existants, leur analyse, l’extraction des informations pertinentes aux usagers, notamment aux éleveurs. Les informations retenues sont relatives à la prévention et gestion des conflits pastoraux : conditions d’entrée, de séjour des transhumants dans les pays d’accueil, procédures de règlement des conflits, modalités d’accès aux ressources naturelles (pâturage et eau), etc. Ce document est présenté sous formes de fiches au niveau régional, en l’occurrence la CEDEAO et des pays notamment le Bénin, le Burkina Faso, , le Niger et le Togo. Les informations sont présentées sur 12 thématiques principales que sont : Prise en compte de la transhumance dans les documents politiques du développement ; Conditions à remplir avant le départ en transhumance ; Conditions d’entrée (Périodes, les portes de traversées des frontières) ; Garde des animaux au cours de la transhumance ; Mesures/Sanctions en cas de non-respect des conditions de la transhumance ; Conditions d’accueil des animaux transhumants ; Mécanismes de gestion des conflits ; Conditions/modalités d’accès aux ressources naturelles (eau, pâturage) ; Conditions/modalités d’accès aux aliments de bétail ; Conditions/modalités d’accès aux services vétérinaires ; Accès aux services sociaux au profit des éleveurs (Education, Santé, autres…) ; La CEDEAO et le CILSS voudraient sincèrement remercier les points focaux élevages et transhumance des pays pour la collecte des textes existants et les Organisations régionales des pasteurs APESS, RBM et ROPPA pour leur contribution à l’élaboration de ce répertoire. La CEDEAO et le CILSS témoignent leur reconnaissance à l’AFD pour son soutien financier à la mise en oeuvre du PEPISAO. -
Positions des pays saheliens sur les enjeux agricoles et de sécurité alimentaire dans les négociations commerciales internationales
Cadre stratégique de sécurité alimentaire durable dans une perspective de lutte contre la pauvreté au Sahel -
Pertes post-recoltes et sécurité alimentaire dans les pays du SAHEL et de l'Afrique de l'Ouest : cas du Burkina Faso, du Ghana et du Sénégal
Les pertes post-récoltes constituent un challenge pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle tout comme pour l’économie agricole de la région Ouest africaine. Elles constituent ainsi un manque à gagner sur les ressources et autres intrants investis pour la production notamment les engrais, l’eau, l’énergie, etc -
Les problèmes de commercialisation de stockage et de prix dans les pays saheliens
Troisieme conference des Club du Sahel Amsterdam du 21-22-23 octobre 1978. -
Les criquets du Sahel
Les criquets, locustes et sauteriaux, constituent l’un des problèmes majeurs de défense des cultures pour toute la zone soudano-sahélienne, des îles du Cap-Vert au Tchad. Tous les pays regroupés au sein du CILSS sont concernés ; ils sont à la ligne de front face à ce fléau. En 1986, 35 millions de dollars ont été consacrés à la lutte contre les criquets dans les différents États du CILSS. Dans l’optique d’une coordination régionale efficiente le CILSS a un rôle moteur à jouer. Aussi a-t-on mis tout en oeuvre pour rendre opérationnel le noyau dur de cette coordination : le DFPV est déjà fonctionnel à la satisfaction des États membres ; une Unité de Coordination Technique Régionale en Protection des Végétaux (UCTR/PV) a vu le jour grâce à l’appui de nos partenaires habituels. La coordination régionale, pour être efficiente, doit se traduire en terme d’input méthodologique, en formation et en information utiles aux États et aux Partenaires. Dans le cadre du développement des méthodes de lutte contre les ennemis des cultures, il est essentiel que tous, des cadres de la protection des végétaux aux agents de terrain, puissent disposer d’une documentation simple, pratique, sur tous les aspects de ce problème. Tel est le but de la collection « Acridologie Opérationnelle », fruit d’une collaboration entre l’équipe pédagogique du Département de Formation en Protection des Végétaux du CILSS (Niamey, Niger) et les experts en Acridologie du PRIFAS (Montpellier, France). Cette collection est financée par le Directorat Général de la Coopération Internationale Néerlandaise. Elle voit le jour avec ce premier numéro consacré à la reconnaissance des principales espèces de criquets d’importance économique. 4 D’autres numéros suivront, consacrés à tous les aspects pratiques de la lutte et de la surveillance contre les criquets au Sahel. Nous souhaitons que cette collection reçoive l’accueil qu’elle mérite. Nous sommes sûrs qu’elle contribuera significativement à améliorer la formation des hommes de terrain et, partant, à renforcer l’efficacité des services chargés de la protection des cultures contre les criquets ravageurs. -
La politique céréalière dans les pays du cilss
Colloque de Nouakchott -
Initiative régionale, environnement mondial et lutte contre la désertification
Mobiliser les fonds FFEM pour la société civile locale dans le cadre de la lutte contre la désertification. 2 2. . Renforcer les capacités des acteurs de terrain et des opérateurs de projets. 3 3. . Assurer un processus de suivi-évaluation et de capitalisation scientifique. -
Identification of the swat model parameters on the bani catchment (west africa) under limited data condition
Results showed that the model performance can be judged as very good (Moriasi et al., 2007) especially considering limited data condition and high climate, land use and soil type variabilities in the studied basin (Figure 1). Prediction uncertainty is acceptable: most of the observed data (around 80& ) are bracketed by the 95PPU within an acceptable width (R-factor < 1). However, model is characterized by more prediction uncertainties during high flows (Figure 2). The most sensitive parameters are mostly related to surface runoff reflecting the dominance of this process on the streamflow generation (Table 1). -
Identification et analyse des zones à risques et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l'Ouest
Face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle récurrente qui affecte les populations sahéliennes et ouest-africaines, les Etats et leurs partenaires au développement ont mis en place des dispositifs de suivi de la situation alimentaire. Malheureusement, ces dispositifs n’utilisaient pas les mêmes approches méthodologiques, ce qui a souvent conduit à des résultats difficilement comparables et parfois même contradictoires. Conscients de cette situation et de la nécessité de lui trouver une solution appropriée, le CILSS, les Etats membres et les partenaires ont initié le « Cadre Harmonisé d’identification et d’analyse des zones à risque et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l’Ouest». -
Identification and Analysis of Areas at Risk and Populations Affected by Food and Nutrition Insecurity in the Sahel and West Africa
Facing recurrent food and nutrition insecurity affecting Sahelian and West African populations, governments and their development partners have set up mechanisms to monitor food situation. However, these mechanisms do not use the same methodological approaches, which often lead to results that are difficult to compare and which at times are even contradictory. Aware of this situation and the need to find a suitable solution, CILSS member states and partners have initiated the development of a Cadre harmonisé d’identification et d’analyse des zones à risque et des populations en insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l’Ouest (Harmonized Framework for Identification and Analysis of Areas at Risk of and Populations Affected by Food and Nutrition Insecurity in the Sahel and West Africa). This tool, known as “Cadre Harmonisé” (CH), is expected to serve as a framework for countries to assess food and nutrition insecurity on an objective and consensual basis. The purpose of the Cadre Harmonisé is to help countries prevent food crises better and, where appropriate, quickly identify affected populations and appropriate measures to improve their food and nutrition security. The related method has been developed by a group of food and nutrition security experts from CILSS, FAO, WFP, FEWS NET, AFD, IPC/GSU, JRC/EC and UNICEF, and from international NGOs Oxfam International, Save the Children and ACF1. It is worth recalling that starting from 2008, various meetings held by the CH Technical Committee agreed for the CH to include some elements of the Integrated Food Security Phase classification version 1 (IPC 1.0). The IPC is a set of tools and procedures for classifying food and nutrition insecurity severity for decision making. Since the development of a manual for IPC 2.0, discussions have been under way to bring the CH closer to the IPC to incorporate lessons learned that improve comparability of results from the two tools. Similar to the IPC, the Cadre Harmonisé seeks to make best use of a set of tools and procedures for classifying the nature and severity of current and projected food and nutrition insecurity situations on the basis of a consensual analytical framework and classification scale. The CH is based on the following four conceptual models commonly used by national, regional and global mechanisms: Risk = f (Hazard, Vulnerability) Sustainable Livelihoods Framework The UNICEF Nutrition Conceptual Framework The four dimensions of food security (availability, access, utilization, and stability) The CH therefore is an integrated analytical framework built on a technical consensus that seeks to make best use of data from all systems or methods, namely food consumption surveys, nutrition surveys, the Household Economy Approach (HEA) or other information provided by agricultural surveys and market monitoring. The CH assesses food and nutrition insecurity, based on convergence of evidence from several indicators. The CH uses a food insecurity severity scale with five phases. Such a severity scale, which is an international one, makes it possible to make comparisons between countries of the sub-region and also at global level. CILSS was mandated to develop and implement the CH as a common tool for Sahelian and West African countries. Its analysis cycles will from now on help develop regional mapping of current food and nutrition situations and analyze projected situations. 1 Other institutions such as MIFRAC, IBIMET and CARE International initially contributed to the development of the present analytical framework. Cadre Harmonisé MANUAL Version 1.0 Page | 13 The CH also seeks to strengthen the regional integration framework in the CILSS-ECOWAS-UEMOA region so that collaborative and harmonized analyses of food and nutrition situations are conducted through the best possible use of other tools and analysis methods developed by national mechanisms and partners. Given the importance of the process of harmonizing the analytical framework for food and nutrition situations in West Africa, it is necessary that all food and nutrition security stakeholders take ownership of it and make it their decision-making tool. Furthermore, efforts are needed to strengthen the partnership framework within countries and to support the operations of early warning systems in order to improve the collection of reliable data. CH implementation relies on existing data collection mechanisms. Efforts should be made by countries and partners to provide financial support to these mechanisms - as CH implementation will from now on be the baseline reference for activating regional food reserves and mobilizing technical and financial partners (TFPs). -
Formation GCCA 6 INDC - Intended Nationally DeterminedContributions Contributions volontaires déterminées au niveau national
INDC - Intended Nationally DeterminedContributions Contributions volontaires déterminées au niveau national -
Formation GCCA 5 Etat des lieux des négociations
Etat des lieux des négociations -
Formation GCCA 4 Etat des lieux, perspectives et focus sur le marché du carbone, le REDD+ et l’adaptation
Etat des lieux, perspectives et focus sur le marché du carbone, le REDD+ et l’adaptation -
Formation GCCA 4 Bilan complet : atténuation, adaptation, transfert de technologies, financement, vision partagée et synthèse
Bilan complet : atténuation, adaptation, transfert de technologies, financement, vision partagée et synthèse -
Formation GCCA 3 La suite du Protocole de Kyoto pour 2013-2020 (AWG-KP), la fin des négociations sur l’action concertée (AWG-LCA) et les perspectives offertes par la Plateforme de Durban (ADP)
La suite du Protocole de Kyoto pour 2013-2020 (AWG-KP), la fin des négociations sur l’action concertée (AWG-LCA) et les perspectives offertes par la Plateforme de Durban (ADP) -
Formation GCCA 2 Les enceintes de négociations, les pays et groupes de pays en présence, les principales positions de négociation, les outils du négociateur
Les enceintes de négociations, les pays et groupes de pays en présence, les principales positions de négociation, les outils du négociateur -
Formation GCCA 1 Historiques de 20 ans négociations sur le climat, de Rio en 1992 à Doha en 2012
Historiques de 20 ans négociations sur le climat, de Rio en 1992 à Doha en 2012 -
Evolution de la politique céréalière
Cinquieme conférence du Club du Sahel, Bruxelles du 26-27-28 octobre 1983 -
Demande de subvention pour la mise en oeuvre du projet nutrition, sécurité alimentaire et politique publique au sahel
MONTANT DE LA SUBVENTION DEMANDEE : 80 000 EUROS COUT TOTAL DE L’INITIATIVE (TOUTES CONTRIBUTIONS DONT CILSS): 133 540 EUROS PERIODE DE REALISATION : OCTOBRE 2006-DECEMBRE 2007 -
Bulletin special cadre harmonise
La situation alimentaire est globalement plus favorable en 2013. Mais, il existe beaucoup de stress et de zones localisées de crise (en phase actuelle ou à venir). -
Atlas agroclimatique sur la variabilité et le changement climatique au sahel
L’atlas abrite, en effet, un socle d’informations importantes sur la variabilité et les changements climatiques au Sahel. L’état du réchauffement climatique, la variabilité accrue des pluies, le dysfonctionnement des paramètres de la saison des pluies, la recrudescence des phénomènes climatiques et météorologiques extrêmes (vague de chaleur, sécheresse, fortes pluies), les impacts du changement climatique sur les cultures, la voie à emprunter en matière d’agriculture mieux réfléchie face au climat sont autant d’informations qui y sont illustrées. Il fournit, en effet, des pistes et de recettes sur la manière d’agir à court, moyen et long terme pour adapter les secteurs clés au changement climatique. Enfin, cet atlas qui a pour ambition de toucher une large communauté d’utilisateurs est traduit en langage clair et compréhensible par tous. -
Affiche 35e Journée du CILSS
35ème Journée du CILSS : 12 Septembre 2020 Les effets de la Pandémie à COVID-19 sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel et en Afrique de l'Ouest et les efforts d'adaptation du CILSS pour la production de l'information. -
Adapting to climate variability and change in smallholder farming communities: a case study from Burkina faso, Chad and Niger
Climate variability and change is regarded as having major impacts on key sustainable socio-economic and environmental indicators in Sub-Saharan West Africa. Because of these concerns, we investigated smallholders knowledge, skills, and aspirations about managing climate change, and document adaptation strategies used in the semi-arid regions coming from Burkina Faso, Chad and Niger. We analyzed climate data from the 1950’s to the present, including daily and aggregated rainfall and temperature variability, trends and extremes. -
35th CILSS Day September 12, 2020
"The COVID-19 pandemic effects on food and nutrition security in the sahel and west Africa and CILSS adaptation efforts for information production" -
10 ans de prévention des crises alimentaires
Dix ans d'experience d'une action menée en reseau 1985-1995 -
Signature par le Ministre de l‘Agriculture du Mali et le Secrétaire exécutif du Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS), du préambule du Document Cadre stratégique pour l’eau agricole au Sahel (CSEAS)
Cérémonie officielle de la signature par le Ministre de l‘Agriculture du Mali et le Secrétaire exécutif du Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS), du préambule du Document Cadre stratégique pour l’eau agricole au Sahel (CSEAS) 14 août 2017